lagrandemymy

Tu ne te souvenais plus des paroles. Amnésique ? C'est tellement plus simple parfois. Là,  je suis vide parce que la seule place restante est dédiée à la rancune, rancune que je n'arrive même pas à trouver. La colère j'arrête d'en parler. Inquiéter les gens c'est se prouver que l'on existe à leurs yeux d'une certaine manière.  Je m'arrête. A cause de ce que j'allais faire. Je n'en peux plus d'utiliser le conditionnel. J'aimerais oublier la conjugaison de ce temps, de ce verbe aussi au passage... Je suis plutôt mal partie. Est-ce que je suis réellement liée à ce monde autour ? Des prénoms se frayent un chemin dans le bordel qu'est ma tête, je présume donc que oui. Les sensations renvoient à des souvenirs, toujours des souvenirs, ai-je donc vécu un jour le présent ? Autrement que pour m'en souvenir ? Des questions, des questions, et les rares réponses amènent toujours plus d'interrogations. Un peu de jazz. Et comme à elle les prénoms peuvent me faire mal. Un surtout. Le même, c'est un comble.

Retour en arrière, en fait malgré ce que j'ai pu dire ou croire j'étais bien loin du compte. 
Et j'ai été choisie. Encore plus drôle.
Je suis morte et enterrée, plusieurs pieds sous terre, déjà plus ou moins décomposée et je me retourne, non pas par choc post mortem après l'annonce d'une énormité diverse, non, non, ce serait simple.
Je vais donc éviter, c'est indigne.
Alors, si je me retourne dans ma tombe c'est bien parce que  j'en ai mal au ventre de rire.
Il serait plus précis de dire que si j'en avais encore j'en aurais mal au ventre de rire.
Là il y a juste quelques côtes qui s'entrechoquent. Ca fait une mélodie sympa mine de rien. 

Il faut que je parvienne à rester assise sans émotion en écoutant seulement. Les yeux ouverts, sans voir. Vlang. Retour. 

Je réalise que je suis totalement accroc à cette bague, comment ai-je pu faire pour tenir une nuit sans ?  
Pas de réponse s'il vous plaît.  

Je frotte mes doigts les uns contre les autres en m'attendant à sentir l'argent et c'est toujours une déconvenue de ne découvrir que la chair. 
Rire jaune. Jaune jaunisse. Mourir de rire. Ce n'est pas forcément une belle mort. Non, vraiment pas. 

 Papampapampapampapam. Ca c'était mon coeur. Sinon, je ne m'en fais pas ; je sais. 
Je suis par contre incapable de me prononcer quant à l'évolution que cette nouvelle connaissance engendre : régression ? Stagnation ? Progression ? 

Pas de réponse s'il vous plaît.

Fallait pas croire ça, c'est toujours ainsi. "Au con qui demande", comme qui dirait.  
En fait j'aimerais décrocher mon téléphone et te rappeler quelques petites choses, oh rien de bien méchant : deux trois paroles, certains gestes. Plus pour mon plaisir que pour le tien je l'avoue sans aucun problème. 

C'est parfois indispensable, de se souvenir que l'on détient toujours une part de pouvoir  et que l'on peut l'utiliser si l'envie nous en prend.  

Avez-vous remarqué cette triste ironie du sort : lorsque vous avez auprès de vous une personne qui vous énerve pour une raison quelconque et que pour une quelconque autre raison (la même parfois) vous ne pouvez pas en parler (souvent à cette même personne, surtout) vous avez 99,9% de chances que cette fameuse Personne, vous demande pourquoi vous avez l'air si énervé ?  Si, si, je vous jure.
C'est presque scientifiquement prouvé. En tout cas ça m'est souvent arrivé.
Bon, okay, je ne suis peut-être pas une référence absolue, mais j'ai encore le droit de donner mon avis.

Encore.

