Je dors dans le train. Mange dans le métro. M'y habille et m'y maquille, parffois et souvent.
Je cours le jour, bosse la nuit. 
En trouve quelques uns au petit matin.
Quand est-ce que je me trouve bien ? 
Quand je m'éloigne. Quand je suis en  mai. 
Pas toutes ces fois où je te vois, où je sombre.
Renvoi aux solitudes.