Samedi 18 mars 2006 à 23:00

On s'était promis beaucoup de choses
On voyait la vie ensemble, presque en rose
De temps en temps une petite voix nous soufflait que nous n'y arriverions pas
Si nous avions pu lui dire vraiment ; "raison tais toi !"
Mais nous étions confiants,
Trop beau pour être réduit au néant
Le néant aurait peut être été préférable
A ce gachis plus que regrettable
Pourquoi n'avons nous pas plus tôt rendu les armes
Tout simplement parce que nous ne pouvons rester de marbre
Ensemble séparément
Toujours, jamais en même temps








Texte de moi .................


                                                                                 Mymy qui ne l'était pas encore ........




Samedi 18 mars 2006 à 14:39



4 gouttes qui me tombent dessus
Qui inondent ma rue
D'un soleil de pluie
D'une vie de minuit
De la vie que je voudrais avoir

4 petit bouts de tout
De tout de rien
De lumière et d'ombre
De sauvetages et de sombres


 pix by madfet

Samedi 11 mars 2006 à 23:15


Une croix de plus
Et un jour de moins
J'attends ce bus
Et je regarde  au loin
Voyant ce que personne ne voit
Ce à quoi seule je crois
Continuant d'attendre
Un moment pour m'entendre
Je me reveille 10 minutes plus tard
Mon meilleur ami me sort du noir
Nous sommes arrivés
Ca fait vraiment du bien de rêver
Encore faut il réaliser





pour spero, maki et nem ^^

Vendredi 10 mars 2006 à 23:59

Le bracelet de bois noir
Qui me ramène sans cesse à toi
Perd ses perles d'ébène

C'est depuis le dernier soir
Où l'on s'est croisé je crois
En jetant un fin "je t'aime"
Qu'il expire sans espoir
Qu'il perd ses billes de bois
Qu'il ne rappelle plus que la peine.

C'est ce bracelet de bois noir
Qui me ramène sans cesse à toi
Qui va seul et se promène
Sur les veines de mon bras

Lui seul connaît ma peine
Et lorsque tu l'enfileras
Tu souffriras de tout l'ébène
Une ombre lourde et le Tracas

...

C'est un bracelet de bois noir
Qu'elle m'a donné un jour sans joie
C'était le jour du grand départ
Et depuis lors il reste froid

Mercredi 8 mars 2006 à 21:31

Je t'ai pas demandé une vie
Une petit morceau m'aurais suffit
Seche moi ces pleurs
Avant que je finisse par me faire bonne soeur
Degage  cet air de chien battu de ton visage
N'essaye pas de me faire croire que je suis quelqu'un de sage
Tu risques beaucoup à ce jeu là
Et ce n'est pas toi qui gagneras
Arrêtes de me faire ces yeux
Je ne suis pas insensible comme les dieux
Si tu continus ce mal d'amour
J'en finirais pour toujours



Samedi 4 mars 2006 à 22:21

Selon certains je ne sais pas écrire.
Je vous laisser juger par vous même avec ma rédaction du brevet blanc. Donnez vos avis svp, je vous dirais ma note ultérieurement...

Enelya était enfin arrivée à ses fins, plutôt à sa fin.
Devenir une étoile, combien de fois avait elle rêvé de cet instant magique ? L'imaginer dans ses moindres détails ? Au point de presque l'effleurer du bout des doigts ?
Alors qu'elle se préparait, elle se remémora le jour où tout avait commencé.
Ce souvenir était toujours aussi présent dans son esprit, en particulier ce soir.
Sa première sortie dans le "grand monde" avec ses parents, l'avant première du tout nouveau ballet russe.
La grace légère, quasi irréelle des danseuses de Moscou l'avait subjugé, la musique ce soir là, littéralement enchantée.
Ce ballet fut l'élément déclencheur de sa passion pour la danse classique, à douze ans.
Cela n'avait pas été facile, douze ans c'est tard pour commencer la danse,
- trop tard ! Vous rendez vous compte ?  De plus vous n'avez absolument pas le profil physique d'une ballerinne !
Et pourtant....
- Je ne suis peut être pas comme vous, je n'ai pas la voute du pied haute, certes, je n'ai pas la cheville particulièrement légère et alors ?
Cela viendra, à la force de ma sueur, de mes larmes aussi, de ma persévérance et de mon travail, mais cela viendra !
Je n'ai pas commencé la danse à cinq ans comme les autres me dites vous ? Cela me fait sept ans à rattrapper, je vous en offre le double ! Quatorze ans de ma vie à m'exercer, à modeler mon corps et mon espri.
Pas l'âge pour danser... d'accord mais il n'y a pas d'âge pour rêver, et je me fais un devoir de tout faire pour toujours réaliser mes rêves. Et je le ferais, avec ou sans vous.

