Samedi 12 mai 2007 à 13:10

Je viens d'effacer toutes mes photos... Des jeux européens, ce qui m'ennuie quelque peu mais bon elles n'étaient pas nombreuses et rares étaient les photos auxquelles je pouvais tenir dans ce lot (quoique, il y en avait de très belles prises en volley), mais j'ai surtout perdu  les photos que j'avais pu faire à la plage de Wimerieux... Photos qui devaient par la suite illustrer mes articles de la catégorie "Mademoiselle"... Arf. Et bien c'est parti, on prend la même et on recommence. Me voilà repartie pour prendre en photos mes danseuses.

Haut les coeurs ! Le pire est à venir !

Samedi 12 mai 2007 à 10:44

On s'est fait avoir. C'est une prof de maths qui nous fait faire des chorégraphies de danse contemporaine alors que nous sommes là pour du moderne... Par contre, ils ont un studio de danse.
Pourquoi on a pas le même en France ? Je flippe pour Goin' Down. Voilà les premiers temps de la chorégraphie...




Samedi 12 mai 2007 à 10:38

Samedi 12 mai 2007 à 8:56


Aujourd'hui (le 9/05/07) j'avais décidé de faire un article "sérieux". Et cela parce qu'en lisant le Figaro ce matin je suis tombée sur un dossier concernant l' ALF, Animal Liberation Front. C'est assez flippant je dois dire, affaires de kidnapping, d'attentats à la bombe, d'harcélement, de torture... Bref.
Mais je suis assez d'accord avec les idées théoriques et pour le développement de l'organisation telle qu'elle existait en France depuis quelques années : rejets du spécisme, non-violence, soutien aux végétariens et aux végétaliens, organisation de réunions d'information etc...
Malheureusement il semblerait que de petits groupes plus radicaux se soient formés aussi en France.
J'ai quand même parlé sérieusement parce que le sujet m'interpelle, normalement quoi, parce que, bien sur, y'a eu un pèt quelque part : alors que je me plongeais vers 15heures (oui, entre deux j'ai fait semblant d'aller bosser sur ce fameux DS de maths) dans une lecture attentive je m'aperçois que la dernière action en date, la plus notable, est la libération de ragondins dans un élevage en région parisienne. Là du coup... Ca n'était plus possible. Un fou rire énorme.

Tant pis, l'article partira sur une grosse connerie. Et non, même pas, j'observe les autres accroches :
"attentats" "homicide" "drame" "justice" "accident" "clearstream", du coup j'ai été comme freinée dans mon élan.

Vous saurez juste que :
Le ragondin (Myocastor coypus) est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires. Myocastor coypus est la seule espèce du genre Myocastor, qui est lui-même le seul genre de la sous-famille des myocastorinés.

Merci Wiki !

Vendredi 11 mai 2007 à 22:41

Cinq heures de trajet ?Aussi simple que ça.

Vendredi 11 mai 2007 à 22:36

Je rédécouvre Lonah. Et ça fait du bien. C'est l'une des nombreuses choses qui étaient passées à la trappe depuis quelques temps, le pire c'est que je ne m'en étais pas rendue compte. Alors que je ne pensais jamais pouvoir m'en passer. Ca me fait à un article sur ce blog, "d'une affligeante banalité" et tout est dit. Je ne veux pas que nous finission ainsi. Promet. S'il te plaît, promet. Je fais déjà mon possible, mais je ne pense pas que cela soit ton cas, tu enchaînes trahison et coups bas. Pourtant je te pardonne, que l'on m'explique pourquoi. Oses-tu encore m'accuser de ne pas tenir à toi ?

Tu me manques.

Et radioblog ne veut pas me faire le plaisir de fonctionner.

Donc cliquez sur "Lonah", à défaut d'autre chose.

Vendredi 11 mai 2007 à 22:06

Partir boire un milk-shake dans un magnifique resto tous les sept. Revenir à vingt-une heure et trouver avec surprise Jonas, fin prêt pour aller jouer au DJ à l'anniversaire d'une amie, assis dans un fauteil en regardant la télé. Raison évoquée ?

