Jeudi 15 mars 2007 à 22:05



Le droit d'être perdue.
Et de m'en foutre.
Même si ce n'est pas le cas.

Jeudi 15 mars 2007 à 22:02

Je me dis qu'avec juste ces deux-là et encore quelques autres, je peux être parfaitement heureuse dans mon lycée. Et je n'ai besoin de rien d'autre. Les fantastiques et quelques amis sur msn et durant les vacances et ma vie est idéale. Pas besoin d'eux, pas besoin de changements, pas besoin d'encombrements supplémentaires.  Mais voilà, voir ce bonheur m'y ramène par des chemins détournés.




Tu viens seulement de réaliser.. Il était temps. On me glisse dans l'oreille que non tu ne sais pas encore. Toi qui es pourtant quelqu'un de vif. Je me rattrape doucement, comme si il y avait à rattraper. J'ai fait un sans fautes quand j'y repense, mon manque d'audace me taraude toujours bien sur mais en 3 jours.. Non même moins, une journée. Bon ok il y avait eu un avant, mais si peu, et il avait été brisé par tant de circonstances défavorables. Je reprends le même chemin, avec une meilleure préparation et l'enseignement tiré de mes erreurs, sans oublier que cette fois-ci le sort semble avoir fini de se défouler sur ma personne. Je n'en demande pas autant. Tu as eu beaucoup et tu as réussi, sans le vouloir, sans le savoir peut-être, tu l'as détruit. Je ne permettrai pas à l'histoire de se répéter.
Nos ambitions sont divergentes pourtant nous avons tous un but commun.

Demain encore l'APN. Pour garder ses instants, pour les nuits où je dois me rappeler cette sensation sans m'enfermer dans un cercle vicieux. (Oui, je suis de ces filles capables de s'enfermer dans des cercles.)

Sur la photo Thomas et Clémence. Deux amis. - Ils ne sont pas ensemble, pas au sens entendu.


Jeudi 15 mars 2007 à 21:42

« I say to you today, my friends, so even though we face the difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream deeply rooted in the American dream.I have a dream that one day this nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We hold these truths to be self-evident: that all men are created equal.”I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit down together at a table of brotherhood.I have a dream that one day even the state of Mississippi, a desert state, sweltering with the heat of injustice and oppression, will be transformed into an oasis of freedom and justice.I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today !!I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers.I have a dream today.I have a dream that one day every valley shall be exalted, every hill and mountain shall be made low, the rough places will be made plains and the crooked places will be made straight and the glory of the Lord shall be revealed and all flesh shall see it together.  »

Jeudi 15 mars 2007 à 17:57

Il fait chaud ? J'avais pas remarqué. Mis à part hier soir, j'ai pu ouvrir mon velux et escalader mon toit, cela me manquait.
 C'est moi ou le temps ne passe jamais à la bonne vitesse ? Est-ce juste pour nous donner cette envie irrépréssible de jouer avec mais qui nous fait réfléchir et nous dire que "Non, je n'oserai pas, c'est dangeureux de partir comme ça" ? C'est l'histoire de ces "si" avec qui on referait le monde. Je vous pose moi la vraie question : et pourquoi pas ? La fenêtre msn m'indique qu'à Paris le temps est clair et la température de 15,5 °C, quoique l'on puisse en penser ça n'est pas totalement hors-sujet.
Je les aime ces "si" qui me font rêver, parce qu'ils signifient bien que c'est possible, dans certaines conditions mais ça l'est. Ca c'est la seule chose que je n'ai jamais perdue. Avec le rêve. Indissociable : l'espoir.

Les jeux européens.
Des escaliers.
Des sourires.
Des photos.
Une fuite.
Une peur.
Un vieil ami.
Un nouveau vieil ami.
Une cousine.
Une journée.

