Vendredi 6 avril 2007 à 22:22
C'est vrai, je suis la première à le dire, ils peuvent faire mal, ils peuvent blesser, dans l'amour, dans l'orgeuil, mais sans "mes mecs à moi" je ne serai vraiment pas grand chose. Même si bien souvent ils ne savent pas à quel point je tiens à eux.
Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.
Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.
Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.
Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.
Vendredi 6 avril 2007 à 22:06
Et ces filles que l'on pouvait voir pleurant toutes les larmes de leur corps, on perçevait dans leur voix des trémolos dûs à l'émotion quand elles récitaient presque, des paroles dénuées de sens, de celles qu'il ne voulait comprendre... Pour finir elles s'effondraient, de tristesse et de fatigue dans les bras de la personne la plus proche. Où sont-elles à présent ?
Il n'y a désormais plus personne et ce sont des gens parmis ceux dont les visages étaient les moins marqués qui gardent aujourd'hui les souvenirs en tête, ils y pensent au quotidien et qui, on peut le dire maintenant, n'oublieront jamais.
Envie de rien : cela ne sert à rien, sauf à salir un peu plus sa mémoire et ça je ne le permets pas.
Mais quand même, ces actes sont de vraies claques qu'on prend de plus en plus fort dans la gueule, pour chaque mot une nouvelle fois prononcé.
Pourtant il faut continuer et se dire que les cailloux lançés n'atteindront jamais leur cible.
Putain ce que c'est dur, et la grossièreté ne soulage pas, comme le reste elle fait semblant. Pour dire de.
Je me revois avec eux, et pensant à eux, les souhaitant auprès de moi comme piliers qui pouvaient seuls me soutenir, des remparts contre tout le reste.
Ce n'était pas possible. Alors je vous ai vu, et on a compris, à plusieurs ce qu'il voulait dire dans ses sourires.
Au milieu des larmes et des lamentations, le rire, le rire, puisque c'était ridicule, clownesque. Que faisions-nous vraiment là ?
Avant que la norme ne récupère l'emprise qu'elle a sur nous. C'est ce qui fait aussi très mal.
Il n'y a désormais plus personne et ce sont des gens parmis ceux dont les visages étaient les moins marqués qui gardent aujourd'hui les souvenirs en tête, ils y pensent au quotidien et qui, on peut le dire maintenant, n'oublieront jamais.
Envie de rien : cela ne sert à rien, sauf à salir un peu plus sa mémoire et ça je ne le permets pas.
Mais quand même, ces actes sont de vraies claques qu'on prend de plus en plus fort dans la gueule, pour chaque mot une nouvelle fois prononcé.
Pourtant il faut continuer et se dire que les cailloux lançés n'atteindront jamais leur cible.
Putain ce que c'est dur, et la grossièreté ne soulage pas, comme le reste elle fait semblant. Pour dire de.
Je me revois avec eux, et pensant à eux, les souhaitant auprès de moi comme piliers qui pouvaient seuls me soutenir, des remparts contre tout le reste.
Ce n'était pas possible. Alors je vous ai vu, et on a compris, à plusieurs ce qu'il voulait dire dans ses sourires.
Au milieu des larmes et des lamentations, le rire, le rire, puisque c'était ridicule, clownesque. Que faisions-nous vraiment là ?
Avant que la norme ne récupère l'emprise qu'elle a sur nous. C'est ce qui fait aussi très mal.
Jeudi 5 avril 2007 à 22:33
C'est inachevé.. Mais merde d'où ça vient ?
Navré, il regarde ses amis ; ils étaient en France, pas lui. C'est comme si après avoir attendu ce moment, lorsqu'il était enfin là, devant lui, l'étincelle n'allumait pas le feu de joie prévu.
Mais ce n'était pas une désillusion. Tout ce à quoi il s'attendait était à sa place. Les petits détails, les bruits de l'aéroport, la foule cosmopolite, et même la bulle dans laquelle il espérait
Et voilà.
Quant à ce que je vais dire.. Si moi même je pouvais en avoir ne serait-ce qu'une très vague idée.
Navré, il regarde ses amis ; ils étaient en France, pas lui. C'est comme si après avoir attendu ce moment, lorsqu'il était enfin là, devant lui, l'étincelle n'allumait pas le feu de joie prévu.
Mais ce n'était pas une désillusion. Tout ce à quoi il s'attendait était à sa place. Les petits détails, les bruits de l'aéroport, la foule cosmopolite, et même la bulle dans laquelle il espérait
Et voilà.
Quant à ce que je vais dire.. Si moi même je pouvais en avoir ne serait-ce qu'une très vague idée.
