Jeudi 29 mars 2007 à 21:53

J'hallucine totalement : je viens de voir l'adresse de ce blog dans un site de référencement japonais.
Faut vraiment que je dorme moi.
Rien à vous dire pour l'instant.
Encore du temps, la chanson est superbe.

Jeudi 29 mars 2007 à 21:41

Elle prend ses pinceaux et ses couleurs et se déchaîne sur les murs comme elle ne l'avait jamais fait. Il ne fallait pas la laisser comme ça ce soir.

On pourrait l'observer en croyant avoir devant les yeux une vidéo accélérée.  Sauf que la cassette n'est pas de très bonne qualité et qu'il y a de la neige sur l'écran.
Par contre le son est excellent et emplit la pièce, alors que lui il n'existe pas.

Comme un marteau qui tape de plus en plus fort sur une enclume, qui produit un vacarme assourdissant, qui n'aura pas de repos avant que cette foutue enclume soit enfouie six pieds sous terre.

Elle s'exclame, elle jure, elle rit et elle pleure dans différentes langues  visiblement sans se soucier de  ce qu'il peut y avoir autour d'elle. Ca n'a jamais été une fille très sensée certes, mais là les sommets sont atteints et dépassés.

Ce qui m'inquiète c'est de me voir complétement passif par rapport à ces événements et ces actions inconsidérées, me sentir capable de rester là, à l'admirer, des années durant alors que c'est à cause de moi qu'elle est dans cet état, et je sais qu'au fond ça lui fait mal. Mais mon orgueil reste invincible ; me connaître comme l'élément déclencheur d'une réaction que je trouve si belle, m'ôte tous les moyens que je pensais avoir. Je n'ai pas envie d'interrompre son spectable et donc, d'une manière ou d'une autre, quand je trouverai le courage d'aller lui avouer ce qui porte mon coeur c'est que elle, elle aura posé le mot fin, de trois façons différentes chacune plus que l'autre définitive.

Est-ce que je pense avoir plus que le temps qui m'est imparti ?




Mercredi 28 mars 2007 à 22:20



Juste comme ça, parce que mon lycée est selon l'enquête menée par le Monde et par l'Express, le premier lycée du nord : saviez-vous, que d'après un terminale ES de ce cher lycée il y a de cela quelques années, "Les 35 heures mises en place par Alain Juppé..."

Et aussi dans une lettre adressée à l'évêque de sa paroisse par une jeune se préparant à la confirmation : "Les deux réelles questions que je me pose concernant ma confirmation et qui me tracassent c'est combien de personnes oseront répondre à mon invitation malgré la séparation et les relations adultères dans le mariage qu'ont entretenues (entretiennent) mes parents et si ma mère va coucher avec  le cousin de son mari ce jour là, histoire de respecter la tradition familliale."

Pour le cas 1 je ne citerai pas de noms pour la simple et unique raison que je n'en ai pas, et pour la deux je vous donne un indice : ça commence par Margaux et ça finit par ..my.

Je suis une jeune fille adorable et particulièrement énervée ce soir, à n'en point douter.

Mercredi 28 mars 2007 à 21:41



Comme un flash, des paroles qui me viennent en tête.
Si clairement que j'aurais juré les avoir lues.

"C'était une de ces..."

Le reste un soir peut-être.

Ce n'était déjà plus qu'une lueur qui se perdait dans l'horizon du retroviseur, quand en revenant vers mon monde je quittais celui que je voulais. Avant de me rendre compte que celui que je voulais réellement était parti avec toi. Et je m'étais trouvée incapable de le retenir tout autant que de lui dire la vérité ailleurs que dans des gestes retenus.
Ce n'était pas sur la banquette arrière, non, le siège passager, il devait être 20 heures au grand maximum et le seul bruit du moteur...
Les détails sont oubliés, mais pas ce qu'ils voulaient dire.

Mercredi 28 mars 2007 à 21:05

" J'ai guetté dans le coeur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il craint de se montrer, et chacune de mes comédes a pour objet de le faire sortir d'une de ces niches."

