Mardi 8 janvier 2008 à 21:24
Mardi 8 janvier 2008 à 20:31
... Moi te faire un article anniversaire ? Je veux bien. Mais, voilà, je crois que tu as tout dit. Comme j'aimerais pouvoir le dire. Et c'est drôle de voir à quel point des chemins très différents nous rendent à ce point semblables. Oui. Logique. C'est la magie d'internet, la magie des blogs, la magie des mots.
Je pense aux gens que tu as cités dans ton article précédent. Et c'est vrai, et tu l'exprimes bien. Sauf que voilà. Il faut bien trouver une raison à ma présence en ces lieux pour ton centième. C'est d'ailleurs sûrement par narcissisme que je regarde ton blog avec "Avion en papier". Parce que c'est vrai qu'un blog c'est un monde, celui de la personne qui y écrit, alors du coup y voir son habillage c'est se donner l'impression de faire partie intégrante de ce monde, d'y avoir sa place.
"Un an que ce blog existe." je me permets d'apporter une précision : un an que tu existes pour moi. J'étais un peu dubitative au début, ne me demande pas pourquoi, mais ça doit être un gage de réussite parce que je l'étais aussi avec Bee, et j'ai du mal à trouver une plus belle réussite que celle de vos rencontres. A force de se parler on se trouve des points communs, et c'est flagrant dans le choix des personnes que l'on suit sur cette plate-forme. Bref, un an que tu existes. Un an que tu mûris, que tu écris, que tu textotes, que tu parles sur msn. Il me paraît loin le temps où je recevais un sms "Chuis avec Anne, elle te fait des bisous, je lui ai donné ton msn". Loin, pas tant que ça en fait. Le temps passe à une vitesse folle quand on est en bonne compagnie, et ça s'accélère encore parce qu'on ne cesse de créer des choses à partager (A.L.N.E.M.K forever !). Et puis, je crois qu'on a toutes un peu les mêmes rêves, mais une seule vie pour les réaliser, alors voir des amies réussir dans un domaine alors qu'on réussit dans un autre je crois que c'est tout aussi gratifiant. Voire même plus. Je lis déjà tes mots. J'aimerais te voir danser. J'aimerais te voir jouer. D'ailleurs lorsque je demandais la date c'était pour savoir, au-cas-où. J'ai pas eu le temps de répondre à ta lettre. Par contre je l'ai relue un nombre incalculable de fois. T'sais quoi ? J'ai pas grand chose à dire en fait. Y'a beaucoup de vent dans cet article. Au final, il ne suffit pas de décrire, il faut le vivre. Seuls trois mots sont réellement importants et résument l'ensemble qu'on ne peut pas résumer ailleurs que dans nos coeurs (on s'étonne toujours de la place qu'on y trouve dans ces coeurs extensibles d'ailleurs) et quand tu me disais que je te manquais alors que tu ne m'avais jamais vue j'ai trouvé ça fantastique. On est pas égoïste quand on aime "trop" au contraire, on est démesuré et tant mieux. Ah. Les trois mots, c'est vrai.
Lundi 7 janvier 2008 à 21:51
Je crois que aussi demain j'aurais à nouveau des cernes sous les yeux et mal au dos. Pas le courage de vous retaper tout ce que j'ai écrit durant mon cours d'histoire. Si si, ma prof est passionnante. Bref.
J'arrête de raconter ces conneries, vous avez mieux à lire. Je m'en vais tenter de positiver en ne pensant qu'aux bons moments. Ouais.
Lundi 7 janvier 2008 à 19:29
Lundi 7 janvier 2008 à 7:17
Pis bonne semaine, bien sûr.
Dimanche 6 janvier 2008 à 22:52
Cela reste à voir.
Un frisson le long de l'échine. Ne pas être déçue. S'il te plaît, ne me laisse pas déçue.
Ou sur msn.
Pour maintenant, 2008 on y est.*
Dimanche 6 janvier 2008 à 21:23
Entre trois exercices de maths et un DM de français. Je ne veux pas y retourner.
-_-'
Dimanche 6 janvier 2008 à 0:21
Samedi 5 janvier 2008 à 14:45
Ca se passe de commentaire
[ Pour le coup de l'ognion, c'est prouvé scientifiquement par moi, ça marche ^^' A bon entendeur ]
Samedi 5 janvier 2008 à 2:14
Vendredi 4 janvier 2008 à 23:37
Il s'approche. Et je ne sais pas trop comment ça se fait mais je me retrouve dans ses bras, la tête sur son torse, je respire son parfum. On parlera après. Je veux que ce moment dure toujours, là sur le seuil de ma porte, en ce froid début de janvier.
