Gay Pride samedi à Lille.
J'ai été plus ou moins invitée.
Et pourquoi pas ?
Jeudi 31 mai 2007 à 18:07
Mercredi 30 mai 2007 à 21:17
"Nous savons que cette émission est très controversée et que
certaines personnes penseront que cela est de mauvais goût, mais nous
croyons que la réalité est encore plus choquante et de mauvais goût:
attendre un don d'organe est exactement comme jouer à la loterie», a
soutenu le président du réseau BNN dans un communiqué. Il a ajouté que
les listes d'attente aux Pays-Bas sont de plus de quatre ans et que 200
patients meurent chaque année, faute d'un don d'organe."
Mercredi 30 mai 2007 à 17:44
Mercredi 30 mai 2007 à 17:26
Mardi 29 mai 2007 à 19:28
Mardi 29 mai 2007 à 18:03
Je reste cette enfant, admirant les bateaux qui se perdent à l'horizon riant pour un rien, bougeant sans répit aucun… Je le reste, mais je ne le suis plus totalement. Les choses s'éloignent de plus en plus, comme les bateaux peut-être ? Oh non, pas exactement. Si eux s'en vont vers un rêve nouveau, lointain, les souvenirs s'étiolent doucement, comme ces photos que l'on colle sur le vieil album de famille et qui se couvrent au fil des années d'un voile de nostalgie, d'abord léger, puis qui s'impose presque plus que le diaporama que l'on pensait avoir immortalisé : le barbecue pour les cinquante ans de mariage des grands-parents, les neveux et nièces qui nagent ou qui s'éclaboussent plutôt dans les boudins gonflés qui servent de piscine, le tout près du linge de maman qui sèche, pour ne rien gâter. Pépé, lui, dort sur le hamac que les grands cousins lui ont installé entre les deux cerisiers, au fond du jardin. Aucun nuage ne plane sur cette vie presque un peu trop idéalisée, sauf qu'il reste ce voile, cette onde triste qui nous conduit à faire mentir les plus beaux souvenirs. Je me réveille, secouée par le bruit d'une voiture, et je réalise que je ne suis que cette adolescente un peu perdue qui écrit à s'en perdre devant son ordinateur, pour exister, et pour ne pas faire mentir au moins une chose. Ce qu'elle a dit, un jour, à une fille qu'elle espère être son amie : l'imagination est la réalité du cœur.
Mardi 29 mai 2007 à 12:31
J'adore vraiment mon prof de physique, il me donne ma moyenne (catastrophique, soit dit en passant) avec un grand sourire et en me regardant droit dans les yeux, bon, il a eu un loupé comme ça arrive à beaucoup de gens : mon prénom n'est pas Rémy, mais ce n'est pas grave. D'ailleurs je songe à changer de nom de famille, du moins à obtenir la permission d'accoler le nom de jeune fille de ma mère à celui que j'ai déjà. Paradoxe quand tu nous tiens. Pour en revenir à ma passionnante vie de lycéenne, Je vous le dis comme je le pense : si tous les profs étaient comme lui ou comme certaines profs de français de ma connaissance, on ne connaîtrait quasiment plus le sens de l'expression "échec scolaire".
Vous savez, l'article parlant des pentes du Kilimandjaro, je me suis éclatée à l'écrire et dans un même temps il me permet de vous prouver que je peux faire moins clairet plus bizarre qu'à l'accoutumée. C'est possible. Et réussi non ?
Une lecture à vous conseiller : Oscar et la dame rose, d'Eric-Emmanuel Schmitt c'est le troisimèe volet du Cycle de l'Invisible, le premier volet, Milarepa parle du bouddhisme, le second quant à lui est Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, porté vers la gloire par son adaptation cinématographique dont on ne m'a toujours dit que du bien.
Voilà, poster pour poster, pour prouver que je suis toujours là.
La ronde des remerciements et des excuses est repartie, et c'est toujours avant de m'endormir que je trouve ce que j'aurais dû répondre : "On accède pas toujours à toutes les demandes". Oui, cela aurait été bien à caser là. Je tenterai peut-être un de ces jours.
J'ai revu cette bague. Ciel que je l'aime*.
Ca ne devrait pas être permis.