Marivaux


Ce n'est pas le premier pas le plus difficile, quoique l'on en dise. Le plus dur vient après, quand il faut apprendre à marcher, et si vous y arrivez dites vous bien que vos peines, vos efforts ne seront jamais finis parce qu'il vous faudra réapprendre à avancer tous les jours autrement pour ne pas vous perdre en route, après tout cela ce serait bien dommage.
Vos efforts et vos peines.. Je vous mens, ils peuvent finir, dès qu'ils deviennent vains et cela arrive plus souvent qu'on ne veut bien se l'avouer. A ce moment là on reprend les moyens sur une route différente, c'est l'oubi qui se met en marche.
 
La matière ne touche jamais vraiment la matière, c'est cette impression qui donne un sentiment de puissance infinie... Jusqu'au moment terrible où l'on comprend que ce n'est qu'une impression . La seule manière "valable" de se toucher réellement c'est celle que chacun trouvera et qui lui fera dire qu'il ne se trompe pas. Ou qu'il se trompe mais qu'il persistera toujours, malgré les souffrances, malgré les douleurs, qu'il ne saurait faire autrement.

Juste regarder dans la même direction, le temps d'un cliché.
Ou pas.




Mercredi 28 mars 2007 à 17:04

あまり物には福がある

Le bonheur se cache dans les restes.



Dans trois mois je serai en stage à Lille, à France Bleu Nord, on m'a promis une intervention, des interview, des reportages au milieu d'autres choses un peu moins réjouissantes... Je ne suis pas très dupe : j'attends de voir ce que je pourrai faire réellement. 
Lille c'est excellent, même si j'ai un regret c'est sur concernant le stage à la Cité de la Musique de Paris. M'enfin, j'ai essayé c'est le plus important. Mais si Lille est une option fort plaisante c'est bien parce que le vingt-huit à onze heures, si tout va pour le mieux, je m'en irai pour de bon sur Paris, direction l'appartement d'Anaïs pour le weekend.
Bon maintenant que j'y suis autant vous raconter la suite : le lundi matin je reviens dans le nord pour la soutenance de stage et le spectacle de fin d'année.
Ensuite jusqu'au sept juillet on va enchaîner les fêtes, le sept je pars une semaine avec mon père et mon frère  en Corse (je crois les doigts) ou en Vendée  (pour ceux qui suivent depuis maintenant un an mes péripéties en vacances, vous savez à quel point j'adore ce type de plan) et à mon retour, j'espère que je n'aurais plus qu'à refaire mon sac pour aller passer environ une semaine avec les fantastiques à Paris.. Le mois d'août bien chargé aussi, avec un éventuel séjour en espagne ou en angleterre, un autre séjour éventuel mais auquel je tiens beaucoup plus chez notre chère abeille et les vacances avec ma mère (quand j'y pense c'est aussi très éventuel mais alors, pas vraiment souhaité).

Je vous raconte tout ça et nous sommes d'accord : vous vous en foutez.
Par un heureux hasard moi aussi  : apprenez que je vais regarder Lost in translation, Virgin Suicides, et Requiem for a Dream.
Que j'ai regardé Marie-Antoinette, Vanilla Sky, V pour Vendetta, Eternal Sunshine of the Spotless Mind, l'Effet Papillon, et j'ai, regardé ne convient même plus, *bip* American Beauty.
Mes yeux en avaient besoin je crois.

Il y a de plus en plus de cowblog et j'en viens à me demander si c'est une bonne chose. A propos je défile en ce moment, rue St Guillaume ou Trévise.

Je voulais juste vous écrire à propos de la citation d'au-dessus, et je me rends compte à l'instant que je n'ai rien à en dire. Je me contente de vivre et de me préparer. C'est vraiment se contenter, presque dix minutes comme presque dix  mois de discutions.

Pour finir du vélo, de la danse, des films, des chansons, sans oublier des photos.



Mardi 27 mars 2007 à 21:19

Zen, soyons zen...