Telle avait été sa réponse à la directrice de l'école de St Pétersbourg.
Celle ci, bien que, toujours sceptique l'accepta et n'eut pas à regretter sa décision.
Inlassablement et sans relache aucune [suite demain]

Dimanche 26 février 2006 à 19:41

Désolée pour la longueur de ce texte/poème, longueur plus que rébarbative je le conçois aisémment, si toutefois certains ont la force de lire jusqu'au bout cette horrible mélange de vers et de prose, je leur dois quelques explications.
J''étais partie pour juste une chanson et mon stylo à écrit à ma place, ce que je gardais sous 5 couches de glace.
Sinon je dois avouer que j'en suis assez fière et que ça fait du bien.



Filles qui passent pour toi c'est rien,
C'est le genre de petits trucs anodins,
Auxquels tu n'accordes aucune place,
Mais j'en porte déjà la trace.
C'est peut être  un peu con à dire,
Un peu trop  con à écrire.
Moi je t'aime comme ça,
Le pire c'est que je plaisante pas.
Si je t'aimais autrement,
Autrement qu'ici et maintenant,
Ca serait surement moi méchant,
Mais aussi moins beau moins agitant;
Je serais probablement plus en fièvre
Dès que je vois bouger tes lèvres.
Avoir peur quand tu me parles,
Encaisser tout tes sarcasmes
Doit être l'idée que je me fais de nous,
C'est bien un truc de fous.
Et pourtant je peux pas penser,
A être heureuse, t'aimer, sans te pleurer.
Je dis : "je te hais tant je t'aime",
Certains disent que ca sonne comme un blasphème.
Mais tu sais bien ou pas que non,
Que c'est pour toi toutes ces chansons.
Tu n'as eu que des déclarations peu conventionnelles jusqu'a présent,
Le genre de choses que je ne dis jamais vraiment:
Les poèmes c'est rassurant,
Ca ne dit rien quand je me mens,
Lorsque je vois,
Ce qui n'est pas,
Et qui jamais ne sera,
Si je te le dis encore une fois,
Avant promet que tu te tairas.
Juste dire.
Les promesses c'est bien,
Ca ne sert à rien.
Faut seulement avoir parfois des mots qui sonnent bien.
Je parie que tu as laissé coulé,
Tu m'as rangé dans le tiroir "affaires classées",
Une lubie, qui m'est passée,
Si seulement c'était vrai.
J'ai du mal à oublier.
Tout l'amour que je pouvais te porter.
Et mon coeur à chacun de ses battements,
Me redonne l'envie de ces tourments.
L'objectif ne sera pas atteint,
Te le dire l'esprit serein.
J'espère qu'un jour ou l'autre,
L'autre ça m'arrangerais, on prend rendez vous sans fautes.
Un jour tu liras tout ça,
Et penseras : "merde c'est moi".
Même si mes mots sont à moitiés voilés,
Ceux qui savent et ceux qui ont devinés,
Si vous avez la grande idée,
De prendre ce lien et de lui envoyer.
N'oubliez pas : qu'il ne dise rien,
Qu'il attende jusqu'au prochain matin.
Après si vous pouviez m'envoyer,
Un petit signe discret,
Histoire d'avoir la nuit pour y penser.
Et quand l'aube aux doigts de roses sera là :
A tout les coups il fera beau ce putain de matin là.
J'aimerais qu'on puisse se parler posémment,
Par le seul moyen que j'avais trouvé le lendemain de l'écoulement,
Et en simultanné on parlera,
Des bannalités cela va de soi.
Tu me feras peut être rire,
Et si tu es en forme pire.
Quand je croiserais ton regard,
Je m'y verrais au fond comme un miroir,
Celui qui dit qu'il est trop tard.
Que je suis partie avec un train de retard.
Et c'est à travers tes yeux,
Que je reverrais mes aveux,
Pas besoin de mots entre nous deux ...
Juste besoin d'un vrai adieu.