J'ai des souvenirs de métro. De piscine. De chansons. Ils sont ancrés si profondément en moi que je me trouve incapable de démêler le vrai du faux.
Chut. Ferme les yeux. Rien qu'un instant. Fait le vide. Ces gens autour de toi sont insignifiants et tu ne sens même plus l'air qu'ils brassent en s'agitant sur de la musique électronique. Nous aurions pu être frère et soeur. Ma faiblesse a bloqué cette voie. Je n'arrive pas à savoir si je le regrette ou pas.

Et bien voilà, je suis reviendue comme qui dirait. Retour dans le Nord, pour faire les choses correctement hier soir j'ai eu droit à une belle pluie. Home sweet home. Les douze jours que j'ai passé à Lyon ont vraiment été géniaux mais m'ont donné des tas d'envies qui mettront à mal mon portefeuille : tant pis.
J'attends de pouvoir accéder librement à l'ordinateur pour mettre en ligne quelques textes et articles, sans compter les huit qui ont été écrits durant mon séjour et que cette chère Maky m'enverra.
Aux dernières nouvelles je dois encore une fois passer à la poste, écrire deux trois lettres au passage, renvoyer un colis, et haïr l'univers.
Un programme chargé en somme, mais je n'oublie pas de remercier la bande de tarés que vous êtes pour être passée ici durant mon absence, laissant tags, coms et pour deux des plus tarées  * :] * articles qui encombrent désormais ma boîte mails. Sur ces bonnes paroles mon frère vient de m'apporter un énorme carton à mon nom et je m'en vais de ce pas mettre à mal l'emballage.
Ah, aussi, Paris le 8août ça risque d'être très compliqué. Msn aussi.

Cela fait 36 milles [ au moins xD ] fois que je recommence cet article.
Bah ouais, j'ai peur de venir gacher ton monde... Pourtant ce n'est pas la première fois que je viens poster ici.
Tu n'es pas là et tu manques. Je parle en mon nom et au nom de tout les cow' qui passe par ici... Ce qui fait pas mal de monde... On est tous habitué à tes articles, tes mots, toi... Tu nous manques !
En ce moment j'ai des envies de m'acheter un billet pour Lyon... Ou plus tard pour Lille. Ce serait bien bien bien. Mais il faut que j'économise... Pour l'instant je dois avoir 24cts. :p Il reste du boulot ^^'
Vive les soirées baby-sitting, pas vrai ? ^o^
Vivement que tu rentres quand même, que je puisse t'apeller et qu'on squatte le fixe pendant toute une soirée, à se raconter nos vies et des bêtises. Si nos vies ne sont pas déjà des bêtises. Hum. Bref.
Je raconte n'importe quoi et personne n'aura le courage de lire ça... J'espere que tu liras, toi, au moins xD.
Bon sinon c'est pas grave, j'aurais parler pour ne rien dire, j'aurais pourri et squatter ton blog, et ça t'auras fait moins de visites. Mouhahaha. *Rire démoniaque*
Non, ne t'inquiètes pas, ce n'est pas le but de cet article... Enfin pas que je sache xD.
Le but de cet article c'est de te dire... même si tu le sais déjà...
Que je t'aiime FORT et GRAND COMME CA. Et plus encore. Et que je t'envoie des bisous et des coeurs et beaucoup d'étoiles pour éclairer les nuits noires. Et mes bras pour te serrer fortfortfort. Et ma main pour la mettre dans la tienne et te guider quand les chemins se séparent. Tant que je le peux. Des skotchs pour coller des sourires et des étoiles, dans les yeux. Des trombones rouges ( pourquoi rouge ? Parce que c'est beaucoup plus joli ! ) pour trombonner ( ? ) les sourires. Un magnétophone pour enregistrer des rires-qui-font-rire. Et une tonne de bonne humeur. Des confettis-coeur parce qu'on est des Valentine's. Et que c'est marrant. Des bonnets de père-noël pour que toi aussi tu fasses la couillone à la cam. Des bisous-papillons et des bisous d'esquimau. Des fleurs parce que c'est beau. Des papillons et des abeilles. Des chansons parce que tu chantes vraiment bien. Mais que des chansons joyeuses, pour que ça nous fasse rire. Des airs à la guitare et au piano. Toujours, toujours de la musique. Et des rires. Et des dessins. De fées et des gens qui volent. Des ailes, de belles ailes de toutes les couleurs, qui changent en fonction de l'humeur, mais qui serait toujours belle et de couleur vive, jamais noires ni grises. Des lettres parfumées, écrites en rouges et pleines d'images et de mots d'amour-de-valentine.
Oui, parce que nous on s'aime d'un amour-de-Valentine. C'est carrément bien.