Avez-vous déjà remarqué à quel les points les emmerdes arrivent toujours en groupe ?
A croire que ce sont des moutons de Panurge, elles ne savent pas pourquoi elle viennent là, mais elles y viennent.

Entre les DS d'histoire (et à ce moment là, vous vous découvrez beaucoup d'amis, entre l'orthographe exacte d'un nom, les feuilles de cours que vous avez prêtées et qui ne vous sont pas revenues en totalité, les nombreux appels concernant "Désoléeee c'est pour le petit 3 du paragraphe B, du grand 5.." ainsi que d'autres joyeusetées...) les auditions foirées, les dents de sagesse qui torturent, le théâtre qui part en live.
Vraiment j'adore.


Bon, y'a quelques points positifs : il fait beau, ma boîte de reception se trouve assaillie sous une tonne de petits sms... En bref ma journée a été remplie de courts moments de détente, ils sont devenus indispensables, ils me font respirer !

Il faut dire que s'en est devenu un soulagement de voir que je savais encore comment faire.



PS : Pour mes cours d'histoire je leur en veut pas le moins du monde. Juste parce qu'ils me collent un sourire.

Le Bric à Brac le plus parfait. Des sauts d'humeur et moins de 100 jours...


Lundi 26 mars 2007 à 23:04

Je me pose dans l'herbe, assise sur mon manteau, comme il y a une semaine, un mois, un an, j'ai perdu le fil.
Il fait chaud et je regarde ces lycéens qui me sont plus ou moins familliers. Il y a avec moi une amie, il nous arrive de parler. Autour des rires, des discutions, animées ou pas, certains font la gueule aussi. Je suis étrangement sereine.
J'ai l'impression qu'en tendant la main que je pourrai toucher la vitre qui me sépare d'eux.
Cette sensation désagréable mais enivrante d'être recluse et de savoir qu'ailleurs une personne est dans une configuration identique. Purement égoïste ? Pas tellement, comment vous faire comprendre ? Je voudrai me voir dans 10 ans pour savoir comme tout cela aura fini, si s'est fini.

Lundi 26 mars 2007 à 20:52

Je regarde le film. Mon père n'a pas l'air au courant de mon existence ces derniers temps. Mes dents de sagesse me font horriblement mal. Je vais bien. Un peu de fatigue accumulée. Un yop et ça repart comme elle le dit si bien. Je ne sais plus quoi attendre ou déclencher. Ca justifie les moyens parait-il. Sauf la sienne. Si j'avais eu la moindre idée de la soirée que j'allais passer j'aurai dit oui à Hugo.

Lundi 26 mars 2007 à 20:27

On se croisait de temps en temps, normal pour deux jeunes qui étudient dans la même ville.  Bien sur c'était un peu plus compliqué que ça, certaines ont des études plus longues que d'autres dirons-nous.
Et un matin, je n'avais rien demandé à personne, il s'est installé à côté de moi dans le métro avec son éternel...

*flash-back*

- Ca va ?
-On va on va, et toi ?
- Bien, mais avec les valises que tu as sous les yeux tu as un problème.
- Qui te dit que je n'ai pas fait la bringue hier soir ?
- Je te connais.
- Pas vraiment.
- Je te regarde alors, c'est suffisant.
- Effectivement. C'est juste que mon trajet est long.
- C'est con, j'habite dans la rue de ton école.
- Je le sais bien.
- Tu emménages ?
- Mais et ta colocation avec... ?
- Ca ne dure jamais éternellement..
- Je prends beaucoup de place.
- Pas moi.

*fin du flash-back*

Comme quoi ça peut aller très vite. Dans quelle situation je me suis encore fourrée ? Oh et je m'en fous. J'adore cet appart et je l'adore. C'est pas plus compliqué que ça.
Cachée dans le lit, avec l'ordinateur sur les genoux. Aux dernières nouvelles il est trois heures. Au moins ça tient chaud.

[ Inspirée, Julie et puis les deux.]

Si c'était ailleurs ce serait presque Myriam.

