Jeudi 5 juin 2008 à 18:48
Et puis Thomas je voulais te dire merci. Pour la chanson et pour tout le reste. Voilà. Tu m'as demandé de faire court.
Jeudi 5 juin 2008 à 18:45
C'est plus simple en anglais.
C'est toujours plus simple en anglais.
Ma vie serait peut-être plus simple en anglais.
J'en sais rien à vrai dire. On verra ça, plus tard. Comme on pourrait très bien ne pas le voir. Tu m'en poses aussi toi des questions à la con. Dix-huit, dix-neuf, vingt ans, j'ai oublié qu'elle était la différence.S'il y en a eu une un jour. Ce dont je doute. Toi. Toujours présent. Toujours absent. Je ne t'ai rien demandé à la base. Mais je suis une incapable sans toi. C'est pas de ma faute. Ça n'est pas de la tienne non plus. Y'a pas de coupable. Peut-être parce qu'il n'y a pas de crime. Cela reste à voir.
Ne plus penser. Mon coeur tu es un beau salaud.
C'est toujours plus simple en anglais.
Ma vie serait peut-être plus simple en anglais.
J'en sais rien à vrai dire. On verra ça, plus tard. Comme on pourrait très bien ne pas le voir. Tu m'en poses aussi toi des questions à la con. Dix-huit, dix-neuf, vingt ans, j'ai oublié qu'elle était la différence.S'il y en a eu une un jour. Ce dont je doute. Toi. Toujours présent. Toujours absent. Je ne t'ai rien demandé à la base. Mais je suis une incapable sans toi. C'est pas de ma faute. Ça n'est pas de la tienne non plus. Y'a pas de coupable. Peut-être parce qu'il n'y a pas de crime. Cela reste à voir.
Ne plus penser. Mon coeur tu es un beau salaud.
Mercredi 4 juin 2008 à 22:54
Je n'aime pas la chanson que je vais passer ma matinée à répéter demain. Ils me manquent.
Mercredi 4 juin 2008 à 22:01
Elles répétaient toutes les deux des gestes rigoureusement identiques. Depuis toujours. Sans même en avoir connaissance. Sans avoir connaissance l'une de l'autre. Mais la différence fondamentale, celle qui ferait tout basculer plus tard, c'est que si l'une le faisait par conviction l'autre ne le faisait même plus par lassitude : elle en était au point d'avoir oublié ce que c'était.
Mercredi 4 juin 2008 à 16:24
S'il y a bien une chose qui m'insupporte et qui a fait que je n'ai pas beaucoup posté ces derniers jours (en plus d'un manque de sommeil indéniable), c'est lorsqu'on me dit que je fais de la pub partout, à tort et à travers. Ca n'est pas le cas. J'aime cette communauté et j'y passe une très grande partie de mon temps./ Alors si vous ne voulez pas un jour trouver un petit mot sur la porte vous demandant de repasser, arrêtez. Merci.
Cet article ne vise pas tout le monde, bien sûr.
Vous je vous kiffe. Voyons. Bien sûr.
Ah. Et puis. Mon dossier à 5h30 du mat. Tout dans le vent... Fiuuuuu
Mardi 3 juin 2008 à 19:17
Elle
est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire.
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire.
Paul Eluard - l'Amoureuse.
Et je chante.
Et je chante.
Mardi 3 juin 2008 à 5:52
Oui, il y a journée merdique et journée merdique. J'ai envie de retourner au chaud dans mon lit. Ce que je ne ferai pas. Envie de me lever à midi. Ce que je ne ferai pas. Mes yeux se ferment parce que je n'ai pas beaucoup dormi (deux heures) cette nuit, et au final je n'en ai même pas pleinement profité. De ma faute. Autant que c'est de ma faute si j'ai passé 25 minutes hier sous la pluie, cramant de ce fait mon portable. Zen. The leitmotiv. Ecrire avec ça ? Non. Trop dangereux. J'vais tenter de vous préserver encore un pti peu.