Jeudi 5 avril 2007 à 22:22
On trouve toujours des choses interessantes sur le site du Asahi Shimbum (en anglais, je ne parle pas, malheureusement, japonais), et c'est ainsi qu'on apprend qu' Antoine de St Exupéry nous réserve encore des surprises alors que le 31 juillet prochain cela fera soixante-trois ans que son avion s'est écrasé..
Mercredi 4 avril 2007 à 21:44
Mercredi 4 avril 2007 à 16:55
On m'a demandé si je savais pourquoi je n'étais pas excellente ici. Oui je le sais. Et je ne peux pas vraiment y remédier, seule la vérité peut me sortir de là, et c'est précisément cette dernière dont je ne veux pas entendre parler. Un sursaut d'orgeuil tout de même : l'ouverture d'une nouvelle petite catégorie "Mademoiselle...". Ca ressemble un peu à Post-it. (Il faut d'ailleurs que je m'énerve pour celle-là.) Pourquoi ces deux petites catégories ? Parce qu'elles se retrouvent dans les principales mais il y a des articles que je veux mettre à part maintenant. C'est une évolution dans le bon sens. Je crois.
Mercredi 4 avril 2007 à 16:50
"Mademoiselle, tu m'avais promis de danser."
Un autre jour peut-être, qui sait ? Lors d'un autre rêve, du moins si tu es encore là. Te souviens tu de ce qui s'est passé ? Les gens autours ne voyaient pas comme nous, comme moi plutôt. Alors un masque de sourires et de paillettes. Ils s'éloignaient le plus vite possible et ceux qui m'avaient approchée par erreur repartaient dans l'instant en chuchotant ce que tant d'autres avaient déjà dit à voix haute. Où étais-je ? Je ne m'en souviens plus. Un jour. Des incohérences, la tête dans un ailleurs présent.
Et puis je me suis rendue compte de ce que je faisais. Mes jambes ont flanchées. Je suis repartie lentement, pensant avoir effacé mes traces pour toujours. Mais je ne l'avait pas fait. J'avais bien été présente . Quelques preuves ici et là, un ticket de métro violet, quelques pixels pour une photo, un tissu presque noir, trop porté...
Et les regarder m'a fait partir pour de bon. Je me suis perdue en plus de ça. Pas vraiment de rapport, mais ils le connaîtront eux aussi. Alors, pour une danse.
Un autre jour peut-être, qui sait ? Lors d'un autre rêve, du moins si tu es encore là. Te souviens tu de ce qui s'est passé ? Les gens autours ne voyaient pas comme nous, comme moi plutôt. Alors un masque de sourires et de paillettes. Ils s'éloignaient le plus vite possible et ceux qui m'avaient approchée par erreur repartaient dans l'instant en chuchotant ce que tant d'autres avaient déjà dit à voix haute. Où étais-je ? Je ne m'en souviens plus. Un jour. Des incohérences, la tête dans un ailleurs présent.
Et puis je me suis rendue compte de ce que je faisais. Mes jambes ont flanchées. Je suis repartie lentement, pensant avoir effacé mes traces pour toujours. Mais je ne l'avait pas fait. J'avais bien été présente . Quelques preuves ici et là, un ticket de métro violet, quelques pixels pour une photo, un tissu presque noir, trop porté...
Et les regarder m'a fait partir pour de bon. Je me suis perdue en plus de ça. Pas vraiment de rapport, mais ils le connaîtront eux aussi. Alors, pour une danse.
Mercredi 4 avril 2007 à 16:26
Où se trouve donc cette différence dont ils me parlent tous ?
Lundi 2 avril 2007 à 20:18
Y'a des jours où l'ont se dit que c'est si simple d'être heureux.
Une pause méridienne, dans la cour d'un lycée.
Des gens assis dans l'herbe. D'autres sur les bancs.
Adeline, Clémence, Lucie, Simon, Thomas et moi.
Même qu'on m'appelle Clémence et qu'on appelle Clémence Margaux.
Mais il y a toujours quelque chose pour m'y ramener.
Et puis demain les lunettes de stars.
Lundi 2 avril 2007 à 20:01
Parce que les messages de O'Malley m'ont fait extrèmement plaisir.
Là je suis en train de bosser. Si si.
Dimanche 1er avril 2007 à 23:56
Il est beau ce cadre. Enfin c'est subjectif. Le fond est rouge, il y a quelques petites touches blanches qui ont survécues, ailleurs on trouve le noir, du noir des mots usés par les répétitions vaines.
Au milieu, à la place d'une photo qui se devrait d'être joyeuse pleine de vie et autres conneries depuis longtemps abandonnée dans l'espace dont je vous parle, on ne voit que la couleur du carton. C'est le fond du cadre, il manque de quoi le remplir.
