PS : oui, pour une fois je cite. Je ne dissimule pas, je n'auto-censure pas. S'il y en a que ça dérange j'ai simplement envie de leur dire qu'une fois sur bientôt 2600 y'a vraiment pas de quoi me chier une pendule. Surtout ce soir. Même si des excuses sont envisageables.
Mardi 11 novembre 2008 à 20:46
J'en ai mais vraiment ras-le-bol que les gens me mettent sur le dos des problèmes qui n'ont aucun rapport avec moi. Mais c'est plus simple n'est ce pas ? Ils ont un problème principal tellement énorme qu'ils ne veulent pas le voir. Du coup ils se focalisent. Et sur qui ? Bah ouais, dans le mille, c'est pour ma gueule. Je n'ai jamais cru que j'aurais pu m'appliquer l'expression tête de turque. Quand ma personnalité voire même mon physique dérange je peux encore comprendre. Alors que là désolée mais au bout d'un moment... Pffiuuu. J'vais pas les laisser se défouler indéfiniment sous prétexte que je sais que ça n'est pas vraiment moi qui suis en cause. C'est comme là j'ai une intense envie de me défouler sur toi, j'sais même pas si je peux m'adresser directement, bref sur le Toi d'il n'y a encore pas longtemps, sur le Lui du même temps pas si loitain, sur JD. Je pourrai trouver des raisons. Qui pourraient même être justifiables voire justifiées. Non. Parce que j'ai envie de me sentir un peu moins conne en toute honnêteté. Donc je vais la fermer et aller me coucher. Encore une fois. Je ne sais pas si plus tard ce sera à regretter et pour l'instant je m'en fous.
PS : oui, pour une fois je cite. Je ne dissimule pas, je n'auto-censure pas. S'il y en a que ça dérange j'ai simplement envie de leur dire qu'une fois sur bientôt 2600 y'a vraiment pas de quoi me chier une pendule. Surtout ce soir. Même si des excuses sont envisageables.
PS : oui, pour une fois je cite. Je ne dissimule pas, je n'auto-censure pas. S'il y en a que ça dérange j'ai simplement envie de leur dire qu'une fois sur bientôt 2600 y'a vraiment pas de quoi me chier une pendule. Surtout ce soir. Même si des excuses sont envisageables.
Mardi 11 novembre 2008 à 16:40
Avoir ça en tête : "mais je t'envoie tous mes baisers, les étoiles et les scotchs usés..."
Le reste, on oublie. <3
Le reste, on oublie. <3
Mardi 11 novembre 2008 à 16:33
Si tu veux jouer à ce jeu là tu vas perdre. Et tu vas tomber de haut. En terme de déshumanisation j'ai longtemps été la meilleure. Notre bref intermède n'aura pas changé ça. Il n'a pas changé grand-chose en fait. Faut pas rêver non plus. Tu auras glissé sur moi. Mais j'ai oublié de te prévenir. Tu aurais vraiment mieux fait de t'arrêter. J'étais la dernière chose qui te protégeais du vide. Quand je t'ai récupéré tu étais sur le point de te perdre à jamais, la majeure partie de ton corps n'était plus retenue. Par la suite je n'ai pas été vache, je t'ai ramené un autre support, que tu avais balancé auparavant. Maintenant tu le rejetes encore une fois. Je t'en prie. Fais ce que tu veux. Après tout, l'histoire n'est-elle pas un éterne recommencement ? Sauf que je compte bien garder ma place. Je cumulerai. Ca n'est pas grave. Au contraire. C'est tellement mieux.
Mardi 11 novembre 2008 à 11:28
Mais agis putain de bordel de merde ! Agis parce que tu ne peux pas partir de suite ! Et ce sera pire après. Alors agis au lieu de te plaindre. Et quand on dit ne connaître personne il serait peut-être déjà temps de découvrir les gens que l'on pense connaître. Ces gens dont on a au final une idée si fausse.