Lundi 2 juin 2008 à 20:17
La loi de Murphy, ou loi de l'emmerdement maximum. Parce qu'il y a eu beaucoup de choses bien dans cette journée mais assez de mauvaises pour pourrir tout le reste. Mais zut. Mon portaaaaaaaaaable quoi.
Lundi 2 juin 2008 à 18:08
JE VENDS UN VIBROMASSEUR !!!
Tout beau tout neuf. Ou j'échange. C'est un superbe modèle, samsung E360E.
Enfin. J'explique. Mon portable a pris l'eau. Enfin. Quoi. Mon portable, sous la drache, a pris l'eau. Et est resté bloqué sur le mode vibreur...
Dimanche 1er juin 2008 à 21:35
Mes articles ne se postent pas quand je le demande. Ca bug. Je ne chante toujours pas. Ma chambre n'est pas finie. Le clavier comme le ipod sont en charge. Demain je dois aller chercher une recharge. Pas de réponse.
Je me sens tellement bête à l'attendre. Il va bientôt téléphoner, à défaut d'arriver. Trente minutes de retard ça n'est pas grand chose en fait. Non, vraiment pas grand chose. Et puis la nuit est brumeuse ; il doit être retardé quelque part sur la route. Oui, ça doit être ça. Ça ne peut être que ça. Mais ça n'est pas non plus là peine que je m'inquiète. Dans moins d'un quart d'heure il va arriver, avec son habituel sourire sur les lèvres et je me sentirai encore plus bête que maintenant. Ouais, il le faut. C'est une promesse qu'il va tenir. Avant mon départ. Avant que nous ayons à arrêter. Non, non et non. Je veux que cela tienne, au moins pour que nous puissions être nous devant tous, au moins une fois. Il faut me laisser ça. Pourquoi tout semble devenir compliqué ? La situation ne l'est-elle pas assez ? Oh que si elle l'est. Je sors difficilement d'un enfer innommable, les portes du paradis sont là, si proches, et pourtant c'est comme si j'étais assignée à résidence, au purgatoire. Un purgatoire qui se réchauffe de plus en plus d'ailleurs. Pas facile de rester calme et confiante avec une atmosphère pareille. Au moindre faux pas je plonge, et le pire c'est que je plongerai seule. Il est hors de question d'entraîner qui que ce soit dans ma chute. Ah ! Je n'y suis pas encore. Pour l'instant je tiens. Je tiens et j'attends.
Il n'est pas arrivé. J'ai attendu toute la nuit. Je suis tombée de sommeil. Et ce matin je suis tombée, tout court. Oui, je me suis cassée la gueule. Si vous vous posez la question, encore une fois oui, ça fait mal. Pas qu'un peu. Par contre je suis restée seule, pas d'inquiétude à ce sujet. Qui m'aime me suive. Alors bien sûr, je n'ai pas été suivie.Je me sens tellement bête à l'attendre. Il va bientôt téléphoner, à défaut d'arriver. Trente minutes de retard ça n'est pas grand chose en fait. Non, vraiment pas grand chose. Et puis la nuit est brumeuse ; il doit être retardé quelque part sur la route. Oui, ça doit être ça. Ça ne peut être que ça. Mais ça n'est pas non plus là peine que je m'inquiète. Dans moins d'un quart d'heure il va arriver, avec son habituel sourire sur les lèvres et je me sentirai encore plus bête que maintenant. Ouais, il le faut. C'est une promesse qu'il va tenir. Avant mon départ. Avant que nous ayons à arrêter. Non, non et non. Je veux que cela tienne, au moins pour que nous puissions être nous devant tous, au moins une fois. Il faut me laisser ça. Pourquoi tout semble devenir compliqué ? La situation ne l'est-elle pas assez ? Oh que si elle l'est. Je sors difficilement d'un enfer innommable, les portes du paradis sont là, si proches, et pourtant c'est comme si j'étais assignée à résidence, au purgatoire. Un purgatoire qui se réchauffe de plus en plus d'ailleurs. Pas facile de rester calme et confiante avec une atmosphère pareille. Au moindre faux pas je plonge, et le pire c'est que je plongerai seule. Il est hors de question d'entraîner qui que ce soit dans ma chute. Ah ! Je n'y suis pas encore. Pour l'instant je tiens. Je tiens et j'attends.
