S'il y a un nouveau coup d'éclat.
Mercredi 30 janvier 2008 à 21:29
S'il y a un nouveau coup d'éclat.
Mercredi 30 janvier 2008 à 21:17
C'est un regard qui pourrait vouloir dire "Arrête maintenant." avec un peu de malice malgré tout. C'est d'ailleurs un regard qui semblait dire "Arrête maintenant." Mais c'est très improbable. De plus je ne lui accorde pas le droit de me lancer ce genre de directive. Hop, rayée de la liste des interprétations. Ca traîne dans mon trieur. Ca n'est pas grand chose mais c'est mieux que rien. N'est ce pas ? En me réveillant la nuit dernière, vers 5heures (ce matin si vous voulez), je me suis demandée si je n'avais pas fait une erreur stratégique. Je pense être différente. Le problème est de savoir si je lui trop ou pas assez.
Mercredi 30 janvier 2008 à 18:22
Juste m'en éloigner."
L'important est ailleurs. Même pas dans ma main crispée qui peine à écrire. Ni dans cette pluie qui tombe sur le village depuis ce matin. C'est un vieux cahier, s'oubliera avec le reste. Tout ce que je désirer encore aujourd'hui c'est jouer et qu'on me renvoie la balle. A se demander pourquoi lui n'y est pas. Il y a peut-être là quelque chose de singulier. Je ne le saurai sûrement jamais. Fèche. J'ai un pincement au coeur quand je repense à cette fin de non recevoir. Il y a un côté positif à tout.
Au moins ça n'était pas "mignon".
Mardi 29 janvier 2008 à 19:03
Je me suis trompée. Et j'ai rarement été aussi contente de l'apprendre. Fière également ; fière d'avoir osé demander en sachant qu'il y avait une chance sur deux pour que la réponse me fasse plonger. Six. Six ! Pas sept. Ou l'on m'a menti. Dans les deux cas ça n'est pas trop grave... C'est même plutôt bien.
De Sara, pour changer. Et oui. Ça me titille.
Mardi 29 janvier 2008 à 18:45
Mardi 29 janvier 2008 à 15:23
« Moi qui toujours sait tout d'avance, je ne vis rien
de palpitant… »
Non, moi ça ne sera pas ça. Je me demande même si moi ce
sera quelque chose. M'enfin, on dit bien que tout vient à point pour qui sait
attendre. Je voulais profiter de ce petit article pour remercier les personnes
qui m'ont souhaité un joyeux anniversaire hier, celle qui voulait le faire à
minuit, celle qui l'a fait à 6H46, celui qui l'a fait à 9h35, ceux qui l'ont
fait par mail, par article, par sms, par cris, et celui qui fut le dernier à me
le souhaiter. Avec tous les autres.
Et ceux qui l'ont oublié également. Mais voilà. Je vais
bientôt aller attendre Hélène et Caroline à la sortie de leur cours de
français. Elles ont LE prof qui fait toujours sortir en retard, et pourtant il
veut que ses élèves soient là cinq minutes avant. Histoire d'avoir une
véritable heure de français. C'est spécial, il faut le dire. Après nous irons à
la médiathèque, je ne sais pas si nous allons y entrer et « bosser »
ou si nous allons rester dehors à discuter, comme la semaine dernière. On me
dit que je tape vite au clavier. Ah bon. Le théâtre c'était quelque chose ce
midi ; ils n'ont pas réussi à enchaîner cinq répliques. Moi il faut que j'apprenne
à me taire. Ne plus avoir envie de parler ce serait l'idéal en fait.
Lundi 28 janvier 2008 à 18:18
Mais maintenant JE SAIS qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire de Nicolas Sarkozy !
on a pas idée d'être né à la même date que moi !]
Lundi 28 janvier 2008 à 15:15
"Y'avait B.".
D'accord. Super. Génial. Fantastique. Déjà elle m'énerve avec ses moitiés de noms. Sans compter la solitude d'une absence qui n'en est pas une et qu'elle souligne. Rien que ça. Je crois que je suis vexée. Soit il en a absolument rien à foutre soit nous nous sommes mal compris. Happy Birthday to you ! Quelle journée décidément. Et il n'est que 08h51. J'ose pas imaginer ce que sera la suite. Il faut que je me décide. Quel sentiment sera affiché ? Surtout rester calme. Parce qu'il n'incite pas au calme, justement.
