Jeudi 6 novembre 2008 à 18:14

"Cigarettes taste like the last time we kissed, or was it the last time you ask me to quite ?"


Concert atypique.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/cocoon.jpg

Je passerai sous silence l'attente et la première partie.
Cocoon. Géniaux. (j'ai aimé le bassiste australien, la minute blonde...)
Pas de blancs, une ambiance excellente.
Y'en a un qui a vu Morgane en soutif. Moi j'ai vu le slip de Mark.
Ils ont chanté Seesaw et Microwave. A la suite.
"Ils vont me tuer."

Concert atypique.

Mais au final, pas de remords.

 
Y'a plus qu'à être soi sur scène. Et à se faire applaudir, crier, aimer de la même manière.

 

Mercredi 5 novembre 2008 à 12:10

Se saouler de sommeil pour oublier les mots. N'en être à rien.

Mardi 4 novembre 2008 à 19:26

Comment me pourrir la soirée en deux phrases.

Oui, en ce moment je fais dans le minimaliste. Et je n'ai toujours pas appelé l'iscom. Ni celle de Lille ni celle de Montpellier. Je ne sais pas non plus où je veux aller. Tout va bien.

Mardi 4 novembre 2008 à 18:59

Putain mais n'oublie pas que toi aussi t'es revenu, par curiosité et par nécessité. Mais quand on met des mots sur des actions le minimum serait tout de même de les assumer. Les mots. Les actions. Qu'importe. Comprendre qu'on ne peut pas tout faire. Moi j'étais là. T'as choisi. Ne fais pas semblant. Je ne t'ai pas forcé. De toutes façons je n'ai aucune influence. Alors merde. Ne fais pas comme si... Ne fais pas pas comme si... Arrête de blesser les gens dont tu te fous. L'indifférence n'est pas la pire des choses en soi. Elle peut juste le devenir.

Mardi 4 novembre 2008 à 18:41

Et bah DESOLEE !

Lundi 3 novembre 2008 à 19:51

Plus je suis déçue plus j'invente à nouveau. Plus j'invente à nouveau plus je suis déçue.

Se retrouver dans un cinéma. Pour la première fois depuis cet été. Seule avec pas grand monde dans la salle. Toutes les sensations qui reviennent. Se projeter dans le passé. Combattre l'envie d'y retourner. Bien sûr que j'ai envie de me casser. L'important c'est... Non. Rien.

Jouer de la guitare et chanter.

Lundi 3 novembre 2008 à 11:18

Parce que rêvasser ne me fera pas avancer. Même si c'est foutrement plus facile.

Dimanche 2 novembre 2008 à 22:14

Et l'écouter chanter.

Dimanche 2 novembre 2008 à 22:10

J'vous ai perdu. Et moi avec. Mais je n'ai jamais cessé de vous aimer. Ma demi-présence. Ca m'a fait mal. Pour moi vous étiez pleinement là. Je ne me suis jamais considérée qu'autrement avec vous. Maintenant c'est décidé. Le carton rouge je vais l'ouvrir à nouveau. Je vais dégager les scotchs. Plus de rancoeur. Envers personne. Ne garder que les bons moments. Je ne peux retrouver ces moments. Je chercherai donc des équivalents. Ca risque d'être dur. C'est l'histoire d'une jeune tigresse qui a perdu de sa fougue, et qui ne se voit à travers les yeux de personne.

Du courage, du courage, du courage...
 

Dimanche 2 novembre 2008 à 4:12

J'ai envie d'aller à Paris début janvier.


(et The Guild II, c'est le mal. Prenant comme jeu. Très prenant. Trop prenant.)

Samedi 1er novembre 2008 à 1:23



Allez mes petiots, parce que ça faisait longtemps.
Et rien à foutre : demain je danse.
Quitte à en crever de douleur.
 

Samedi 1er novembre 2008 à 0:44

"Je ne peux pas m'empêcher de penser [...] à rien."

Quand elle a tout bouffé. Salope. Je t'en veux. Je m'en veux. J'crois que j'en veux plus ou moins à tout le monde.

Dis, on se la fera quand même un jour ?

Samedi 1er novembre 2008 à 0:08

Se réveiller au beau milieu de la nuit. Plusieurs fois. Se réveiller en sursaut. Sentir mon coeur descendre dans ma poitrine en une fraction de seconde. Avoir chaud. Avoir froid. Se retourner. Une moitié de seconde. Un peu trop soudainement.  Arrêter toute la machine d'un coup. Laisser la couverture retomber. Et se sentir remonter un peu. Regarder. somber à nouveau dans le sommeil, sans s'en rendre compte et seulement pour quelques heures. Le beau moment n'était pas tout à fait celui-là.