Jeudi 15 mars 2007 à 17:42

Il y a ceux qu'elle ignore avec assiduité et ceux qui lui rendent le sourire en deux trois mots échangés précédés par un clin d'oeil, par exemple. Pour ces gens là je ne trouve rien d'autre à ajouter.
L'impatience grandit de jour en jour : vivement cet été !

Mercredi 14 mars 2007 à 20:48

"Sarkozy rime avec nazi."

En couverture d'un grand quotidien national ce matin, je ne sais plus lequel, certes, je vous l'accorde.

Ce soir alors que je zappais conscenscieusement
je suis tombée sur l'émission de Laurent Ruquier, pas besoin d'en dire plus c'était bien "On a tout essayé" avec quelques uns de ses chroniqueurs phares : Christophe Aleveque, Philippe Geluck, Annie Lemoine, Peri Cochin et surtout Caroline Diament, pourquoi surtout vous allez le savoir.
Les réactions fusent autour de la table, discution sur la polémique crée par le Ministère de l'Identité Nationale que voudrait créer ce cher Nicolas, plaisanterie de Geluck "Vous allez voir que si on ne fait pas attention ils vont bientôt nous imposer une Carte d'Identité Nationale" etc.. etc.. Mais j'ai particulièrement apprécié la réaction de Caroline Diament, n'étant pas une fervante téléspectatrice de cette émission je ne connais pas beaucoup cette chroniqueuse, à vrai dire c'est seulement ce soir que je me suis un peu renseignée sur son parcours, ce qui m'a donné une très bonne impression, c'est son intervention, recadrant les faits dans leur contexte et rappelant, que malgré la liberté de la presse, on pouvait s'indigner qu'un présidentiable comme Monsieur Sarkozy soit comparé à un des plus grands criminels de l'Histoire de l'Humanité.  Je ne porte pas Sarkozy dans mon coeur c'est le moins que l'on puisse dire mais j'ai été très contente de voir les choses remises à leur place. Je citerai donc la fin de la "tirade" de Madame Diament :

"Parce que merde à la fin !"



Mercredi 14 mars 2007 à 17:37

Deux fêtes, un mariage, les réunions hebdomadaires, les disputes, les boutiques faites en 4ème vitesse "parce qu'on ne peut pas rencontrer les directeurs des lycées et de l'IEP en ressemblant à une ado normale" entre deux trois courses à travers les couloirs de locaux suffocants pour livrer une bataille administrative, l'organisation d'un anniversaire et de la collecte d'argent qui va avec, le tout donne journées et des nuits fort bien remplies. Pas forcément de ce que j'aime (euphémisme quand tu nous tiens) mais il faut bien se donner les moyens. Ma belle moyenne de 5 posts par jour est définitivement plombée, vous n'avez pas eu besoin de moi pour le voir. Cependant il fallait bien que je m'en excuse. C'est fait ? Presque.

1000  pardons.
Mymy

Et en attendant : croiser les doigts pour que JB ou Cyrielle appelle avant mercredi prochain.
Bande-son : Oasis - Acquiesce

Mercredi 14 mars 2007 à 17:22

"Quand la vérité ne te suffit pas il faut en inventer une autre.."


- Et tu comptes faire quoi d'ici cet été ?
-Vivre.
- Vaste programme... Tu veux vraiment le faire ?
- Et toi que veux-tu ?
- Tu ne réponds pas à ma question.
- Pour une fois que je t'en pose.
- Je ne suis pas un exemple à suivre.
- Moi non plus, et je n'ai pas l'ambition de l'être.
- Bien. Nous sommes d'accord.
- C'est trop facile, tu passes par dessus tout.
- Je sais, ça fait mal.
- A qui ?
- A tous il me semble.
- Modeste par dessus le marché.
- Navré.
- Pas autant que moi.
- Qui sait un jour dans..
- Un jour quand tu auras quelque chose dans le pantalon oui. Qui vivra verra. Et merde à la fin. Tu me feras signe. Il ne sera surement pas trop tard.


Les dialogues imaginaires I .