Lundi 10 novembre 2008 à 7:31
N'avoir aucune envie de se lever. De quitter ce lit qui n'a connu, c'est vrai, aucun bons souvenirs. La chaleur des couettes. Allumer la lumière malgré tout parce que ça n'est pas mon genre, qu'il y a des choses à faire. C'est juste dur de s'en persuader certains matins. Et puis descendre et petit-déjeuner en face de ma mère qui commence à pleurer. Ah ouais t'as raison. Elle est facile ma vie. Il est facile de vivre.
Dimanche 9 novembre 2008 à 19:22
Leur demander du feu. Fumer. Partir. Répondre. Espérer. Observer. Cligner. Bouger. Se rapprocher. Lire. Lire encore. Se préparer. Partir. Fumer. Rire. Apprendre. Se regarder. Vouloir photographier. Chanter. Ecouter. Ecrire. Fumer. Chanter encore. Croire. Ne pas croire. Mentir. Chanter. Téléphoner. Convenir de rendez-vous. Apprendre.Parler. Passer. Jouer. Les regarder s'approcher. Sourire. Ecouter. Zigzaguer entre les sixièmes. S'ennuyer sans. Avoir envie de.
Samedi 8 novembre 2008 à 22:26
Y'a des choses auxquelles même toi tu ne peux pas me faire croire. Et je n'y peux rien.
Samedi 8 novembre 2008 à 19:01
Les barrières n'ont jamais existées dans son esprit, juge, jurés, victime, accusée, coupable, témoin, avocat. Elle est tout.
Et elle le sait, par dessus le marché. Bourreau aussi.
Et elle le sait, par dessus le marché. Bourreau aussi.
Samedi 8 novembre 2008 à 18:31
J'ai dit une énorme bêtise. Ne t'arrête surtout pas de sourire.
Samedi 8 novembre 2008 à 18:21
Je suis mythomane.
La phrase précédente est vraie.
La phrase précédente est vraie.
Samedi 8 novembre 2008 à 16:54
J'suis légèrement medium, en fait.
"Se souvenir. Se délecter. Aller au cinéma. T'offrir les places. Rire. Rire. Sans jamais s'arrêter. Je ne sais pas m'arrêter. Vous pensez qu'il y a mur au bout ? J'espère pas."
"Se souvenir. Se délecter. Aller au cinéma. T'offrir les places. Rire. Rire. Sans jamais s'arrêter. Je ne sais pas m'arrêter. Vous pensez qu'il y a mur au bout ? J'espère pas."
Samedi 8 novembre 2008 à 15:05
Oh que si, quand on se casse la gueule ça fait très mal.
"Rire. Et garder ce rire au creux de la gorge, entre les deux cordes vocales, la place n'est pas bien grande mais il n'en sera que plus vrai. Peut-être. Je vais bien. Je ne suis pas beaucoup sur l'ordinateur mais je vais. Si je n'écris pas beaucoup ici, j'écris beaucoup ailleurs. Sauf que les mots ont trouvé quelqu'un vers qui aller."
"Rire. Et garder ce rire au creux de la gorge, entre les deux cordes vocales, la place n'est pas bien grande mais il n'en sera que plus vrai. Peut-être. Je vais bien. Je ne suis pas beaucoup sur l'ordinateur mais je vais. Si je n'écris pas beaucoup ici, j'écris beaucoup ailleurs. Sauf que les mots ont trouvé quelqu'un vers qui aller."
Samedi 8 novembre 2008 à 14:58
La loyauté... Ça oui. La loyauté. Il en connaît un rayon. Et puis le gris n'existe pas. C'est blanc ou c'est noir. Du coup son choix semble logique. Très logique même. Elle doit être le blanc. Parce que nous sommes trop différentes. Ou pas assez. Je n'en sais rien. A croire que je ne sais plus rien. Oui, excusez-moi, mais ma tête ayant implosé j'ai un peu de ma à connecter mes neurones entre eux. Ca n'est pas l'effet secondaire le plus désagréable mais il reste handicapant. La fidélité, tiens, pendant que nous y sommes. Parlons-en. Je m'en fous de la fidélité. Mais alors en long en large et en travers. Toi non. C'est pour ça que tu as décidé de ne pas l'être, fidèle. De suite ta logique est un peu plus bancale. Autour de nous les gens se mettent à crier, ils hurlent... Je préfèrerais entendre les loups chanter à la lune, et de loin. Toi aussi je pense. On ne choisit pas forcément. C'est le moins que l'on puisse dire. Avec tes conneries là j'ai perdu pied. Je me suis cassée la figure. Contrairement à eux je suis restée silencieuse, justement pour ne pas me perdre dans cette foule harassante.