"Je veux savoir si tu veux venir avec moi à la anniversaire fête de Nora".

Comment voulez résister à cela ? Je sens que je vais regretter la Belgique. Du moins certains aspects de la Belgique.

Et du jazz... Ce que je voulais vous dire en fait ?

Je suis au top 10. Merci.

Vendredi 11 mai 2007 à 18:54

Le voyage s'est bien passé...Mais je ne pense pas réussir à conserver ma voix. Carolie a admit que j'avais raison : il n'y a rien de tel qu'une bande de français à la sortie de 5heures de bus et 1heure de marche et d'attente pour mettre del'ambiance. Même si les autres ne nous suivent pas toujours, ils reconnaissent notre supérioritée. (Où est le point d'exclamation sur ce clavier ? Aucune idée.)

Je vais par contre parler un peu de la famille dans laquelle je suis tombée : cela vaut le coup. Lors de la répartition dans les familles je vois mon nom sur un panneau et me dirige donc vers la dame qui le tient, elle est accompagnée d'une fille qui me paraît être en sixième. Visiblement c'est pas encore cette année que je serai avec des lycéens. Nouvel espoir, elle m'explique dans un français plus qu'approximatif que nous allons aussi prendre deux luxembourgeois, pour son fils. Ô joie.

Suivie de "Ô déception." : les deux luxembourgeois ne sont pas beaucoup plus vieux que la fille et ne parlent quasiment pas français . Arrive le fils... Qui a l'âge de ses hôtes. Mais c'est pas vrai !(yeahhh victoire, le !) Qu'est ce que j'ai fait pour avoir droit à ça. Et bien sur, personne ne parle anglais.

Je repars dansla voiture avec la mère et sa fille, qui me parlent d'un second fils. Je n'espère même plus. Mais en arrivant devant la maison où je loge, nouvel espoir, il y a des papiers, des confettis à terre...

Une fête ? Un second fils plus vieux ? Et là, enfin, victoire, le second fils est une grande perche de dix-huit ans.

C'était trop beau, il n'a pas l'air au courant de ma présence. Pourtant, au repas, alors que j'hésite à lui demander s'il parle anglais, il pose lui même la question. La vie est belle. Quoique... Il ne semble pas décidé à m'aider et son frère lui chuchote des choses (incompréhensibles pour moi) en me montrant du doigt. Outch. Je ris (jaune) parce que je pense saisir le sens général des propos par les têtes qu'ils tirent, mal m'en a pris : le cadet s'arrête aussitôt et s'enfuit presque. La mère me dit  ensuite que son fils pensait  que je comprenais ce qui était en train de se dire. Vu le sourire qu'elle avait aussi sur le visage, je ne veux vraiment pas savoir.

Au cours du repas, mon monde s'illumine, quelqu'un explique à l'aîné que je suis française : il me croyait luxembourgeoise. Fin de l'histoire avec un dénouement heureux, il parle lui même français.

C'était Mymy, en direct d'une ville inconnue près de Nerpeelt, en Belgique Flamande.

Qui s'interroge sur la langue qu'est le flamand : une construction de phrase en espagnol, des verbes anglais et le reste entre ... D'autres langues qui me sont inconnues, allemand et néerlandais je suppose.

Jeudi 10 mai 2007 à 22:17

En espérant que cela marche. Sinon demandez à un de mes grands chefs d'arranger le coup.

Jeudi 10 mai 2007 à 21:54

A voir :

Les briques jaunes
Colombe
Ladypirate
Mise à nue
Majupri
Fleur des champs
Silverwolf
Gamine
Histoire de fille
Et alors
Café de gare
Ciel VS nuage
Rêver de demain
Rue des orangers
Rémi
Le journal de Sophie


C'est déjà bien vous ne trouvez pas ?
Mot de passe invité : soñar.
Vous finirez pas le connaître !