Ma confirmation aura lieu à l'église St Martin de St Amand les Eaux ce 10 juin 2007. Voilà, c'est dit, les personnes que je veux inviter le sont.
* La bague. (?)
Lundi 28 mai 2007 à 21:02
Lundi 28 mai 2007 à 20:30
Lundi 28 mai 2007 à 19:21
Mes
rêves prennent un malin plaisir à tout emmêler : la ligne du RER B, le thé Earl
Grey, des tasses/tirelires rapportées d'un marché chinois, l'Inde, les Gitans,
les orteils d'une grand-mère qui la font souffrir, Pierre (Ahaha !), une thèse
de médecine en étant maquillé, un doctorat, un numéro de téléphone que j'oublie
de prendre, le cinéma allemand dans les années 60, un arrêt à l'Isle-Adam, des
places à réserver dasn un Paris-Caen, pour sept personnes, un écureil (Pyrus je
te hais !), une station de métro de la gare du Nord, de la musique venue de
Belgique, l'IEP parisienne ect... Cocktail explosif, et fatiguant au réveil.
Il y a aussi, par ailleurs, ces deux frangins qui pourraient, bien que le doute
ne soit plus permis depuis une éternité ou deux, me faire gravir les pentes du
Kilimandjaro en courant à reculons, les yeux bandés, habillée en arlequin et
récitant du Proust, j'exagère à peine, si seulement ils le voulaient.
Je suis une personne tout à fait équilibrée. Juste, parfois, je m'écris sur les
jambes.
Ma conscience professionnelle me taraude
déjà.
Mais j'ai pris de l'avance sur la réflexion :
"Et si il ne devait en rester qu'un ?"...
Pas ce à quoi vous pensez ; )
=> Je dois enregistrer une lecture de cet article !
Catégorie ? Zizioupidou !
PS : Je dois remplir ma chambre de choses que je devrai enlever si un jour tu poses les pieds chez moi.
Dans le rêve tu étais dans le bureau et tu posais une liasse de textes imprimés de la même manière que ceux que je-n'-ai-pas-en-fait …
Pourquoi « clémentines » ? o_O Le trop n'était pas de trop. *Ceci n'est pas un message subliminal*
Lundi 28 mai 2007 à 13:01
C'est dur de continuer l'écriture comme si de rien n'était, comme si je pouvais poster librement ici. L'impression de ne plus être vraiment libre, mais je ne peux pas non plus me permettre de remettre les compteurs à zéro. Alors tant pis : si tu es là, restes y et grand bien te fasse !
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Le mot « tout » commence sérieusement à m'énerver, parce qu'on ne peut jamais savoir ce qu'il englobe réellement, et la totalité de l'un ne sera pas celle de l'autre, etc... C'est un sale cercle vicieux.
Du coup je commence à m'enfermer dans un monde dont les limites sont clairement posées, et je m'amuse à m'en évader chaque matin. En prenant une feuille, au hasard et en la lisant. A voix haute ou à voix basse, murmurant ou criant les mots que jamais je n'aurais dû connaître.
Comment réaliser que ma vie n'est qu'un mauvais pastiche et que les aventures qui semblent naître de mon imagination ne sont que les indignes filles de la vie rêvée de quelqu'un d'autre ?
La différence est peut-être née de là : les aventures que j'invente, oserai-je les vivre ? Si oui, mon pastiche rejoindra le monde réel d'un rêve qui accuse ses propres chimères.
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Aucun rapport : un très bon anniversaire à Thomas. A qui je ne vendrai pas ma guitare (changer d'instrument serait pour toi un sacrilège !!) mais je lui prêterai surement mon MP3, parce qu'il est le seul dont les goûts musicaux me plaisent. Et puis, le MP3, il n'est pas passé par la fenêtre au final, alors.
Lundi 28 mai 2007 à 12:32
Lundi 28 mai 2007 à 11:03
Dimanche 27 mai 2007 à 20:24
Dimanche 27 mai 2007 à 15:08
Dimanche 27 mai 2007 à 13:53
Vendredi 25 mai 2007 à 18:55
Vendredi 25 mai 2007 à 18:48
Vendredi 25 mai 2007 à 18:35