Lundi 13 août 2007 à 22:33
Oui ce sont toutes ces petites choses qui lui mettaient du baume au coeur lors de ses étés à la campagne. Là elle se dit qu'elle a un peu moins de 3 semaines pour en profiter et graver de nouveaux moments dans sa mémoire, pour ce qui sera peut-être, sûrement, son dernier été.
Lundi 13 août 2007 à 21:47
Je commence à être rompue aux anciennes techniques et je peux désormais parer d'un sourire ou d'un regard, le progrès ça n'est pas forcément l'amélioration que veux-tu. Pourtant j'en ai vu passer des jeunes requins, mais au final ils ne font que reprendre nos bonnes vieilles combines. Ce serait injuste pour eux que je m'éternise... En même temps, ce monde est injuste, plus particulièrement dans les lieux où nous exerçons. Bref, je ne sais trop que faire, est-il plus judicieux d'attendre le moment qui me verra craquer pour de bon ? Cette option me semble stupide... Quoiqu'il en soit je te tiendrai au courant.
Raph', quelques années plus tard.
Lundi 13 août 2007 à 21:36
C'est le genre de questions à ne pas me poser.
Dimanche 12 août 2007 à 22:37
Dimanche 12 août 2007 à 22:17
Résultat ?
J'ai juste l'air d'une incompétente qui se surestime et qui, comme on le dit chez nous "pète plus haut qu'elle n'en a de derrière".
Oui, dans ces moments là je le confesse sans problème, je me déteste.
Ce qui n'arrange strictement rien à mes affaires. Il faudrait que je rennonce à sortir ce soir, que je me couche tôt puisque "la nuit porte conseil", histoire d'y voir plus clair demain matin.
Il faudrait, c'est certain. Je peux jouer la naïve et me dire que peut-être en allant faire la fête, en ne dormant pas et en revenant à 7 heures à l'appartement avec des yeux un peu trop brillants, j'aurais de meilleurs résultats ?
Non.
Ah.
Tant pis alors, je ne le dis pas, je le fais.
Dimanche 12 août 2007 à 18:52
Dimanche 12 août 2007 à 16:30
Ce n'est pas de sa faute, du moins je crois, ça ne peut pas être de la mienne non plus. Je ne vois pas comment. Mais les rares fois où je croise son regard je suis mal à l'aise. Pourtant il en faut pour ça. Non, elle je n'ai besoin que de me voir quelques instants dans ses yeux noisettes et je suis à nouveau le gamin qui n'osait prendre la main d'une fille, même quand nous n'étions qu'à deux dans le noir. Cette époque est révolue. Pour moi enterrée depuis longtemps. Là je ne sais plus. Un doute. C'est elle qui me gêne. Ou ce qu'elle incarne ? Mais qu'est ce qu'elle incarne ?
Je me perds. J'ai voulu le faire, j'ai été perdu.
Depuis longtemps j'ai cassé le peu de contact que nous avions par procuration. C'est assez dur à expliquer. C'était comme ça, une fois que vous avez compris cela, vous en savez autant que nous. Elle l'a appris avant ? Elle a anticipé ? Non. Pas Elle.
Merde. Pourquoi j'ai été cet esprit obtus. Non c'est le mauvais mot. Pourquoi je l'ai suivi ? Sans toutefois lui laisser les réponses. Dans son jeu dangereux et tordu j'ai gagné. Sans y prêter attention. Ca me retombe dessus maintenant.
La maturité à cet âge, cela doit être la pire des gamineries.
Et à celui que nous avons désormais ? C'est la désillusion.
Dimanche 12 août 2007 à 15:21
Simon, Pierre, Pierre, Thomas, François, Thomas, David, Cédric, Chris, Arnaud, François, Thomas, Martijn, Martin, Alex, Alexis, Alexis, Gauthier, Rémi, Sébastien, Sébastien, Mathieu, Adrien, Loïc, Jérémy, Alexis, Giovanni, Charles, Bruno...
Parce qu'à chaque fois que j'entends ce foutu prénom j'ai un pincement au coeur.