J'espère n'avoir oublié personne. Sinon je me rattraperai ensuite. Vous savez comme je suis ; )

Jeudi 10 mai 2007 à 21:46

Ceux qui suivent vont peut-être se trouver étonnés de lire un article de moi aujourd'hui étant donné que même moi, et donc moi, ma connexion internet et les différentes parties de mon corps et de ma tête qui servent à poster sont en route pour la Belgique, ou en Belgique. A voir.

Mais ceux qui suivent encore mieux savent aussi que je suis une adepte de la mise en ligne automatique des articles !

Ce week-end (un peu plus long que la normale) d'absence me sert donc de répétition pour les grandes vacances qui approchent à grands !! (Et là je ne cache absolument pas ma joie : j'ai hâte, j'ai hâte, j'ai hâte !)

Pour ne pas commencer immédiatement à écrire des articles sans odeurs ni saveurs concernant quelques questions générales (non pas d'actualité puisque j'écris ces articles bien avant de les poster, comme vous l'avez compris) je vais vous expliquer un peu ce que sont les jeux européens dont je vous parle depuis déjà deux ans sans avoir jamais pris la peine de poster l'ombre d'une information pertinente les concernant.

 

Les jeux européens sont des rencontres culturelles, sportives et amicales (kof kof) entre des lycées de cinq nations différentes : l'Allemagne, les Pays-Bas, le Luxembourg, et, c'est facile à deviner, la Belgique et la France.

Ainsi chaque année des représentants de différents lycées vont dans un de ces cinq pays pour participer aux rencontres.

Le programme type ?

 

Vendredi matin : départ.

Vendredi après-midi : arrivée et cérémonie d'ouverture.

 

Alors là je dois m'arrêter pour faire preuve d'un stupide orgueil patriote : je tire une grande fierté de l'ambiance que mettent les français, seuls véritables meneurs lors des fêtes et cérémonies, cris, banderoles, bombe à bruit, parfois pétards… Et même si notre directeur n'est pas le plus « festif » les élèves et les autres professeurs rattrapent largement la réputation qui caractérise les français dans certains pays d'Europe, c'est-à-dire des gens de coincés, pour ne pas dire autre chose !

 

Toujours le vendredi après-midi : répartition dans les familles.

Vendredi soir : fête des professeurs, repas en famille pour les élèves avec un beau nombre de fêtes officieuses…

Samedi matin et samedi après-midi : activités sportives, préparation du spectacle du dimanche.

Samedi soir : LA Fête, par excellence. Et là je salue encore une fois nos chers compatriotes, il y a deux ans notre DJ avait enflammé la salle (et avait pu se jeter dans la foule, un autre s'y est risqué après lui.. je crois qu'il s'est fait trèèès mal. Tout en sachant que le notre était une baraque d'1m90. On a la classe ou on ne l'a pas.) et l'an dernier je crois que les Français étaient bien plus nombreux à être dehors pour fumer et boire des bières qu'à glander sous le chapiteau. Je ne dis pas que boire et fumer donne une belle ambiance, non, mais c'était le cas alors…

Samedi soir, un peu plus tard : Récupération des personnes ayant un peu trop forcé durant la soirée, tandis que certains autres continuent sur leur lancée.

Dimanche matin : avant la cérémonie les Français qui sont généralement ceux arrivant le plus tard, se regroupent dans les gradins et dorment un peu. Dans le genre masse humaine on a fait rarement mieux. Puis durant la cérémonie on continue de dormir en regardant le résultat des activités culturelles. Enfin, pas toujours, mais comment dire… C'est assez abstrait. Ou dans une langue autre que le Français ^^

Pour finir, lors de la remise des prix, on admire tout notre art du cri et des slogans. A noter que nous ne remportons quasiment aucun prix ; on ne peut pas être partout à la fois, mais lorsque s'est le cas, une petite partie du groupe français (souvent composée de terminales) se détache et va danser au milieu de l'estrade.