Samedi 25 février 2006 à 18:05


Je ne peux m'empecher de penser à toi. Ma dernière excuse pour vivre n'est rien d'autre que ça. Pour avoir encore un peu plus de tes yeux, de tes sourires, de tes cheveux et même de tes soupirs.
Quand je me sens mal ici bas je ne trouve que cette  raison pour moi, quand je me sens bien je veux tout partager avec toi ...
Tu m'obsèdes et toi tu ne ressens rien. Si seulement tu pouvais écrire la fin.
Il suffit de voir ces quelques mots que je tape, le mot "toi"  reviens plus souvent que mes espaces. Un espace comprend un peu d'air, un oxygène, comment faire lorsque sans toi c'est comme si je me coupe les ailes ? J'aimerais pouvoir dire qu'avec toi je me sens reine, la vérité est que je suis plus que j'aimais faible, frèle.
Je voulais dire jamais et c'est j'aimais, comme quoi même dans cet état je ne me plains pas, tant que tu n'es pas trop loin de moi, que je te sens, enfin je te sens comme on sent un diamant, c'est beau au point d'en devenir apaisant.
C'est calme au point d'en être troublant....



                                                                                                 peut être à continuer

Jeudi 23 février 2006 à 19:22

alors comme hier soir j'étais inspirée sur le blog, mais que je n'ai pas eu le temps, j'ai continué dans ma chambre, au chaud dans mon lit, dans une position néanmoins, résolumment inconfortable, et j'ai noirci des pages de cahier avec des poèmes ou des paroles, problème je reviens aujourd'hui, nouvelle inspiration grace aux commentaires et donc nouveau poème qui au final irait bien en couplet de la chanson ou du poème je ne sais pas trop que j'ai écrit hier soir ... donc regroupement obligé, forcé et ca donne ça !!!!
....
Vous n'avez rien compris à ces explications ? Vous me trouvez tordue ?? Normal moi aussi ça me fait ça !!!^^


Des fées au dessus de mon berceau un peu trop avares
C'est ainsi que commencent toutes les histoires d'artistes sans talents
Le pire c'est que je ne peux pas dire que cela fait très longtemps
Mes mots s'entaillent
Ma vie se fane
On redescend doucement du plane
On essaye de pas trop se faire mal
J'aimerais pouvoir faire rire
Et puis juste à ce moment précis dire
"Je controle les sentiments"
Mais je me contente de moins, de peu,
Les décrires c'est déjà mieux
Bien sur normalement il faut être deux
Faute de moyen ce sera tout ou rien
Regrets, remords,
Ce ne sont que des coups du sort
Il faut voir plus loin
Que demain
                                                                                             





      pour angelina, qui s'écorche à lire tout cela, de temps en temps vrai, de temps en temps tissus d'aneries, tissus de mensonges, on m'a dit, ou en tout cas je viens d'inventer qu'on me l'a dit, que la vie n'était qu'un tissu très fin et très long, peut être juste un fil.


Mymy

Mercredi 22 février 2006 à 0:28

Moi je te l'ai dit je n'ai pas attendu
Une fois que c'était sur j'ai avancé les bras tendus
La plus belle honte de ma vie
Mais pour ça je te dis merci
Tu ne me méritais pas et jl'avais pas encore compris ...
Au final qu'est qu'on aura ???
Un instant d'intense souffrance suivi de plusieur mois
Ou... on peut le dire ca ne s'est pas vraiment arrangé
Comme quoi je t'aimais encore
C'est que j'étais vraiment pas maligne alors
J'aurais pu continuer à vivre comme j'ai toujours vécu
En continuant à se taire comme je me suis toujours tue
Je n'espèrais pas plus qu'avec les autres, à vrai dire j'espérais moins
Mais je te le dis quand même ... Jeu du destin ???
Et je reste là et je continue à mettre ces ******* de verbes au passé
"Tu ne me méritais pas et jl'avais pas encore compris ..." je peux dire merci, pour de vrai cette fois à toutes ces phrases stéréotypées,
Ca fait du bien de les entendres, surtout quand elle sont fausses.
Surtout quand on s'est déjà jeté dans la fosse.
La vérité ??? La vérité est trop belle et trop forte pour être dite ou même écrite.
A voix basse alors ????