Samedi 11 août 2007 à 23:34
En fait pour te répondre il faudrait que je mette une autre vie en oeuvre, et pour ça il commence à se faire tard.
Et puis la gratitude ça ne nourrit pas son homme, sa femme en l'occurrence. Comme le dit le fameux proverbe espagnol : donner de l'amitié à qui désire l'amour c'est donner du pain à qui meure de soif.
Samedi 11 août 2007 à 17:46
Faire abstraction et se recentrer sur les choses vraiment importantes. Ou du moins sur les choses auxquelles j'ai maintenant envie ou besoin d'accorder de l'importance.
C'est aussi arrêter de penser à Lui quand je vois ce bleu sur mon bras, au même endroit qu'auparavant. Comme si en plus de m'avoir brisé le coeur durant les deux nuits que nous avions passées ensemble il devait me bousiller le bras aussi. Merde il fallait pas qu'il se sente obligé.
On dit "jamais deux sans trois", bah ouais, mais je n'aime pas les "on dit" alors la troisième fois il peut s'asseoir dessus. Moi je suis partie et je ne reviendrai pas.
Samedi 11 août 2007 à 15:58
Oh, il y en a qui réussissent bien sûr, comme partout, mais qu'on arrête de me dire que c'est grâce à leur travail acharné, ou aux longues nuits qu'ils ont passées éveillés... Parce que oui, il y a des gens qui réussissent de cette manière. D'autres en ne foutant rien. Et il y a de la même manière des gens qui se plantent en beauté après avoir attendu toute une vie le fruit de leurs efforts.
Il y a une énorme part de chance qui doit rentrer en ligne de compte et ça ni vous ni moi ne pouvons le maîtriser. C'est con hein ? Parce que je suis d'accord avec vous, si nous le pouvions la vie serait plus simple. Sauf que, voilà, le malheur des uns fait le bonheur des autres. Il faut parfois savoir être la bonne poire pour avoir l'occasion d'observer le sourire d'un tiers. Dur vous ne trouvez pas ?
Samedi 11 août 2007 à 12:19
*
Samedi 11 août 2007 à 1:34
Pis le blanc et les créoles, ben ça t'vas super bien, d'abord. <3.
Bee.
Vendredi 10 août 2007 à 23:27
Comment la soif d'un monde ???
Vendredi 10 août 2007 à 23:16
Y'a des boîtes poussiéreuses à côté de moi. Là dedans on peut retrouver des années de correspondance. J'y jette un coup d'œil, encore, ça me fait toujours un petit pincement au cœur de voir ça. Des lettres datant de dix, vingt, trente ans, et j'y retrouve des dessins, les adresses successives, les états civils successifs, les pays dans lesquels j'ai voyagé, ceux où j'aurais aimé voyager… Est-ce que j'ai mis au grenier ces rêves en même temps que cette boîte ? Je me pose vraiment la question.
Et il y a aussi des mots d'amour, tellement usés à présent, dont la vérité est désormais tout autre. S'ils savaient seulement à quoi ils en sont réduits au jour d'aujourd'hui, les conséquences qu'ont entraînées leur présence, ou leur absence… Je ne sais plus trop.
L'encre est parfois un peu délavée, le papier plus fragile sous mes doigts, mais les odeurs sont restées les mêmes, celles d'un passé suranné et dont j'aimerais regagner l'enceinte protectrice, la bulle de cristal.
Ce soir j'ignore si je suis encore capable d'écrire un conte de fées…
Vendredi 10 août 2007 à 21:08
Vivant près de la frontière belge cela fait quelques temps que j'entends parler de ce mouvement, mais je dois avouer que cet été c'est vraiment la déferlante, je ne vois que ça, partout où je vais, et le lot de conneries habituelles... C'est donc par soucis d'exactitude que je vous mets ici une partie du dossier publié sur Lemonsound et qui vous expliquera tout ça bien mieux que moi.