Lundi 26 mars 2007 à 14:29

Dimanche 25 mars 2007 à 22:56

Les gens pensent à se plaire, à se déplaire, à s'entendre, se mésentendre et tant d'autres choses contradictoires pour qui prend le temps d'y réfléchir.
A aimer sans se connaître, je ne sais si on aime mieux, mais on s'aime peut-être vraiment.
Parce que pourquoi pas ? Les idées se poussent et se libèrent pour peu que l'on s'en donne la peine.

Qu'avez-vous à perdre ?
Il y a juste à découvrir.
1000 Bises, Mymy.

Laissé, ou presque, sur une terrasse, quelque part en belgique.

Dimanche 25 mars 2007 à 22:50

La unica cosa que sabes es la mas importante.
No olvida.

Dimanche 25 mars 2007 à 22:30

Assis sur un banc de bois clair, levant les yeux sur ces voûtes trop hautes pour que nous les entendions. La fumée se diffuse dans l'assemblée et tente d'asphixier peu à peu nos idées. Ce n'est pas notre place. On joint les mains mais pas à leur manière. Nous cela signifie quelque chose de vrai, de voulu, ça n'est pas un dogme dicté et imposé. On est en train de se créer, de s'inventer l'un pour l'autre.
Un geste, on se comprend, une inclinaison et on se décide.
Je m'étais préparée il y a des mois de cela il me semble. Préparée à abandonner, à renier ce qui s'insérait si bien dans l'habitude. Pourtant à l'intérieur de cette même habitude je savais que je ne serai jamais entièrement prête à vivre et à croire comme nous le faisions.
Mes propres réactions m'étonnent car bien que sachant ne pas être à la hauteur je me trouve incapable de ne pas être surprise de la vitesse à laquelle bat mon coeur.

Mes mercis, mes pardons, mes s'il te plaît te sont tous adressés.

Et puis il pleuvait, j'ai failli me casser la figure, c'était beau, c'était loin.

J'ai désormais un moyen.

Dimanche 25 mars 2007 à 22:25

Assis sur un banc de bois clair, levant les yeux sur ces voutes trop hautes pour que nous les entendions. La fumée se diffuse dans l'assemblée et tente d'asphixier peu à peu nos idées. Ce n'est pas notre place. On joint les mains mais pas à leur manière. Nous cela signifie quelque chose de vrai, de voulu, ça n'est pas un dogme dicté et imposé. On est en train de se créer, de s'inventer l'un pour l'autre.
Un geste, on se comprend, une inclinaise et on se décide.
Je m'étais préparée il y a des mois de cela il me semble. Préparée à abandonner, à renier ce qui s'insérait si bien dans l'habitude. Pourtant à l'intérieur de cette même habitude je savais que je ne serai jamais entièrement prête à vivre et à croire comme nous le faisions.
Mes propres réactions m'étonnent car bien que sachant ne pas être à la hauteur je me trouve incapable de ne pas être surprise de la vitesse à laquelle bat mon coeur.

Mes mercis, mes pardons, mes s'il te plaît te sont tous adressés.

Et puis il pleuvait, j'ai failli me casser la figure, c'était beau, c'était loin.

J'ai désormais un moyen.

Dimanche 25 mars 2007 à 22:23

Assis sur un banc de bois clair, levant les yeux sur ces voutes trop hautes pour que nous les entendions. La fumée se diffuse dans l'assemblée et tente d'asphixier peu à peu nos idées. Ce n'est pas notre place. On joint les mains mais pas à leur manière. Nous cela signifie quelque chose de vrai, de voulu, ça n'est pas un dogme dicté et imposé. On est en train de se créer, de s'inventer l'un pour l'autre.
Un geste, on se comprend, une inclinaise et on se décide.
Je m'étais préparée il y a des mois de cela il me semble. Préparée à abandonner, à renier ce qui s'insérait si bien dans l'habitude. Pourtant à l'intérieur de cette même habitude je savais que je ne serai jamais entièrement prête à vivre et à croire comme nous le faisions.
Mes propres réactions m'étonnent car bien que sachant ne pas être à la hauteur je me trouve incapable de ne pas être surprise de la vitesse à laquelle bat mon coeur.