Vendredi 4 janvier 2008 à 15:52
Les heures passent sans être ni rapides ni faciles, elles passent, voilà tout. Tu t'es presque enfui. J'ignore ou tu es allé et je présume que ça n'a pas vraiment d'importance.
L'important c'est que tu sois revenu. Avec moi. Comme si c'était une évidence, accompagnée d'une domination. Ça m'a juste fait sourire. Alors que je n'en pensais pas moins. Par la suite nous n'avons plus que sourit.
[L'article devrait s'arrêter là. Mais je me rends compte qu'il fait totalement l'impasse sur ce dont il devait parler. Ce qu'il devait conclure. C'est reparti donc. Et ça fait un peu capoter l'ordre chronologique, oh, mais de pas beaucoup. Et puis je reprends, mais du coup je ne redétaille pas.]
Je suis restée troublée. C'était elle. Ou pas. Pourquoi diable avais-je voulu forcer le passage ? C'était stupide. Tellement stupide. Je pose le front contre la vitre froide, ça soulage. Je crois que j'ai une migraine qui arrive. Il ne manquait plus que ça. J'ai les doigts gelés et je me recroqueville, si tant est que je puisse me recroqueviller dans ce faux coin. Les jambes étendues. Sauf que voilà tu es revenu. Et c'est précipitamment que je me suis remise normalement. La posture du moins. Mon coeur faisait à nouveau un truc bizarre alors que mon esprit escaladait à toute vitesse un mur qu'il venait d'inventer, prenant pour base un cailloux tombé de ta poche poche, probablement par inadvertance. N'avons plus parlé. Aucun intérêt. Je voulais comprendre. Être sûre. Toi à tous les coups tu ne vois pas ce que je veux dire par là. Normal. Au final il ne fallait en retenir qu'une chose. Que les autres n'ont pas l'air de comprendre. Je ne sais pas si c'est une bonne chose. Mais je l'applique pourtant. Savoir rester silencieuse.
Jeudi 3 janvier 2008 à 23:13
Jeudi 3 janvier 2008 à 22:57
Sinon je crois qu'il faut en finir. Du moins avec l'un d'eux.
Jeudi 3 janvier 2008 à 17:15
Après la carte d'identité et le portable, il a un troisième objet introuvable. Et là pour le coup, en ce début d'année, j'ai fait fort... Très fort. Un prix de gros, rien que ça.
- un pince-nez
- une paire de lunettes noire
- un bonnet de bain noir
- un maillot de bain noir
Vous comprendrez que c'est quelque peu embêtant étant donné que je reprends le sport mercredi et que je commence donc la natation. D'autant plus que tout est neuf.
EDIT : trouvé dans une armoire de fournitures scolaires !
Jeudi 3 janvier 2008 à 13:57
J'avoue que je suis ma placée pour donner des conseils. Sauf que voilà, au final, si les seules personnes bien placées sont celles qui ont réussi, d'une part elles sont peu nombreuses et d'autre part il y a fort à parier qu'elles n'aient jamais eu à faire face à des problèmes semblables. Alors voilà. Nous sommes tous dans le même merdier. La seule solution qui s'offre à nous est répétée depuis des lustres et on peut douter de son efficacité, mais elle est unique : tenter, tant bien que mal, de s'aider. Et puis patienter.
Mercredi 2 janvier 2008 à 23:40
Et puis j'en ai eu plusieurs, alors oui, ça peut suffire pour me coller un sourire. Je continue de dire que peu est souvent bien assez. Et c'est tant mieux.
Sur la Grande Place il y a beaucoup de gens, tous emmitouflés, sous au moins trois couches de vêtements, cigarettes ou croustillons, gauffres voire autres en mains.
Je repense à la gare et à cette invitation que j'ai refusée. J'ai bien fait je crois. Oui, j'ai bien fait.J'en attends une autre, et j'espère qu'elle va venir, vite. Le mois de janvier est déjà là, il me surprendra toujours. Seize ans, youpi tralala, et pour l'instant je m'en fiche. C'est le vingt-huit si ça intéresse quelqu'un. La FNAC ainsi que Nature et Découverte quand on a 215 euros d'économie réservés à un été qui va mettre très longtemps à arriver je vous jure que je n'ai encore rien trouvé de plus frustrant.