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En fait non.
Retour.
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En fait non.
Retour.
Samedi 8 novembre 2008 à 14:56
Je n'ai plus mes archives de conversations de mars dernier. Et ça me fait royalement chier.
Samedi 8 novembre 2008 à 14:30
"(Il est où mon coeur là ? J'ai un truc qui vient de me faire très mal en se propulsant sur mes côtes, je suis pas sûre que ça soit ça..)"
Samedi 8 novembre 2008 à 13:32
S'endormir à 19h40. Se réveiller à 11h40. Ah là pour le coup je dors et je ne réfléchis pas. Je loupe un DS d'éco que j'avais bossé. J'suis encore fatiguée. Il y a du vent. Il y a de la lumière. Tout à l'heure j'ai eu une pensée inédite. Presque dérangeante. Je ne la donnerai pas. Allez. Tentez un peu de trouver. Ce n'est pas si dur.
Elles sont toujours là, quelque soit la saison.
En six lettres au pluriel.
Vendredi 7 novembre 2008 à 18:03
Le pire en fait c'est de ne pas pouvoir savoir ce que l'on veut.
Vendredi 7 novembre 2008 à 17:48
Et si j'arrêtais de vouloir pardonner ? Non je dis une connerie là : je n'ai pas souvent pardonné, je laisse les gens revenir.
Quand survivre est un maximum plûtot qu'un minimum.
MAIS PUTAIN ARRÊTE DE SOURIRE !
Quand survivre est un maximum plûtot qu'un minimum.
Jeudi 6 novembre 2008 à 21:01
Partir. Fac. Ecole. Lille. Partir plus loin. Fac. Être tranquille. Fac. S'écouter. Ecole. Fac. Bientôt. Ecole. Prix. Fac. Si au moins je savais pour.
Ma tête. Implosée.
Ma tête. Implosée.
Jeudi 6 novembre 2008 à 20:57
La flemme de vous poser tous les mots qui traînent, que j'aperçois entre quatre feuilles et deux cahiers. J'aimerais bien savoir ce qu'il est devenu ce cahier. Mais surtout l'enveloppe. Je l'avais dit je crois. Le délai de sept mois a été prolongé à l'infini.
Elle avait raison, une cigarette alors qu'il n'y a pas un chien dehors. Voilà. C'est bien ça. Devant la bibliothèque, devant le lycée, qu'importe. Sans prise de tête. Même si je sais que cette histoire aussi peut finir mal. Pourtant elle est tellement plus simple, dès le début. Avant le début d'ailleurs. J'apprécie. Alors pourquoi je n'y arrive pas ? Sourire, rire, pas besoin de faire attention au moindre mot, à la moindre phrase prononcée. Vivre. Simplement ? C'est peut-être pour ça que ça ne marche pas. J'ai été habituée à plus.
Toujours la même. La Tempérance.
Mettre de l'eau dans son vin.
Facile.
Elle avait raison, une cigarette alors qu'il n'y a pas un chien dehors. Voilà. C'est bien ça. Devant la bibliothèque, devant le lycée, qu'importe. Sans prise de tête. Même si je sais que cette histoire aussi peut finir mal. Pourtant elle est tellement plus simple, dès le début. Avant le début d'ailleurs. J'apprécie. Alors pourquoi je n'y arrive pas ? Sourire, rire, pas besoin de faire attention au moindre mot, à la moindre phrase prononcée. Vivre. Simplement ? C'est peut-être pour ça que ça ne marche pas. J'ai été habituée à plus.
Toujours la même. La Tempérance.
Mettre de l'eau dans son vin.
Facile.