Dimanche 1er juin 2008 à 19:35
Les informations qui illumineront votre journée : je suis totalement décalée, je vis totalement en décalé et je m'admire de la capacité que j'ai à m'inventer les coiffures lesplus folles juste en posant ma tête sur l'oreiller. Il est 19h34, l'heure de goûter. Et tout ceci serait trop long à vous expliquer.
Samedi 31 mai 2008 à 21:14
Bornée
Têtue
Fière
Humble
Changeante
Paradoxale
Stupide
Intelligente
Passionnée
Libre
Forte
Inventive
Rouée
Fragile
Exigeante
Facile
Compliquée
Multiple
Duelle
Silencieuse
Extravertie
Solitaire
Feignasse
Hyperactive
Décidée
Obsédée
Amoureuse
Folle
Raisonnée
Défoncée
Cicatrisée
[...]
Musicale
Impatiente
Floue
Préservée
Imaginative
Rêveuse
Observée
Gueularde
Blessée
Abattue
Battue
A battre
Invaincue
Oubliée
Photographiée
Dessinée
Migraineuse
Trentenaire
Mature
Immature
Vieillie
Inchangée
Têtue
Fière
Humble
Changeante
Paradoxale
Stupide
Intelligente
Passionnée
Libre
Forte
Inventive
Rouée
Fragile
Exigeante
Facile
Compliquée
Multiple
Duelle
Silencieuse
Extravertie
Solitaire
Feignasse
Hyperactive
Décidée
Obsédée
Amoureuse
Folle
Raisonnée
Défoncée
Cicatrisée
[...]
Musicale
Impatiente
Floue
Préservée
Imaginative
Rêveuse
Observée
Gueularde
Blessée
Abattue
Battue
A battre
Invaincue
Oubliée
Photographiée
Dessinée
Migraineuse
Trentenaire
Mature
Immature
Vieillie
Inchangée
Samedi 31 mai 2008 à 21:09
"To be continued..." ma vie ressemble un peu à ça. Et à un appareil photo que j'ai peu de chances de conserver. Après tout. Normal.
Samedi 31 mai 2008 à 20:57
Certains soirs où elle aimerait être fragile. Sauf qu' il y a cette voix dans la tête, d'abord faible mais dont la puissance s'accroit. Cette voix qui lui rappelle qu'elle n'est pas faible. Qu'elle ne le supporte pas. Alors bon. Il n'y a pas d'alternative. La tête qui tourne. Elle n'est pas fragile. Seulement cette envie de l'être. Ce devenir peut-être. Ça n'est pas la fragilité qu'elle désire. "Seulement" ses bras autour d'elle. Et puis. Au final. Être fragile paraît être une très bonne excuse. S'il en fallait encore une. Il lui en faut encore une, probablement, pour se justifier parce qu'avoir confiance elle n'y parvient pas pleinement.
Samedi 31 mai 2008 à 11:44
"Aujourd'hui, mon copain m'a dit que je ne l'intéressais plus et que je
pouvais oublier nos projets de vie commune pour l'an prochain. Au bout
d'une heure de larmes, il a souri : "T'es parti sans me dire je t'aime
sur MSN hier soir... Disons qu'on est quittes." Je sors avec un
psychopathe. VDM"
... Je trouve ça énorme (sans rapport aucun avec mon dernier article). Et le pire là dedans c'est que la plupart de mes ami(e)s seraient foutu(e)s de faire ce genre de choses.
... Je trouve ça énorme (sans rapport aucun avec mon dernier article). Et le pire là dedans c'est que la plupart de mes ami(e)s seraient foutu(e)s de faire ce genre de choses.