Si y'a des cowblogs qui veulent tenter de venir du côté de Lille le vingt-sept faudrait peut-être me renvoyer un message pour m'expliquer où, quand, quoi, qui, comment, ça pourrait leur aller le mieux. Voilà. Et puis bonne fin de soirée hein.
Mercredi 2 janvier 2008 à 21:44
Je profite du passage de Balthazarine Reine des Fées et de Mademoiselle Vigotte (qui se reconnaîtront sans doute, à moins qu'elles soient vraiment aussi cruches qu'elles ne veuillent bien me le montrer) pour vous souhaiter une nouvelle année. Ou plutôt non. J'ai certes un jour de retard, et je n'ai pas envie de le souhaiter, et je vais vous l'expliquer.
Nous souhaitons un événement périodique qui célèbre, en quelque sorte, un anniversaire d'un point de vue héliocentrique. J'entends d'ici des protestations d'indignation, des bouh et autres rejets, des sifflets éhontés qui fusent au-dessus de mon crânes, des fruits rouges peu mûrs qui s'abattent au bas de l'estrade, manquant de peu mon pantalon. Oui c'est vrai, je me rappelle soudainement que vous êtes sans doute des profanes dans l'art, que vous n'êtes pas en terminale S. Rectification : certains d'entre vous ne sont pas encore en terminale, et je profite de ma position de senior dans le domaine scientifique pour avancer un peu ma théorie.
Nous fêtons un retour au même endroit si nous sommes placés au centre du soleil, sans brûler car virtuellement dans notre théorie, nous ne tenons compte de la température et encore moi de la mortalité. Fêtons donc le premier janvier, c'est-à-dire le même moment que la fois d'avant où nous étions au même endroit.
Je ne veux pas célébrer le soleil. Il brûle certes, il chauffe notre peau et la brunit quand il ne la grille pas, offre la chaleur et la photosynthèse pour nos amis les végétaux, qui nous délivre le dioxygène tant précieux. Je préfère célébrer la lune, la froideur et le calme de la nuit, la mélancolie et la dualité de cet astre blanc, trompeur, qui dissimule toujours à nos yeux ce qu'elle a derrière la tête. Je préfère célébrer le noir, l'obscurité, là où l'on peut s'attendre à tout. Je veux célébrer la nuit, paradoxalement quand on parle du soleil (mais le soleil provoque le jour et la nuit direz-vous ?)
Qu'est-ce qu'un an ? Je vais vous dire, ce n'est rien. je me sens à un pied d'égalité avec des gens bien plus jeune. Je considère votre (notre) aimable hôte comme une personne ayant un esprit bien plus mûr que moi, et ayant atteint mon vénérable âge, elle brillera sans doute (non, ne rougis pas mymy, chut). Du haut de mes vingt-quatre ans solaires, je me sens plus dénudé et moins évolué que certains individus qui n'ont atteint la vingtaine. L'année solaire est sacrée, et nous la célébrons, mais elle n'a aucun sens, car ce qui est important est le degré d'intensité avec lequel chauffe notre coeurs et notre esprit. Alors qu'importe, dix, quinze, vingt, vingt-cinq. Oublions nos âges, oublions-les "tu es trop jeune pour comprendre car tu n'es pas majeur" ou "il est beaucoup trop vieux il a passé son quart de siècle", oublions les mathématiques de l'esprit, les systèmes décimaux et les points de vue géo-hélio-sélénocentriques.
Regardons juste nos coeurs aussi purs et réfléchis qu'ils sont, oublions la nouvelle année, les résolutions, les hivers et les retour à zéro ou vers l'infini. Oublions les 01/01 et les 31/12, oublions les rides ou les boutons d'acné, regardons simplement qui est en face de soi, ce qu'on a envie de lui apporter, pas par expérience ou par jouvence, mais simplement par pure amitié, générosité et complicité.
Hum, je voulais juste parler de ne PAS fêter le nouvel an et voilà où ça m'a conduit. Je vais donc partir avant de trouver des non-explications à tout.
(Non-Romancier)
[Et excusez la police et la couleur qui me fait souvenir à mon chez moi]
Mardi 1er janvier 2008 à 23:13
Il a toujours été le meilleur. Et ce matin là ils m'avaient appelée, il manquait une personne pour l'entraînement. Alors à sa plus grande surprise j'ai emprunté un de ses judogis à François ; perdre 10 kilos et prendre 2 centimètres ça aide depuis la dernière fois. Le tissu bleu est lourd et rêche. Je m'étais promis de le porter, au moins une fois encore.