N'étant franchement pas une adepte et considérant cet article comme décortiqueur de mode plus qu'autre chose, "Dans les mailles du filet" s'impose.
"Un phénomène de mode ou l'explosion d'un mouvement ?
Depuis quelques mois on assiste à la démocratisation d'un mouvement : la tecktonik. Souvent mal orthographié sur Internet (techtonique, tecktonique, techtonick…), les adeptes eux même ont du mal à définir l'origine du mouvement. L'histoire de ce phénomène est peu connue, c'est pourquoi LemonSound a décidé de s'y intéresser.
Au commencement, la
Belgique…
Il y a quelques années, plus ou moins 10 ans, des soirées en Belgique
offraient de la Hardtech et de la Hardtrance, et de l'Euro Dance mais en
plus pêchu. A l'époque, la danse qui prédominait était le Jumpstyle qui
consiste globalement à sauter tout en bougeant une jambe puis l'autre de
l'avant vers l'arrière et vice versa en suivant le rythme des basses. Ces
soirées avaient le même état d'esprit que les soirées Tecktonik
d'aujourd'hui.
Il y a sept ans le concept est arrivé en France dans une boite en
banlieue parisienne : Le Métropolis.
Grace à Tecktonik Events,
l'équipe artistique du Métropolis, deux soirées ont popularisé la techno belge,
le hardstyle, la Trance, et le Jumpstyle, alors méconnus des clubbers
parisiens.
Une des soirées s'appelait « Black
out » et au départ le résident était Mc Adrian de Radio Fg.
Le style de music (électro et trance) était moins violent, et assez commercial.
Depuis 5 ans une autre soirée: la Tecktonik
Killer, proposait de la techno belge, du hardstyle et un warm
up électro.
Alors que la première soirée présentait un groupe en live nommé Shakedown, la
deuxième présentait un certain Philippe B aux platines. Parallèlement il y
avait des soirées « Digital Trance » dont la programmation musicale était plus
violente et qui s'apparentait davantage à ce que l'on peut qualifier
aujourd'hui de Tecktonik.
"
Vendredi 10 août 2007 à 18:57
Vendredi 10 août 2007 à 16:04
Alors oui, tu vas souffrir, tu vas devoir donner ce que tu ne soupçonnais pas avoir.
C'est une question de vie ou de mort. Pas entre toi et ton ennemi, non, ce serait trop simple : tu es l'unique personne en cause, retiens bien ça. Si tu es touchée, si tu es abattue ce n'est pas grâce à ton ennemi, c'est à cause de toi. L'ennemi ne t'as pas eu grâce à son entraînement, ou à ses capacités, il t'a eu à cause de ta faiblesse.
Tu penseras mille fois et plus à arrêter tout cela, après tout, personne ne t'y oblige, oui, tu y penseras mille fois, et aussitôt une douleur te fera te rendre compte que tu ne peux pas. Non pas que tu ne le veuilles pas, au contraire. Je te le dis tout net, orgueil, peur ou inconscience, personne ne le sait et peu importe : tu ne le pourras pas.
Au final la volonté et la capacité se confondront et alors tu commenceras à devenir quelque chose. Pas encore quelqu'un, mais c'est à ce moment là que tu pourras visualiser cet objectif plus lointain.
Les armes. Les mains, sont tes seules armes de droit, et armes elles ne sont pas encore, elles ne le deviendront peut-être jamais. Les pieds si tu n'es pas une incapable. Les armes blanches si tu en deviens digne, en particulier le couteau si je te trouve une quelconque aptitude à l'intuition. Les armes à feu si tu as assez d'intelligence. Le baton et les chaînes si tu es rapide.Le fouet si j'arrive à faire naître en toi la maîtrise suffisante.
Ne commet pas la sottise de croire qu'on puisse te devoir ne serait que le plus infime des objets. L'importance est elle-même relative et si tu songes, ce sera pour t'inventer ce que je n'aurais pas à savoir.
Si tu souhaites réellement te battre, cesse de souhaiter et entreprend la refonte de tout ce que tu croyais acquis depuis lors.