Mardi 13 mars 2007 à 21:57

Arrêter le judo est très dur moralement parlant, mais c'est encore plus dur physiquement. Mes muscles me démangent et j'ai l'impression de me ramollir de jour en jour. Alors je me bats contre moi-même, je passe des heures à me "défouler" vélo, course, combat, abdos tout est bon, je me fais souffrir, je compense de manière violente les efforts que je ne peux plus fournir au quotidien.
Ca n'est pas grave, je maîtrise la situation et je suis très très bien entourée. Mais comprenez que quand on me demande "Comment ça va  le judo ? " ou qu'on me dit que "Tes contre-indications sportives ne valent pas pour les compétitions de judo haut-niveau je présume ?" je me sens horriblement mal, je me retiens d'exploser, pour être honnête les larmes me viennent aux yeux de chagrin et de colère. C'est un pan entier de ma vie qui a été balayé par des choses qui me dépassent. La seule lueur que je veux voir c'est la fin de ma croissance, dans quatre voir cinq ans, si elle n'a pas fini de détruire ma colonne vertebrale d'ici là. Mais l'oubli est simplement inenvisageable. Oui je fais toujours du judo, je n'ai jamais arrêté.
J'ai donné ma parole. Je m'y tiens.

Mardi 13 mars 2007 à 20:16

Tuer sa mère est toujours un acte illégal.
Il est donc 20:15 et je vais me calmer dans ma chambre. Zen. J'avais un tas de choses à dire, à écrire : ça attendra.
Un grand merci à vous tous, qui venez lire mes deux trois conneries. Et les grands mercis en particulier à tous les gens qui le savent.


Lundi 12 mars 2007 à 21:20

Une seule chose peut éteindre cette ombre, la lumière qui l'a allumée.

Rien à dire. Tout est si bien résumé en une phrase.

~ Avant j'allais parmis la foule pressée, la suivant ou non selon l'humeur du jour, je respirais le même air, je buvais la même eau tout en étant ailleurs. Aujourd'hui je suis arrêtée au beau milieu, je suis une acalmie dans cette masse compacte d'humains qui vont et viennent, l'îlot perdu et sans nom qui voit l'océan dans ses états les plus secrets, sans en parler et sans le ressentir. ~

Lundi 12 mars 2007 à 18:07

Désolée je n'ai pas grand chose à vous raconter. Je me suis fixée des objectifs atteignables, j'ai bossé un peu tout de même, hier soir et cette nuit, on verra bien ce que cela va donner. Ma moyenne d'espagnole a encore  augmentée malgré cette chère professeure qui prétend que je n'ai pas un niveau convenable (je tiens à préciser que pour cette prof, 11 de moyenne de classe, pour une classe de 20 élèves, c'est très bien en seconde ><). Mon père parle d'un éventuel appartement à Valenciennes. J'ai mal au dos. Je leur parle. Il fait beau. Rimbaud, Nothomb et Maupassant. Les écouteurs du MP3 qui déconnent. Inquiétude pour cet été .. Et patati et patata. Voilà. Oui je suis encore vivante !
Je freine mon inspiration pour laisser le temps à Bailey de tout lire (la grande folle). Je ne suis pas convaincante je sais.

Lundi 12 mars 2007 à 17:55

Audacieuse, c'est le moins que l'on puisse dire (mais je suis assez contente de voir ce type de vidéo circuler, je ne le cache pas) :




Tirée de : 
désirs d'avenirs.

Dimanche 11 mars 2007 à 21:17

噂をすれば影
 
J'en parle, et j'en parle encore, je me répète puisque visiblement cela me plaît. Je ne vois que l'ombre... ; avez-vous remarqué qu'elle est parfois bien plus grande que le personnage qui la porte ? Je la sublime sans doute au cours de mon voyage, qui se voulait à la base, l'élement déclencheur de mon détachement. L'échec fut total. Pire, l'effet fut l'exact opposé de celui escompté.
Rien ne correspond dans les faits. Je n'ose pas m'avancer vers cette lumière, elle me ferait, plus tout, mal.
Uwasa wo Sureba Kage
En parlant de quelque chose on en voit l'ombre..