L'autre je vous le raconterai peut-être. De toutes façons il ne sert à rien de garder pour soi les chimères. Même celles qui sont réelles. Alors nous sommes repartis.

Vendredi 31 octobre 2008 à 22:56

Sortir du métro et croiser François. Comme par hasard. On sait que le hasard n'existe pas avec nous deux.  Se parler un peu. Avoir soudainement l'envie de repartir, d'écouter du jazz, d'accepter d'aller boire un verre et reprendre à zéro. Ou presque. Juste changer. Et revenir. Puis recevoir un sms. Pousser un léger soupir. Lui sourire et lui dire que j'ai un train à prendre. Parce que s'il ne fait pas partie de ma vie.... Il n'y en a pas sans. En dehors de tout. Comme en dedans. C'est aussi à ça que je pensai. Je ne m'endormai pas. Un de ces jours je te le dirai.

Marcher vers la gare. Continuer. Ne plus retourner en arrière.

I Keep Walking.

Le problème c'est que les gentils bonhommes je ne les trouve pas intéressants.

Vendredi 31 octobre 2008 à 21:08

Toujours préférer les remords aux regrets. Toujours. Toujours être d'accord avec cette idée. Toujours vouloir l'appliquer. Et échouer, encore une fois. Après un temps d'arrêt pareil j'aurais dû revenir. Oh oui.

Et ce mail. Raaaaaaaaaaaaah.
(Merci à Jean et Julie pour le premium.)

Vendredi 31 octobre 2008 à 15:41

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/Photo1252.jpg

Ils sont en train de monter le marché de Noël sur la place Rihour.
Ca va être long après ça.
Ou court.
Dans les deux cas. Fèche.

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:51

J'avais oublié. Aujourd'hui c'est Halloween. Ca ne veut plus dire grand chose mais j'aime me rappeler tous les bons moments que j'y ai passé. Il y a deux ans, il y a trois ans... Après ce sera Noël. Seule. Comme il y a un an. Ca fera un an, tiens. Mais je le resterai. On verra ça pour le nouvel an. Comme il y a deux ans. C'est bien pour les fêtes j'alterne. Ca n'est pas comme pour les mois de juillet ou août.


Le jazz. Les pompiers. Simon. Nicolas. Sébastien. Noémie. Vincent. La charette. La fête. Les cartons. Le dernier. Lui. Eux. Les nuits blanches. Les nuits rouges.

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:38

Ils sont pitoyables a avoir tous les deux peur de l'autre. Et mutuellement inversement etc. Pendant ce temps là on est au milieu. Deux choix sont possibles : on en profite pour les choses futiles, matérielles et on morfle pour l'important. Ou alors on morfle pour l'argent et on en profite pour les choses importantes. J'ai choisi la deuxième option, celle qui me permet de m'en sortir sur les deux tableaux. Celle qui fait que je ne suis même pas obligée de répondre aux questions. Je les retourne. J'en fais des armes contre eux. Des marches pour moi. Je ne leur marche pas dessus pour autant. Mais ça pourrait arriver. Je suis une garçe. Peut-être bien. Ca n'est pas pour autant que j'ai tout. Ca n'est pas pour autant que moi je vous détruis. Je vous laisse tranquille. Soyez des témoins aveugles. On ne vous en voudra pas. Les risques que tout pète se réduisent de jour en jour. Va bien falloir que je m'envole. Promis je vous préviendrai. Ou pas. Si ce foutu mail voulait bien me faire le plaisir de s'envoyer.

Julie, j'espère que tu as raison.

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:21

MON PREMIUM EXPIRE CE SOIR A MINUIT !!!!!!!

Si quelqu'un pouvait m'en avancer un, je pourrai lui en rembourser un au plus tard le mercredi 5 novembre.. Mais là j'ai totalement zappé avec la nouvelle version et tout et tout.... S'il vous plait. Ca me ferait plus que chier de perdre les articles et les designs maintenant que j'en suis là....

Jeudi 30 octobre 2008 à 0:22

Arpana : "Celle Qui A Renoncé" et hier encore j'avais envie de te demander, mais qu'est ce que ça peut bien te foutre ?

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