Samedi 31 mai 2008 à 11:39
Comme une envie de vivre. De courir dans Lille. Sous la pluie. Ou sous le soleil. Les deux sont acceptés. Mais courir, courir, à en percer mes semelles déjà bien usées. De prendre le train. De rire au nez de passants qui n'y comprennent rien. Leur dire tiens. Leur crier même. VOUS N'Y COMPRENEZ RIEN !!! M'asseoir au beau milieu. De quoi ? Bah. De tout. Au milieu de la cour comme lors de la dernière répétition. Au milieu de la place. Au milieu du pont. Au milieu de la gare. Hurler aux jeunes artistes qui mettent des trucs bizarres en place, en bas, leur hurler donc que les couleurs sont en train de se faire la malle. Que personne n'y comprenne rien. A ce qui se passe dans ma tête, derrière mon sourire. Mais sourire et être suivie. Oui. Sur le coup, j'ai envie d'aller courir dans Lille. De tout flouter. De ne pas voir. Et de moi comprendre, tout de même. Moi parler comme je veux. Avoir un rire. Énorme. C'est énorme. Ce serait énorme.
Samedi 31 mai 2008 à 10:31
Certains matins, c'est bien simple : rien ne va. On défile. La musique aussi. Et dès que la voix commence à chanter on a envie d'être seul avec le piano.
Samedi 31 mai 2008 à 7:42
Non, vous ne rêvez pas, il est 7h37 et j'écris un article. Etant éveillée depuis 6h15 et ne trouvant dans mon lit personne d'autre que moi (ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie... euh non, pas encore là tout de même) je me suis dit que je pouvais tout aussi bien, voire mieux, faire chier mon monde en écrivant un article sur ce blog qui commence à s'en foutre. C'est vrai quoi, un de plus, un de moins. J'avoue aussi que pour me sortir de la torpeur, alors que je posais mes deux pieds à terre (oui, oui, en même temps, pas de favoritisme), l'idée de poster avant mon immonde frangin (le immonde est tout ce qu'il y' a de plus affectueux) m'a paru séduisante. Il n'y a pas de petit plaisir. Ainsi la chienne pleure, mon nez gratte, mon pyjama est craqué et je vais me recoucher parce que l'immonde frangin (le vrai)* a découvert Dofus. Et ça... C'est la merde.
* On remarquera que la parenthèse passe sous silence toute notion d'affection alors qu'il me regarde taper.
Vendredi 30 mai 2008 à 21:22
J'ai retrouvé mes cartes, mon papier photo, mon vernis-colle, ma batterie pour le clavier, mes crayons de couleur, mon envie de photographier et celle de tout exploser, en même temps. Il ne me manque plus que ma voix donc.
Quoique, un peu moins de tension et un peu moins de fièvre je ne dis pas non.
Et l'image bah... Juste pour le plaisir.
NB : grand frère, c'est bon, on peut arrêter les recherches. =)
Quoique, un peu moins de tension et un peu moins de fièvre je ne dis pas non.
Et l'image bah... Juste pour le plaisir.
NB : grand frère, c'est bon, on peut arrêter les recherches. =)
Vendredi 30 mai 2008 à 19:06
Ils veulent aller au cinéma. J'ai envie de rester chez moi, en loques et avec une pizza devant une série télé plus ou moins débile. Qui sait. Dans quelques minutes ce sera peut-être : ils vont au cinéma, je vais rester chez moi, en loques et avec une pizza devant une série télé plus ou moins débile. C'est tout le mal qu'on me souhaite au final. Que je me souhaite, ouais. C'est encore un peu plus pitoyable qui sait. Aller lire quelques blogs qui parlent de la vie que je n'aurai jamais. Savoir qui lui manque, faudrait pouvoir reformuler en qu'elle lui manque sans perdre le sens grammatical original de la phrase. Sinon ça veut dire la même chose. Mais la grammaire et moi c'est une grande histoire d'amour. Comme je n'aime pas la rigueur mais que je n'aime pas les fautes, j'apprends le principal (six ans de latin notamment ça aide) et ensuite je compose. J'arrive vite à des trucs assez fun. Du genre. Du genre. Du genre vous avez quelques 213 pages de blog pour vous faire une idée. Sinon, pendant ce temps là, moi j'explose.
[Ma tête.
Mon coeur.
Mes poings.
Mon dos.
Mes cordes vocales.
Mon corps.
Au choix.]
[Ma tête.
Mon coeur.
Mes poings.
Mon dos.
Mes cordes vocales.
Mon corps.
Au choix.]