Dimanche 11 mars 2007 à 16:53

Je ne sais pas si c'est le temps qui fait ça, si c'est parce que je me suis réveillée vers 9heures à cause d'un rayon de soleil qui venait chauffer ma chambre si c'est  la musique dans mes oreilles depuis ce matin, si c'est le fait de parler avec des amis, si c'est pour des raisons encores inconnues.. Ca doit être un mélange de tout cela. Quoiqu'il en soit, je n'ai pas fini (fait ?) mon travail, je n'arrête pas de me disputer avec mon entourage et je m'en fous. C'est une sensation délicieuse. Ne pas répondre et s'enfermer dans ce qu'on aime. J'aurais du le faire depuis perpet.


Samedi 10 mars 2007 à 23:34

Je me suis dit que quitte à vous faire découvrir certaines chansons, autant vous mettre le clip quand je l'ai en ma possession. C'est le cas avec A Movie Script Ending, de Death Cab For Cutie (j'adore ce groupe si vous n'aviez pas remarqué)



Et je répète les mêmes erreurs, j'y pense dès que je vais dans une gare, une station de métro, un aéroport. Pourquoi on en est arrivé là ? Tu es pas assez lâche et moi pas assez stupide ? Généralement je dis le contraire avec l'inverse pour compléter.  J'ai peur de ne plus jamais avoir ma chance.  Pourtant je suis persuadée que l'on se mérite l'un l'autre.


Samedi 10 mars 2007 à 21:11

 Les victoires de la musique.. Que cela fait du bien de voir des artistes tels qu'Anaïs, Cali, Miossec, Bénabar etc.. surtout après avoir entendu la chanson qu'a enregistrée Clara Morgane, mais dès la première Victoire, pour le meilleur-clip, remise à Kamini et son "fameux" Marly-Gomont.. Je vais pas tout regarder je crois.


Et j'avoue que si j'avais pu choisir à qui remettre cette récompense, j'aurais sans hésitation donné ma préférence à Ayo, une métisse afro-gypsie (hum ça ne joue pas du tout en sa faveur..) *kof kof*
Pour le plaisir.. Et puis j'ai découvert cette chanson cet été alors que j'étais dans un coin paumé du Sud de la France et pffiu.



Samedi 10 mars 2007 à 20:05

Si elle part je me sentirai vraiment mal. Je lui fais confiance, et elle sait. C'est énorme, sans que personne n'en sache rien. Ses mots, peu nombreux, sont pour moi plus forts que tous les autres réunis.
Je ne saurai pas lui dire merci, elle ne comprendrait pas pourquoi. Elle ne doit pas s'en aller, point barre. Je ne peux pas redonner son commentaire ici car ce serait trahir le reste, et pourtant c'est aussi un post-it.