Je m'disais aussi que mon mois de juillet était totalement écrasé sous le poids de mon stage, mais qu'apparemment, ça lui plaisait pas mal. Faut dire que j'adore apprendre, et que j'adore ces gosses. Je m'disais que mon mois d'août allait être overbooké dès le début, et que je n'aurais pas du tout le temps de me reposer entre les deux mois. Ils ont eu la mauvaise idée de se suivre l'un l'autre sans donner de jour neutre. J'me disais aussi que la fin du mois allait être mouvementée, notamment avec une hypothétique rencontre avec mon autre.


J'espère que le mois d'août qui croule d'avance sous le poids des multiples rendez-vous et responsabilités me laissera l'occasion de venir à Lille. (Grand Méchoui Represent !)



Parce que souvent, c'est ce qu'on se limite à faire, et ça n'apporte rien.


Et à "tu es trop utopiste", je vous répondrai que moi, au moins, je n'suis pas un mouton.

On fait un petit point (parce que j'ai envie), il est 10h29 mon rapport de stage est achevé en trois langues. Je n'ai pas encore défait ma valise, je n'ai donc pas fait ma valise. Mon train part à 13h00 donc je pars de chez moi à 11h45. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Kadja attend un heureux événement et est actuellement en vacances.
Mes excuses à Ma Val', je n'ai pas répondu hier à ses sms puisque mon portable a décidé de buguer, il fallait qu'il le décide cette semaine, j'adore.
Si vous cherchez un colocataire sur Paris je vous demande de m'envoyer un sms, de laisser un commentaire un mail, ou autre dans les plus brefs délais, un ami à moi est quelque peu dans la panade actuellement.
Je vous quitte. Si je ne suis pas trop feignasse, je vous posterai deux trois textes et peut-être quelques articles hors-ligne. Mouais. Ne comptez pas trop dessus quoi.
Si vous voulez lire quelque chose d'intéressant allez du côté de Distant-Skies ça vaut vraiment le coup d'oeil. Ses commentaires aussi d'ailleurs.


Rappel : merci comme mot de passe invité. Un petit effort au lieu de m'inonder de mails à tendance flood. :P

Je me souviens de Simon, qui avait traversé tout le village, parcouru la plupart des patûres pour pouvoir lui apporter un beau bouquet de fleurs. A Elle, Agathe. Les autres filles autour étaient jalouses, est-il besoin de le préciser ? Sauf une, sauf moi, bien sûr, sauf moi. Je savais déjà comment cela allait fnir. L'histoire a commencée alors qu'ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient, de quel faux drame ils étaient en train de faire les sonner les trois coups : c'était le jeu de "faire comme les grands". Au bout d'un certain temps ce n'était plus vraiment un jeu, il y avait eu les cris, l'absence, l'oublin les retrouvailles et ainsi de suite.
Se sont ils rendus compte de ce moment fatidique où ils changeaient de monde ? Nous oui.

Pour eux ce n'est qu'un prénom. Ils lui donnent oui ses lettres de noblesse mais les choses n'en restent que là, si j'ose dire. Oh oui, j'ose dire. Ce prénom c'est pour moi des milliers de souvenirs. Le concours de celui qui crie le plus fort, le premier amoureux, la seule punition, les carambars qui fondent dans les poches, la boucle d'oreille, unique, que je porte encore parfois autour de mon cou, histoire d'être originale, dix ans après.
Alors ouais, du coup j'utilise ce prénom avec parcimonie. Histoire de ne pas l'abîmer, de lui conférer un ptit truc rarissime qui le rend réellement exceptionnel.
Je ne sais pas vraiment pourquoi, il relève presque pour moi de l'ordre du sacré. Et c'est avec un ravissement grandissant que je le vois utilisé par des personnes que j'admire elles aussi de plus en plus.
C'est dit.
Et si je devais refaire ma lettre, je n'y ajouterai que des bonus.