 

Dimanche après-midi : Retour. Le bus est beaucoup moins animé qu'à l'aller. Sauf quand notre chauffeur s'amuse avec nous à faire le tour des ronds-points. On note pas mal d'extinction de voix.  Ainsi que de nombreuses personnes cherchant vainement un sommeil réparateur.

 

 

Je vous raconterai ce que cela a donné cette année. Je pars en journalisme, petit rappel. Il y aura donc pas mal de photos à l'appui !

 

Ce fut long, je m'en excuse, mais je me suis bien amusée.

Blog à visiter : http://distantwaves.cowblog.fr.

Le premier ou la première qui parle de ses designs en mal…

Bref.

 

1000 Bises.

Mymy.

Jeudi 10 mai 2007 à 21:28

Mes yeux suivent par habitude leurs mouvements et leurs échanges. Je ne vois rien.

Des éclats de voix. Revient ce foutu mal de tête. Qui arrive sans prévenir, et qui m'enferme selon son bon vouloir... Le reste aussi.
Des conditions telles qu'il n'ai jamais eu à venir, oui j'aurais apprécié, pouvoir réentendre tout cela et m'en foutre complétement. Non. Les autres ne comprennent pas, ils ne gardent pas en mémoire. Lentement mais surement, tu les rejoints. Envie de te crier dessus, de te faire réagir, de faire bouger les choses, figées dans une situation trop facile.
Comme si je n'avais pas toujours su que je me battais et allais me battre en vain.
Du coup je reprends mon carnet et le remplis de mots et d'esquisses dénués de sens.

Je ferme les yeux.

Les images me reviennent, finissent de m'enfoncer. Tant pis, il est tard désormais. Je les laisse devenir floues, je laisse l'ombre les gagner peu à peu. Je me laisse les oublier.

Les coups durs et les mains tendues, les désillusions, et la réalité qui s'impose. Pas assez terrible à mon goût. Je me réfugie alors dans courses sans fin, des ciels imprévisibles et chemins tortueux.

Au final ça ne change rien. Tu me colles à la peau.


Jeudi 10 mai 2007 à 16:49

Il me reste trois minutes pour glander sur un poste informatique du lycée.

J'en profite donc pour vous parler encore un peu de ma vie Ô combien passionnante.

Je n'ai rien foutu aujourd'hui. Demain que je ferai que ce dont j'ai envie.

On m'a confirmé que pour la presse c'est tout en anglais. Bonheur !

C'est pas  glorieux.

Je voulais juste vous dire au revoir. Au cas où.

Je me casse. Ca sonne.

Mercredi 9 mai 2007 à 21:45

Ecouter : De fil en aiguille, instrumentale de Debout Sur le Zinc (dans mes liens). Je hais les formats protégés....

Assise en tailleur devant ma grande armoire en bois je me plonge dans les univers que j'ai délaissé.
Les vêtements de conférence, ceux des fêtes, ceux des cérémonies, ceux de la flemme, du sport... Ceux qu'on ne devrait pas avoir, dont on ne se débarassera pourtant jamais.
Et dans ce foutoir indescriptible que j'ai donc, très logiquement, tenté de vous décrire, se trouve un flacon de parfum.
Collection "Bien-être", celui aux Fleurs d'Eglantine. Le parfum dans lequel je me réfugiais autrefois quand je me dépêchais de remonter pour m'adosser à la porte et partir là où la douleur, la tristesse, les larmes, étaient justifiées, mais surtout acceptables.
Ca remonte loin désormais. Le parfum a changé, la manière aussi, peut-être bien que la fille qui respire a changée, et que c'est de là que découlent les habitudes qu'elle aimerait perdre sans le savoir.
Depuis la dernière fois que ce flacon s'est trouvé entre ses mains un autre est apparu pour la consoler, pour l'enfoncer en fait. Pour qu'elle puisse ensuite se dire que ça peut être pire, au moindre relâchement. Mais ce n'était pas authentique, prémédité, mis en scène.
L'églantine, cette odeur qu'elle n'a pas connue mais qui lui est si famillière. Elle était venue pour se reperdre dans l'artifice et l'authenticité lui a sauté à la figure sans qu'elle ne demande rien à personne.
Elle se souvient. Elle avait besoin de ça pour chasser la torpeur qu'elle traînait depuis quelques jours.
Le hasard, ce geste à côté duquel elle est passée durant des mois.