Ce n'est pas de la beauté, c'est de la souffrance. De la souffrance à son plus haut degré, d'autant plus puissante qu'elle est concentrée.
Les raisons et les conséquences on s'en moque éperdument, on s'en contrefiche, pourquoi chercher des questions sans réponses ?
On en prend tellement plein la gueule, plus que rassasiés nous n'en pouvons plus, et nous continuons, malgré ces cris déchirants qui nous supplient de faire cesser cette torture.
Au milieu, à la place d'une photo qui se devrait d'être joyeuse pleine de vie et autres conneries depuis longtemps abandonnée dans l'espace dont je vous parle, on ne voit que la couleur du carton. C'est le fond du cadre, il manque de quoi le remplir.
Ce n'est pas de la beauté, c'est de la souffrance. De la souffrance à son plus haut degré, d'autant plus puissante qu'elle est concentrée.
Les raisons et les conséquences on s'en moque éperdument, on s'en contrefiche, pourquoi chercher des questions sans réponses ?
On en prend tellement plein la gueule, plus que rassasiés nous n'en pouvons plus, et nous continuons, malgré ces cris déchirants qui nous supplient de faire cesser cette torture.
Dimanche 1er avril 2007 à 18:57
C'est à vous donner envie d'aimer le café.
Ce sont des sucres pour informations.
Et cet article court et futile pour vous (te) dire merci.
Il ne faut pas dire son nom.
Ni sa fonction d'ailleurs.
Double merci.
Ni sa fonction d'ailleurs.
Double merci.
Dimanche 1er avril 2007 à 14:22
"Observez perpétuellement, observez l'inquiétude, la déconvenue, la venue de l'âge, la bêtise, vos propres abattements, mettez sur papier cette seconde vie qui se déroule derrière la vie officielle, mélangez ce qui fait rire et ce qui fait pleurer."
Virginia Woolf.
Nous sommes d'accord, ce n'est pas le plus important, mais ça ne doit pas m'empêcher de vous dire merci. Merci d'être de plus en plus nombreux à venir ici et à me laisser un message par email, tag, ou (beaucoup) plus rarement, commentaire. ^^'
Ce mois-ci n'a pas été le plus facile pour moi, mais ça va aller, je vais trouver plus de temps.
3927 visites.
Ce mois-ci n'a pas été le plus facile pour moi, mais ça va aller, je vais trouver plus de temps.
3927 visites.
Mymy
Dimanche 1er avril 2007 à 0:25
Il est minuit vingt. Et alors que je me levais pour aller dormir, et bien non, je me rassoie. J'ouvre cette page et je commence. Je suis complétement folle et je ne m'en remettrai jamais.
*Je suis effrayée par le pouvoir que peuvent avoir les secondes. Si il m'en avait manqué, mettons trente, à peine, rien ne se serait jamais produit.
Elle a longtemps eu la nostalgie de leurs fausses histoires, tard dans la nuit, si tard que cela en devenait tôt le matin.
L'époque, presque révolue, où elle pouvait attendre des heures pour une marque, n'importe laquelle, preuve que tout ceci n'était pas un rêve qui tournait peu à peu au cauchemar.
De ce fait, elle avait rassemblé une tonne de petits objets, infimes existences matérielles de ce qu'elle vivait si intensément que cela en devenait intolérable.
Quelques post-it, une photo imprimée, une dizaine de dessins, une clé usb, un parfum... Des broutilles en somme.
Si seulement cela pouvait être cela. La véritable somme est elle si, les mots sont pris en défaut à l'heure où j'écris. Vous y croyez-vous ? A ce qu'on dit : que les mots n'ont ni sens ni présence pour une personne avant qu'on ne les lui dise ?
Elle passait d'un état d'esprit à un autre à cause de cette seule et unique influence. Et puis c'était devenu comme cette chanson, insaisissable et totalement affranchi des règles en vigueur, quelque chose de complétement fou, irrationnel, dangereux sur certains bords. Ils avaient posé leurs propres limites, si loin qu'ils ne les voyaient plus.
Ca ne mène nulle part. Il ne reste que l'étranger, seul lien entre deux personnes qui étaient censées se connaître. Si trente secondes ont un pouvoir phénoménal pour vous, imaginez celui qu'ont dix mois pour une histoire.
La fin était trop brusque pour en être vraiment une.
*Je suis effrayée par le pouvoir que peuvent avoir les secondes. Si il m'en avait manqué, mettons trente, à peine, rien ne se serait jamais produit.
****************
Elle a longtemps eu la nostalgie de leurs fausses histoires, tard dans la nuit, si tard que cela en devenait tôt le matin.