je t'aime




N'empeche vous étiez peut etre mieux quand je n'étais pas inspirée, et vous allez
encore avoir droit à un texte sur la vie future à Paris et lorsque je suis revenue à l'ENDROIT
comme je l'appelle désormais, je vous promets que vous comprendrez bientôt peut être ce soir mais demain je repars en voyage, à Boulogne cette fois ci, je penserais encore à prendre un carnet pour la voiture, et un bic ce serait pas bête allez bisous les gens

Mymy qui arrive décidemment bien tard,
toujours un peu trop.

Dimanche 12 février 2006 à 22:22

As tu fait ton choix ?
Pour de bon j'entends.
Un oui puis un non
Ne me satisferont pas.
De quel côté de la barrière te places tu ?
Après ce jour où mes espoirs se sont tus...









reconnectes toi stp ...

Dimanche 12 février 2006 à 21:57


J'te mentirais...


J'te mentirais si j'te disais que j'y pense jamais…
Y a des jours où j'divague, où j'me dis et si… et si…
Et si t'avais dit oui, et si t'avais été celui…
J't'avoue que parfois j'maudis ce jour de Mai…

J'te mentirais si j'te disais que j't'aime plus…
Mais j't'aime comme un ami, un proche confident.
J'pense à toi tous les jours, peut-être même trop souvent,
Et j'guette sur mon écran les mails reçus….

J'te mentirais si j'te disais que j'suis jamais triste
Quand j'compte les kilomètres qui séparent nos chemins.
Y a des moments où j'aimerais vivre dans le bruit parisien,
Pour te voir plus souvent, avoir des pensées plus optimistes.

J'te mentirais si j'te disais que j'la relis jamais,
Cette lettre où tu m' dis très simplement
Que j'suis juste une amie, que t'es pas celui qu'j'attends…
J'm'en souviendrai d'ces mots et d'ces larmes versées…

J'te mentirais si j'te disais que j'ai pas eu mal.
Mais le temps a passé, la blessure s'est refermée.
J't'en veux pas tu sais, t'as pas fait exprès,
Les sentiments, ça s'commande pas et c'est normal !

J'te mentirais si j'te disais que j'regrette mes aveux,
Car c'est bien grâce à eux qu'on est si proches aujourd'hui.
J'espère vraiment que tout te sourira dans la vie,
Car moi, tout c'que je veux, c'est qu'tu sois heureux…



Marielle – 28 Janvier 2006

Dimanche 12 février 2006 à 21:33

.. d'un enfant et qu'on fait la fête à la mort d'un homme.
Est ce pour celà que je me sens si proche de vous ??


pourquoi je n'aime que les choses éphémères ? la fumée passionnante et dangeureuse à la fois ( ça se voit beaucoup que j'ai des tendances pyromannes ?)
Qui n'a jamais joué avec des volutes de fumées dans un endroit où le feu ne devrait pas se trouver ?? Qui n'a jamais observé, fasciné la danse de cet élément étrange ? Ni feu, ni air ..



ouaaaa l'inspiration ce soir, désolée de vous infligez ça, vraiment

Dimanche 12 février 2006 à 17:00

Stop, rewind and replay
les idées changent mais les rêves et les ideaux restent
il ne suffit plus que d'un geste !!!
Un pas de vous est pour moi cinq pas en arrière
Ca peut vous paraître fou
Mais ca donne à ma vie un goût amer ....
A la vie à la mort
nous sommes liées par le même sort
Mis à part
Que dans cette histoire
Le tien diffère agréablement du mien
Stop rewind and replay
Mon amour et comme un Cd rayé
Mon amour est une bande déroulée