Parce que je ne dois pas oublier, ça aussi, un bon nombre (bon pour moi, à vous de voir ensuite), de personnes m'a souhaité de passer de bonnes vacances. Celles avec mon père furent... Spéciales dirons-nous. Et celles à venir s'annoncent fantastiques. Mais je ne peux pas ne pas vous montrer les deux jeunes gens qui ont rendu ces vacances potables (aidés de leur soeur ? Euh, je ne suis pas convaincue par ce que je dis là), Martin et Gasper. Le premier est à moi, le second à MymY, vous êtes prévenues !

Je suis de retour pour quelques heures tout au plus et je retrouve mon ordinateur pour de trop rares minutes passées à tenter de répondre à tous partout.
Il faut donc m'excuser.
J'ai des tonnes d'idées et des tonnes de sentiments contradictoires qui s'entrecroisent et s'entrechoquent.
Entre envie, déception, hurlement et vitesse.
Ca va être un peu beaucoup du n'importe quoi, mais je suis sûre que vous ne m'en voudrez pas.
...
J'aime cette vie, y'a pas à chiquer.

Et j'écris sur un clavier pourri. Pire que les anciens servant sur les Minitels, mais si, souenez-vous. J'ai taxé, juste pour venir ous fair ce peit "coucou", il faut dire aussi que je n'ai vu cette borne qu'hier soir alors que je faisais un billard avec des jumeaux hollandais vraiment super(be)s, deplus, il shootent mon frère,que demande le peuple. Mon anglais reprend le joli accent allemand qui le tentait dès le début. C'est très drôle. Comme apprendre à Marteen et Gasper à demander à quelqu'un de coucher (préoccupations purement linguistiques, of course). Bref c'est moin naze que si c'était pire, merci à eux. 18 minutes, je n'ai pas le temps de répondre à la tonne de mails que vous m'avez envoyée, ni de répondre à toutes vos attentions, mais je vous en remercie vraiment du fond du coeur.

J'ai dans la poche arrière de mon jean un carnet détrempé. Allez je tente le coup.

"Tirer un trait, pour de bon, sur cette histoire. Et ne plus être tenté de se retourner. Jamais. Avec le recul j'ai compris que c'était parfaitement inutile. De se retourner j'entends. Tu es partout : dans leurs sourires, dans leurs clins d'oeil, dans la manière même dont elles remettent leurs cheveux en arrière.."

...

C'est frusrant hein ? Pour moi c'est pire. Je viens sur ce blog parce que c'est là que j'ai le plus de chances de vous parler à tous. Merci merci et merci. Je finirai par eux : les Fantastiques, Bee, MymY, Servane, Lady, Anne et vous, de plus en plus nombreux. Comme qui dirait "pense à vous fort".

Héhé. Vous ne pouviez pas sincérement croire que j'allais vous laisser 3 semaines sans rien à vous mettre sous la dent ? Bon j'avoue, ça ne sera pas grand-chose mais bon, j'aurais essayé.

 

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« En même temps Août 2007 ne peut pas pire que Août 2006. »

 

… Ca c'est toujours à voir.

 

 

14 juillet 07. Eclair de pensée.

 

 

 

Again il s'écoute d'abord par sa phase crescendo, son petit solo de guitare, ses sons énervés, puis son orgue lancinant aux environ de 9'42, pour terminer sur une déferlante émotionnelle, et la voix de Craig Walker sidérante, qui arrache des larmes depuis le plus profonds des entrailles, la cascade des instruments qui partent tous en même temps, la violence même de... l'amour, oui c'est ça, tout ça qui part... C'est un morceau incroyable, pour qui a le temps de l'écouter, pour qui est prêt à sacrifier un quart d'heure de sa vie pour comprendre ce que signifie le mot souffrance.