L'époque, presque révolue, où elle pouvait attendre des heures pour une marque, n'importe laquelle, preuve que tout ceci n'était pas un rêve qui tournait peu à peu au cauchemar.
De ce fait, elle avait rassemblé une tonne de petits objets, infimes existences matérielles de ce qu'elle vivait si intensément que cela en devenait intolérable.
Quelques post-it, une photo imprimée, une dizaine de dessins, une clé usb, un parfum... Des broutilles en somme.
Si seulement cela pouvait être cela. La véritable somme est elle si, les mots sont pris en défaut à l'heure où j'écris. Vous y croyez-vous ? A ce qu'on dit : que les mots n'ont ni sens ni présence pour une personne avant qu'on ne les lui dise ?
Elle passait d'un état d'esprit à un autre à cause de cette seule et unique influence. Et puis c'était devenu comme cette chanson, insaisissable et totalement affranchi des règles en vigueur, quelque chose de complétement fou, irrationnel, dangereux sur certains bords. Ils avaient posé leurs propres limites, si loin qu'ils ne les voyaient plus.
Ca ne mène nulle part. Il ne reste que l'étranger, seul lien entre deux personnes qui étaient censées se connaître. Si trente secondes ont un pouvoir phénoménal pour vous, imaginez celui qu'ont dix mois pour une histoire.
La fin était trop brusque pour en être vraiment une.
Samedi 31 mars 2007 à 19:10
Samedi 31 mars 2007 à 18:52
後は野となれ山となれ
Ato wa no to nare yama to nare
Littéralement : "Après, champ ou montagne qu'importe."Je ne fais plus les mêmes erreurs. Il peut en témoigner.
Samedi 31 mars 2007 à 18:47
Je conteste : ces notes de lui.
Samedi 31 mars 2007 à 17:42
Je n'allais pas être vache, je présume que je le devais à Caro et Hélène !
Je viens de regarder Lost in Translation.
Je me dépêche alors que ma mère est absente.
Une énième relecture de la Biographie de la faim, Amélie Nothomb. J'ai bien sur la flemme de vous faire un petit résume, il faut le lire . /
Pas envie de bosser mais je le dois. Enfin, je présume que je dois le faire.
Ah et j'ai trouvé une prépa sympa ( je ne vise pas loin voyons ! ) le Lycée Gambetta à Arras, sa prépa littéraire a une préparation IEP. C'est ce qu'il me faut je crois.
Pour les couples il y aura la liste de Rose, bientôt. Je ne vous promets rien.
Et une mise à jours des liens.
Sans oublier la confirmation de mon stage : à France Bleu Nord. Kof kof. Au moins c'est à Lille et à sept minutes du stage d'une amie, pas loin des autres non plus. Il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur.
Je viens de regarder Lost in Translation.
Je me dépêche alors que ma mère est absente.
Une énième relecture de la Biographie de la faim, Amélie Nothomb. J'ai bien sur la flemme de vous faire un petit résume, il faut le lire . /
Pas envie de bosser mais je le dois. Enfin, je présume que je dois le faire.
Ah et j'ai trouvé une prépa sympa ( je ne vise pas loin voyons ! ) le Lycée Gambetta à Arras, sa prépa littéraire a une préparation IEP. C'est ce qu'il me faut je crois.
Pour les couples il y aura la liste de Rose, bientôt. Je ne vous promets rien.
Et une mise à jours des liens.
Sans oublier la confirmation de mon stage : à France Bleu Nord. Kof kof. Au moins c'est à Lille et à sept minutes du stage d'une amie, pas loin des autres non plus. Il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur.
Vendredi 30 mars 2007 à 22:43
Voilà, il a été décreté que le clip de A Movie Script Ending se classait parmis les "contenus explicites" .
Hum. C'est bien pratique Daily Motion, mais là je ne sais pas ce qui leur faut !
Je dois donc être majeure, inscrite, et surement vaccinée, pour regarder la vidéo que j'ai moi même envoyée ! Y'a des trucs qui me dépassent...
Vendredi 30 mars 2007 à 21:35
Elle ne m'en voudront pas (trop) je pense (j'espère)
Mais c'était pour vous montrer Caroline et Hélène, qui au lieu de faire le cours de chant avec moi aux collégiens (votre serviteuse était en train d'apprendre son texte de théâtre) se sont senties partir pour un "Encore du temps", un peu (beaucoup) à l'arrache, avec le MP3 dans les oreilles c'est sur qu'on a vu mieux, surtout quand elles le font à deux voix XD.
M'enfin on les aime comme ça, que voulez-vous.