Samedi 10 mars 2007 à 14:37

Mal à la tête, les larmes qui coulent, les énormités qui pleuvent "c'est à cause de ces conneries d'Harry Potter, littérature, intellect etc.." Prise au vol alors que j'étais partie. Prise dans la gueule plutôt. Mon échine se courbe et je ramasse les coups comme j'ai appris à le faire. Une main sur mon épaule, comme un poids plutôt qu'une aide. Le maquillage qui a coulé, les traits figés par la colère, comme le pressentiment que je ne sortirai pas cet après-midi. Je suis une égoïste et on me parle de solution. Elle passe du coq à l'âne. De quoi ont-ils vraiment peur ? C'est facile pour moi. Ah oui c'est facile... Voilà trois ans que je m'inquiète de ce que je vais faire, laissant les périodes et les avis se succéder, mais il y a toujours eu ce mécontentement parce que non ce n'est pas ce dont je rêve. Il m'arrache un sourire tient. Je ne veux pas devenir ce que je ne suis pas. Une furieuse envie de lui crier dessus, Harry Potter, mais certainement, et quand à dix ans je restais éveillée jusqu'à trois heure du matin avec une petite et fiable lumière rouge, démontée au vélo d'un ami dans la bouche pour continuer à lire ? Et quand à deux ans je passais des heures à jouer avec mes lettres, puis avec mes mots, mes phrases et enfins mes chiffres pour être sure de pouvoir sauter une classe, de pouvoir LIRE enfin, de pouvoir m'exprimer, de pouvoir écrire. Je n'aurai pas la détermination suffisante dans quelques années pour reprendre quelques bases en économie ? Suffisament pour passer un hypothétique concours si je rate tout le reste ? Beaucoup me disent depuis longtemps que je suis une "littéraire", je ne nie pas, mais je ne dis pas oui, parce que quelque chose me gêne. On contrebalançe, je suis en réalitée une auto-didacte. Si c'est vraiment ça, et bien l'autodidacte a décidé d'être littéraire visiblement. Mon ouverture d'esprit, mon intérêt pour le monde qui m'entoure, tout vient que de là. "Si tu avais des résultats piteux en maths et en éco je ne dis pas.." Alors quoi ? Je suis trop bonne pour pouvoir faire ce que je veux ?  Mais merde dans quel système je suis là ? Je parle de théâtre et d'art, on me dit que ce sont des grandes idées, des grandes conneries que l'on m'a mises dans le crâne. Ils se voient mieux peut-être ? Ils sont boursouflés de préjugés. Là-bas j'aurais été heureuse. Non. Ils n'ont pas voulu m'y préparer. C'est un chantage qui se dessine. Les études commencent après le bac, le but du jeu n'est pas de faire ce que tu aimes. Elle elle a fait ce qu'elle aime mais n'est pas allée jusqu'au bout, c'est pourquoi elle a un job qui paye des misères alors qu'elle bosse plus que le directeur, et ils le reconnaissent aisément, elle est surqualifiée et me dit que si je m'engage dans cette voie, elle ne me soutiendra pas, ce sera fac une licence de rien et puis hop larguée. Ce n'est pas mon ambition, cette dernière elle refuse de la prendre en compte parce que le chemin que je veux emprunter elle ne le désire pas. Elle a été infoutue d'avoir le courage de le prendre quand c'était son tour.

J'ai un putain de profil littéraire, des moyennes excellentes dans toutes ces matières. (c'est pour ça que cet article doit être une horreur en termes de syntaxe et d'orthographe)
J'aime la lecture, l'écriture, les arts, la philosophie, l'histoire, les langues, mais aussi le monde actuel.
Je ne suis pas une littéraire et je suis en route pour foirer mon orientation.

Des problèmes de moyens, j'avais oublié.

Pourtant il croit en moi, j'ai voulu lui dire mes doutes en quelques mots, il ne m'a pas laissé faire. Parce qu'il n'y a pas de raison. J'y arriverai.
Ses paroles je les receuille et il a le don de me rendre paisible par ma colère.

La musique parce que je vois une amie sur msn avec ce qu'elle écoute et ça fait tilt.


Samedi 10 mars 2007 à 13:59




Je n'aime pas jouer les donneuses de leçons mais je crois que certains cow's jeunes ou moins jeunes, appuient un peut trop vite sur entrée. Je ne parle même pas que pour cowblog en fait, il est vraiment dommage que les autres plates-formes n'aient pas d'encadré identique à celui-ci. Un article à moi a été plagié, certes c'est la preuve d'un (très relatif) succès on peut dire ça comme ça, mais je n'ai pas apprécié vous pouvez en être surs. La personne a été avertie et a eu l'extrème gentillesse de retirer "son" article. Je ne veux pas avoir à interdire le clic droit ou d'autres conneries de ce genre ici. Laissez-moi ça s'il vous plaît. Aujourd'hui j'en ai besoin.

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