Je me suis trompée. L'information captée n'était pas tout à fait exacte. Mais il y a eu rectification. Une parfaite rectification, d'autant plus que je n'ai pas eu à protéger mes sources ; elles étaient déjà connues. Tant mieux tant mieux. On va peut-être pouvoir se mettre au travail sérieusement si l'on trouve de quoi faire quelque chose des idées qui traînent depuis quelques mois.
Il ne faut pas essayer de deviner. Les devinettes ne sont pas recommandées dans mon cas. En même temps il n'y a pas grand chose qui soit recommandé dans mon cas. Ah, si, une chose : j'aurais aimé savoir dessiner. \||----|| Que voulez-vous, on fait ce qu'on peut quand on sait qu'écrire nous revient dans la gueule à chaque fois. Maintenant cela devient mon jeu, et en dehors des mots, plus de planque possible donc. Et je sais déjà quelles en seront les règles, qui aura le droit de jouer et qui gagnera. C'est important de prévoir un gagnant. Comme ça le lot est adapté.
Pour adapter il faut que les entrées dans le jeu soient volontaires. Ca devrait être le cas. Il ne reste plus qu'à voir quelle sera la prochaine action.
Dimanche 27 janvier 2008 à 22:02
Dimanche 27 janvier 2008 à 20:54
Je m'excuse d'avance auprès de Rémi dont j'ai énormément apprécié la compagnie, mais cet article ne parlera pas vraiment de lui pour une simple raison : c'est plus difficile.
Les quelques heures passées avec Rémi et Maïka donc, appartiennent à ces moments dont on hésite à parler. Parce que c'est tellement génial qu'on sait que tous les mots possibles et imaginables ne pourraient pas décrire parfaitement ces instants. Ouais, le début de cet article est vachement chauvin en fait. Donc ! Maïka et Rémi à Lille : trop de la balle ! Mouais.. C'est pas encore ça. Mettons donc que les blondes belges sont décidément blondes et belges à la fois, ce qui ne les rend pas moins adorables. Twingo bien sûr. Mini-bataille devant la gare. Prise de poids et complexes qui vont avec. Blablatage sur Montpellier et ses habitants, logique quoi. "Ils étaient tous les deux au courant mais pas ensemble." Blonde et Belge je vous dis, ça ne pardonne pas. Je ne suis pas vraiment en état d'écrire un article potable. Alors pour le moment on va se contenter de ça, d'un énorme merci, et d'une envie de plus en plus pressante d'être à cet été (et pourquoi pas rajouter Bruxelles à la liste des destinations, ou du moins de refaire de Lille un point de chute). Ah, et ça n'est pas vraiment une surprise sauf que j'ai eu encore aujourd'hui une piqûre de rappel : les Français se conduisent trèèèèèès mal. Que dire des parisiens. Et de celles qui y ont pris de mauvaises habitudes.
Samedi 26 janvier 2008 à 22:01
Enjoy.
Mon oeil me fait de plus en plus mal.
Je pense à Adeline qui est à l'anniversaire d'un autre Rémi, habillée "classe".
J'aimerais bien voir la tête de Christophe et Rémi en costard tout de même.
Mon oeil me fait mal décidément.
J'ai pas envie de demander son aide.
J'ai donné un cours de maths aujourd'hui.
Comme quoi tout peut arriver.
Effectivement cet article ne sert à rien mais ça fait du bien de taper sur le clavier et de voir les mots s'afficher sur l'écran.
Y'a pas de petites joies.
Nouvelle prise de contact avec Martin.
Je crois qu'il n'y aura pas de live ce soir.
J'ai rêvé d'elle. Enfin de sa voix.
Il paraît que je n'ai pas le sens de l'ironie...
J'ai pris mon pied à faire l'article sur la Tecktonik, alors si vous avez un autre sujet en tête.
Faites-moi signe.