Dimanche 12 février 2006 à 15:22

J'imagine la neige qui tombe lentemment dans ta campagne à toi, plus loin, plus belle que la mienne.
Je te vois près de la fenêtre, admirant la plaine et son silence glacé. Est ce qu'il neige réellement dans ce monde qui n'est pas le notre ? Je ne sais absolumment pas, mais cela n'a, au final, aucune espèce d'importance.
Pour moi il neige, pour toi j'espère que oui, comme ce jour où il devait pleuvoir....
Commes ces jours n'existant pas dont on veut déjà tout connaitre. Et cette neige tombe toujours,  irrémédiablement, avec un débit changeant, mais toujours aussi froide et silencieuse, toujours aussi belle, toujours aussi pale.
Ma peau est de neige, la neige fond quand arrive la chaleur qui est la sienne, la neige est belle mais éphémère .. ca te dirais d'aller vivre en laponie ???
Et voilà un texte qui ne veut rien dire, sauf pour moi... encore un !


Dimanche 12 février 2006 à 15:13


Comme tout le monde j'ai mes défauts
J'ai pas toujours les mots qu'il faut
Mais si tu lis entre les lignes
Tu trouveras dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas su te dire

Il y a des fautes d'impression
Des "Je t'aime" un peu brouillon
Malgré mes accords malhabiles
Tu trouveras dans mes chansons
Tout ce que je n'ai pas osé te dire


Tu trouveras...
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j'n'avoue qu'à demi-mot
Mes faux pas mes maladresses
Et de l'amour plus qu'il n'en faut
J'ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j'en fais toujours trop
C'est pour qu'un peu tu me restes
Tu me restes

Il y en a d'autres que tu aimeras
Bien plus belles, plus fortes que moi

[Je leur laisserai bien sûr la place
Quand je n'aurai plus dans mes chansons
Plus rien à te dire en face
Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups]

Si je n'ai pas su te retenir,
Sache qu'il y a dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas eu le temps de te dire

Le temps vous endurcit de tout
Des illusions, des mauvais coups
Si je n'ai pas su te retenir,
Sache qu'il y a dans mes chansons
Tout c'que je n'ai pas eu le temps de te dire

Tu trouveras...
Mes blessures et mes faiblesses
Celles que j'n'avoue qu'à demi-mot
Mes faux pas, mes maladresses
Et de l'amour plus qu'il n'en faut
J'ai tellement peur que tu me laisses
Sache que si j'en fais toujours trop
C'est pour qu'un peu tu me restes
Tu me restes.

Samedi 11 février 2006 à 22:14

Mon homme idéal

Je ne demande pas le prince charmant
Juste un gars gentil, aimant,
De préférence beau et intelligent
Comment ça cela revient au même ??
Dans ce cas on ne doit plus dire très souvent "je t'aime"...
Moi je le dis, je l'affirme au delà
Celui que j'aime quand se sera toi
Tu sera gentil, aimant, de préférence beau et intelligent...
Le prince charmant ?
Surement, assurèment
Pour moi absolument !

Mardi 7 février 2006 à 18:55


Mon rêve familier

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

Mardi 31 janvier 2006 à 23:12

Réve de ta rencontre

Cette nuit j'ai fait un songe.
J'ai révé d'une rencontre
Alors que le ciel avait une couleur d'or
Et que le monde n'existait pas encore

Tu pensais avoir fini
La boucle pour toi était bouclée
Il était l'heure de l'oubli

Je ne pensais qu'a toi
A ton regard posé sur moi
Tu as baissé la tête
Et j'ai pris conscience de ton mal être

Je me suis mise sur la pointe des pieds
Et je t'ai murmuré pourquoi je t'aimais
Tu m'as répondu merci
Et ce moment s'est évanoui


Dimanche 29 janvier 2006 à 12:11

Et moi je suis là et je regarde
Le temps passer
Comme mon bonheur que j'ai envoyé valser
Je suis dans un train il pleut
On se croirait dans un film des années 50
J'écrase une goutte qui n'est pas du bon coté

Au final avec toi c'est la même histoire
Nous ne sommes pas du même coté du miroir


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