Mes mercis, mes pardons, mes s'il te plaît te sont tous adressés.

Et puis il pleuvait, j'ai failli me casser la figure, c'était beau, c'était loin.

Dimanche 25 mars 2007 à 21:52

Tu te vois à leur place ? Bon ok pas à leur place elle leur va très bien, à côté d'eux donc. Quoique, je reviens à ma première idée : à leur place car c'est la seule qui nous conviendrait réellement.
Le temps passe trop vite et nous restons assis à le voir défiler sans rien dire et sans rien faire pour le retenir. Ce n'est pas dans notre intérêt. Il nous faut évoluer, bouger, changer, sans pause ni répit. Je l'ai d'ores et déjà assumé et toi tu commences seulement à le comprendre.
Grouille. Sort de ton tunnel noir de complaise, appelle, écrit, crie, parle, discute, dessine, débat mais brise cet écran de douleur qui te retient hors de ta propre vie.

| The slow poison is killing me inside. I feel the pain.
My heart can't love any more...
|


Il fallait que cela soit un boulet.
Désolée pour l'absence.
J'ai peur en fait.


Dimanche 25 mars 2007 à 21:45

Tu te vois à leur place ? Bon ok pas à leur place elle leur va très bien, à côté d'eux donc. Quoique, je reviens à ma première idée : à leur place car c'est la seule qui nous conviendrait réellement.
Le temps passe trop vite et nous restons assis à le voir défiler sans rien dire et sans rien faire pour le retenir. Ce n'est pas dans notre intérêt. Il nous faut évoluer, bouger, changer, sans pause ni répit. Je l'ai d'ores et déjà assumé et toi tu commences seulement à le comprendre.
Grouille. Sort de ton tunnel noir de complaise, appelle, écrit, crie, parle, discute, dessine, débat mais brise cet écran de douleur qui te retient hors de ta propre vie.

| The slow poison is killing me inside. I feel the pain.
My heart can't love any more...
|


Il fallait que cela soit un boulet.
Désolée pour l'absence.
J'ai peur en fait.


Dimanche 25 mars 2007 à 21:42

Tu te vois à leur place ? Bon ok pas à leur place elle leur va très bien, à côté d'eux donc. Quoique, je reviens à ma première idée : à leur place car c'est la seule qui nous conviendrait réellement.
Le temps passe trop vite et nous restons assis à le voir défiler sans rien dire et sans rien faire pour le retenir. Ce n'est pas dans notre intérêt. Il nous faut évoluer, bouger, changer, sans pause ni répit. Je l'ai d'ores et déjà assumé et toi tu commences seulement à le comprendre.
Grouille. Sort de ton tunnel noir de complaise, appelle, écrit, crie, parle, discute, dessine, débat mais brise cet écran de douleur qui te retient hors de ta propre vie.

| The slow poison is killing me inside. I feel the pain.
My heart can't love any more...
|


Il fallait que cela soit un boulet.
Désolée pour l'absence.
J'ai peur en fait.


Dimanche 25 mars 2007 à 21:38

Tu te vois à leur place ? Bon ok pas à leur place elle leur va très bien, à côté d'eux donc. Quoique, je reviens à ma première idée : à leur place car c'est la seule qui nous conviendrait réellement.
Le temps passe trop vite et nous restons assis à le voir défiler sans rien dire et sans rien faire pour le retenir. Ce n'est pas dans notre intérêt. Il nous faut évoluer, bouger, changer, sans pause ni répit. Je l'ai d'ores et déjà assumé et toi tu commences seulement à le comprendre.
Grouille. Sort de ton tunnel noir de complaise, appelle, écrit, crie, parle, discute, dessine, débat mais brise cet écran de douleur qui te retient hors de ta propre vie.

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My heart can't love any more... |

Il fallait que cela soit un boulet.
Désolée pour l'absence.
J'ai peur en fait.



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