Samedi 26 janvier 2008 à 21:50
Plus tard ? Mais qu'est-ce que tu crois ? Il n'y a pas de plus tard. Il n'y a plus de plus tard. J'ai expliqué que j'étais une de ces filles qui détestent attendre. Bon, j'avoue que sur ce coup là j'étais en tort alors que toi tu as bien négocié ton virage. Ce soir cependant tu n'as aucune excuse alors que je suis la grande absente. Tu n'es même pas malhonnête ; tu es juste lâche. Pourquoi m'en aurait-elle parlé si ce n'est à cause de ce défaut caché derrière l'arrogance ? C'est de cette fille que j'apprends tout ce que je devrais être la première à savoir. Et elle ne pense pas à mal, elle glisse ça dans la conversation, comme ça. Du moins je le crois. Et si ça n'était pas le cas j'ignore quelle serait ma réaction. Et puis tu es exaspérant aussi. En peu de mots, c'est là que tu es très fort, trop fort. Je pensais chercher je ne sais pas moi, une petite phrase, un petit mot qui m'aurait donné un sourire dans cette soirée pas franchement joyeuse. Non, il en est hors de question, tu brouilles les pistes une fois de plus et je ne sais pas comment le prendre. Je ne fêterai pas mes seize ans. Parce que de toutes manières je ne pourrais pas t'inviter à la fête. Amour propre je te dis.
Il y avait le tryptique.
Et puis le tryptique pas terminé.
Et puis ça.
Et puis ça, enfin, avec les quatre articles qui le précédent.
Samedi 26 janvier 2008 à 20:37
Samedi 26 janvier 2008 à 18:59
Vendredi 25 janvier 2008 à 22:46
Tapez 2 pour sauver l'adepte de l'indifférence maladroite.
Des qualités, des défauts et le tout bien mélangé mais il faut faire un choix. Non pas que la situation l'exige, c'est juste que j'en ai marre de souffrir pour trois. Et je dis ça depuis le mois de septembre je sais. C'est d'autant plus urgent. Y'a eu tellement d'allées et venues entre le purgatoire, la salle de tortures et la salle de l'oubli qu'il me semble que j'ai véritablement endommagé la moquette. Je ne vous parle pas de l'état des portes. Et puis, le système par vote est un système à la con. Simplement parce que la production, ici moi, choisira toujours de sauver celui qu'elle veut sauver. Sauf que quand c'est télévisé elle est bien obligée d'en lâcher un des deux. Ça doit manquer de visibilité en fait. Si si, ça doit être ça. J'ai besoin d'un huissier ! Mais la visibilité peut aussi signifier une perte de contrôle, voire une sanction.
N'empêche...ce qu'on était bien sans la télé-réalité !
Vendredi 25 janvier 2008 à 21:29
Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.
Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.
Vendredi 25 janvier 2008 à 18:22
Vendredi 25 janvier 2008 à 18:08
*
La plus jolie et talentueuse et patati, patata etc. maman et dessinatrice de cowblog.
Vendredi 25 janvier 2008 à 11:06
Cours de quoi ?
Défoncé par quoi ?
Animé par qui ?
Toutes ces choses qui sont tues, dont on ne pourra plus jamais parler. Comme un tabou qui s'installe sans nous avoir demandé notre avis au préalable. Une incruste quoi. Même pour rire. Même par habitude. Même par désintérêt. Là non, juste rien. Monsieur a oublié et je crois qu'il ne veut plus apprendre. Enfin, rien… Quelques explications et surtout une dénomination « **** ». J'ai envie de dire stop. Faut faire marche arrière et vite : je ne suis pas une petite sœur. Surtout pas une petite sœur. Je l'ai été trop souvent. Dire que la dernière fois j'étais heureuse de l'entendre m'appeler par mon prénom. Ce qui serait plutôt logique. Sauf que j'étais presque surprise qu'il le connaisse. L'identité des gens passe avant tout par leur prénom. Alors il me faisait exister, d'un coup, d'un seul. Et pas de « **** » à l'horizon. Charmée qu'il le prononce quoi. Vraiment ce midi là il n'y a que son prénom à elle qui merdait dans l'histoire. Et maintenant j'y ajoute le désapprentissage. Sujet recalé à l'examen !