Deux imbécilesOn dit que l'amour rend aveugle
Aveugle mais aussi sourd ?
A toutes les complaintes alentours ?
Un peu, beaucoup, passionément, à la folie
C'est lorsque s'allume le firmament,
A la lumière de la nuit
Que vous vous avouez à mi bruit
Rien de plus qu'un clapotis
Comme ces gouttes de pluies
Qui tombent sur mes rêves endormis
Il m'arrengerait de vous croire fous
Je dois cependant dire qu'ill n'en est rien du tout
Une illusion que je pourrais me faire
Mais il est plus que temps que je sorte de cet enfer
Je vous laisse avec votre amour toujours
Faites en sorte qu'il dure plus d'un jour
Durer.. faut il seulement qu'il ait commencé
Vousn n'êtes que deux imbéciles
Qui se laissent se glisser entre les mains
Comme vous vous glissez entre les mailles du destin
Savourez donc ce pour quoi vous vous êtes battus
Savourez donc ce pour quoi vous m'avez vaincus
Etre mauvaise perdante ne me dérange pas
Mais soyez bons gagnants au moins pour moi
Sur ces bonnes paroles je vous laisses
De peur qu'a nouveau je ne vous envies
Je retourne me nicher au creu de mes rêves engloutis
Poème à venir,