Sa grand-mère.

Mercredi 9 mai 2007 à 19:35

Il y en a un qui n'a pas compris que je n'ai ni besoin ni envie de remerciements. Je veux des excuses.
Ca n'est pas plus compliqué que ça. Il ne faut pas se tromper de personne, ne pas inverser les rôles et donner ce que l'on veut à qui on veut. C'est bien trop facile, accommodant.
Tes problèmes ne vont pas s'arranger comme ça. Les miens non plus.

Et oui ce blog est gigantesque.
Et oui ce blog est métaphysique.


Mercredi 9 mai 2007 à 16:51

Déçue par le peu de réactions ICI.


Je pensais avoir réussi à faire comprendre que c'était important et que cela n'engageait à rien. J'ai encore des progrès à faire ? Ou je vous gonfle avec ça ? Devant le nombre, en augmentation, de visites je ne crois pas. Je veux juste tenter de mettre un peu à profit ces visites, pour la bonne cause.

Ps : ras le bol des liens qui n'en font qu'à leur tête.



Mercredi 9 mai 2007 à 16:18

Aujourd'hui (le 9/05/07) j'avais décidé de faire un article "sérieux". Et cela parce qu'en lisant le Figaro ce matin je suis tombée sur un dossier concernant l' ALF, Animal Liberation Front. C'est assez flippant je dois dire, affaires de kidnapping, d'attentats à la bombe, d'harcélement, de torture... Bref.
Mais je suis assez d'accord avec les idées théoriques et pour le développement de l'organisation telle qu'elle existait en France depuis quelques années : rejets du spécisme, non-violence, soutien aux végétariens et aux végétaliens, organisation de réunions d'information etc...
Malheureusement il semblerait que de petits groupes plus radicaux se soient formés aussi en France.
J'ai quand même parlé sérieusement parce que le sujet m'interpelle, normalement quoi, parce que, bien sur, y'a eu un pèt quelque part : alors que je me plongeais vers 15heures (oui, entre deux j'ai fait semblant d'aller bosser sur ce fameux DS de maths) dans une lecture attentive je m'aperçois que la dernière action en date, la plus notable, est la libération de ragondins dans un élevage en région parisienne. Là du coup... Ca n'était plus possible. Un fou rire énorme.

Tant pis, l'article partira sur une grosse connerie. Et non, même pas, j'observe les autres accroches :
"attentats" "homicide" "drame" "justice" "accident" "clearstream", du coup j'ai été comme freinée dans mon élan.

Vous saurez juste que :
Le ragondin (Myocastor coypus) est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires. Myocastor coypus est la seule espèce du genre Myocastor, qui est lui-même le seul genre de la sous-famille des myocastorinés.

Merci Wiki !

Mardi 8 mai 2007 à 23:22

On partage ?

Mardi 8 mai 2007 à 22:27

Elle s'en allait, papillonant, légère et invisible dans ces hautes sphères que nous ne saurions décrire.
La recherche d'une vie, d'une identité, n'était qu'un prétexte, une excuse même, pour justifier cette liberté dont elle s'était si tôt éprise.
Les mois puis les saisons passèrent, rendant vaines toutes les tentatives de retour à la normale.
La norme... Elle lui riait au nez. Elle se contrefichait de ses sens et de ses contradictions.
Pour elle ce n'était qu'une limite, à franchir, de préférence.

Mais elle se définissait par essence comme dépourvue de limite.

Mardi 8 mai 2007 à 17:45









Aujourd'hui, journée théâtre. Hier soir, fête d'anniversaire. Animé tout ça... Oui. C'est le moins que je puisse dire.
Je suis en train de travailler. Laissons faire l'auto-persuasion.

Photo : Silverwolf. Dans mes liens !

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