Car c'est ça Archive : une cinquantaine de morceaux, une cinquantaine de moyens pour dire "j'ai mal".

 

Comment voulez-vous ensuite poster un article pour dire ce que l'on poste d'Archive ? Si les lecteurs s'en chargent pour moi dans les commentaires, s'ils me devancent.. Nan mais je vais finir par fermer moi !

Je sais pas où va le monde mais de ce côté-là ça me plait bien je dois dire.

 

 

Aujourd'hui (le 05-07-2007) je suis enfin allée chercher mon BuzzKit à la poste du coin.

Impatiente comme je suis j'ai tout déballé dans la voiture de mon père et j'ai vraiment adoré ce que j'ai trouvé !! Déjà c'est dans une belle boite rouge, que je vais d'ailleurs garder pour y ranger mes lettres

 

que j'ai découvert les pockets collector, superbes et colorés, le mug Desperate Housewives, original et agréable, bref ce qui était prévu.

 

 

 

Du coup je me suis fait un thé pour pouvoir inaugurer à la fois le Mug et les sucrettes, j'avoue que ça donne envie d'utiliser des édulcorants !

 

Mais j'ai eu aussi d'autres belles surprises avec ce Kit, déjà la boite dont je vous ai déjà parlé et une enveloppe à mon nom contenant un petit mot de la part des responsables. Super sympa le mot, me souhaitant même une bonne fête de la musique (si seulement j'étais allée le chercher à temps !) sans oublier, deux badges buzzparadise et ça j'en suis vraiment ravie ! je les trouve classe et en mettre deux c'est parfait étant donné que, comme pour le reste, garder des badges « en vie » c'est assez dur pour moi !

 

Je ne suis pas fatiguée. Je viens juste d'essayer de brancher le cable de mon appareil photo numérique sur mon portable pour vider les photos.
Nobody's perfect.
Sinon ça ne serait pas drôle.
Normalement la dernière chose que je vais faire avant d'éteindre mon ordinateur bien-aimé pour trois longues semaines (surtout la première) ce sera sur cowblog.
Normalement, à cette heure ci je ne vous promets plus rien.
Au pire, mes demoiselles qui avaient mon mot de passe, il y aura peut-être des surprises en hors-ligne, à paraître à votre convenance. Merci.

On pourrait me croire habituée, rompue à la guerre des découvertes, à ses techniques et ses blessures.
On pourrait. Et beaucoup le pensent d'ailleurs.
Pas totalement. J'ai beau être avec lui il reste loin, quand son regard se perd en fixant le vide je sais qu'il ne me voit pas, peut-être ne m'a t-il jamais vraiment vue au final.
Pourtant ce n'est pas l'impression qu'il me donne, il est plein d'attentions, et nos journées sont rythmées par les sourires et les regards. Quand nous avons nos journées. Je ne suis pas irréprochable non plus, mais tout de même. Ses fantômes semblent plus persistants que les miens, ou lui plus enclin à les accepter, je doute.
Merde alors, je n'ai rien à me reprocher ? Oh, excuse moi d'être vivante, de vouloir essayer de t'aimer, même pas de te rendre heureux non, ça tu le décides seul, juste d'essayer de t'aimer.
Si nous sommes ensemble aujourd'hui c'est que tu as accepté cet état de faits... Le doute, encore.
Lorsque tu utilises le pluriel je me demande une nouvelle fois si j'en fait partie, chaque parole est alors une récidive, où j'ignore si c'est toi, ces filles ou moi qui tient  le couteau qui me poignarde, qui dirige la main versant le poison dans le verre.

Je ne suis pas convaincue.

Edit : rien de tout ce que vous avez pu me suggérer (merci, l'idée des toilettes était excellente, je suis allée vérifier très vite), on peut la laisser simplement sous son clavier.