Jeudi 31 janvier 2008 à 20:41



Petite joie ; la première fois que "je me" vois depuis que je suis sur cowblog.
= )

Jeudi 31 janvier 2008 à 20:29

Ils sont rares ceux qui utilisent le prénom. J'ignore pourquoi mais ils sont rares. Alors en faire partie c'est déjà une première étape. Après il faut voir vers quoi. Et puis merde alors. Je ne l'ai pas forcé à prendre mon adresse ! Au contraire... J'étais bien sûre ravie de ce contraire là mais bon, du coup je me suis mise à attendre un peu, ce qui n'est pas raisonnable. J'étais démarquée, une nouvelle fois. Pour rien il semblerait. Toujours voir le côté positif des choses : c'est au moins un personnage sur lequel j'écris. Sur lequel j'écris beaucoup quand j'y pense. En fait je crois que je compense. Tant que ça ne dérange personne je n'ai pas à me plaindre.

Jeudi 31 janvier 2008 à 20:21

Pas d'alliance. Pas d'entente. Pas d'accord. Je l'ai devinée. Décembre, et même avant s'il faut être tout à fait honnête. Elle était simplement l'un des éléments de la suite logique. Jusqu'à ce qu'elle prenne vie. A cause d'une mauvaise imitation, prise comme une vantardise masculine bourrée de sous-entendus. Mais une fois le premier choc passé cela n'avait plus vraiment d'importance. Tu vois, je suis moins chiante qu'il n'y paraît. Je me contente de compter ses absences. C'est simple quand on a les bonnes relations, quand on sait s'informer. Elle ignore très probablement mon existence. Pourquoi donc la connaîtrait-elle ? C'est vrai quoi. Je ne suis personne. Ou je suis comme les autres. J'ai déjà parlé de cette question que je n'arrive pas à trancher. Personne qui reste là et attend, sans attendre le déluge pourtant, non, personne qui attend l'inéluctable. Qui attend son heure. Et ne perd pas une miette du spectacle qu'on lui offre en bonus. Ce serait trop bête.

Mercredi 30 janvier 2008 à 21:29

C'était pas trop mal. Il y a beaucoup de choses qu'il faudrait que j'arrête. Je n'ose plus faire de liste. J'ai fini à 5h50. Ca ne m'aurait pas dérangée de de continuer un peu plus longtemps. J'étais bien installée. Et cependant j'ai encore eu une pensée pour cette vieille vague qui avait tendance à faire couler le navire. Non non non et non. Plus maintenant. Il s'est renforcé. Je repars dans une analyse parce que je sais qu'il ne peut pas être prémonitoire. Cette analyse est déjà bien avancée, inconsciemment. Bien sûr. Faut y croire. Extirper ma main du drap pour la poser dans la sienne. Entière.

Au prochain coup d'éclat je vous expliquer la conne cernée. Enfin, j'essayerai.
S'il y a un nouveau coup d'éclat.

Mercredi 30 janvier 2008 à 21:17

 

C'est un regard qui pourrait vouloir dire "Arrête maintenant." avec un peu de malice malgré tout. C'est d'ailleurs un regard qui semblait dire "Arrête maintenant." Mais c'est très improbable. De plus je ne lui accorde pas le droit de me lancer ce genre de directive. Hop, rayée de la liste des interprétations. Ca traîne dans mon trieur. Ca n'est pas grand chose mais c'est mieux que rien. N'est ce pas ? En me réveillant la nuit dernière, vers 5heures (ce matin si vous voulez), je me suis demandée si je n'avais pas fait une erreur stratégique. Je pense être différente. Le problème est de savoir si je lui trop ou pas assez.



Mercredi 30 janvier 2008 à 18:22

"Je veux pas couper les ponts,
Juste m'en éloigner."

Et bien sûr l'encre bave. Quant à la pointe du stylo elle n'est pas assez fine.
L'important est ailleurs. Même pas dans ma main crispée qui peine à écrire. Ni dans cette pluie qui tombe sur le village depuis ce matin. C'est un vieux cahier, s'oubliera avec le reste. Tout ce que je désirer encore aujourd'hui c'est jouer et qu'on me renvoie la balle. A se demander pourquoi lui n'y est pas. Il y a peut-être là quelque chose de singulier. Je ne le saurai sûrement jamais. Fèche. J'ai un pincement au coeur quand je repense à cette fin de non recevoir. Il y a un côté positif à tout.
Au moins ça n'était pas "mignon".

Mardi 29 janvier 2008 à 19:03



Je me suis trompée. Et j'ai rarement été aussi contente de l'apprendre. Fière également ; fière d'avoir osé demander en sachant qu'il y avait une chance sur deux pour que la réponse me fasse plonger. Six. Six ! Pas sept. Ou l'on m'a menti. Dans les deux cas ça n'est pas trop grave... C'est même plutôt bien.


Tiens, et si quelqu'un veut me faire plaisir (quoi, ça peut exister) suffit de me faire un habillage basé sur cette photo.
De Sara, pour changer. Et oui. Ça me titille.

Mardi 29 janvier 2008 à 18:45

Un concours d'écriture. Oui. Une question cependant : quel thème ? Au choix. Maintenant j'aimerais assez que l'on m'en propose.

Mardi 29 janvier 2008 à 15:23

« Moi qui toujours sait tout d'avance, je ne vis rien de palpitant… »

Chanson d'Athéna, comédie musicale Un nom pour dire la mer

Non, moi ça ne sera pas ça. Je me demande même si moi ce sera quelque chose. M'enfin, on dit bien que tout vient à point pour qui sait attendre. Je voulais profiter de ce petit article pour remercier les personnes qui m'ont souhaité un joyeux anniversaire hier, celle qui voulait le faire à minuit, celle qui l'a fait à 6H46, celui qui l'a fait à 9h35, ceux qui l'ont fait par mail, par article, par sms, par cris, et celui qui fut le dernier à me le souhaiter. Avec tous les autres.
Et ceux qui l'ont oublié également. Mais voilà. Je vais bientôt aller attendre Hélène et Caroline à la sortie de leur cours de français. Elles ont LE prof qui fait toujours sortir en retard, et pourtant il veut que ses élèves soient là cinq minutes avant. Histoire d'avoir une véritable heure de français. C'est spécial, il faut le dire. Après nous irons à la médiathèque, je ne sais pas si nous allons y entrer et « bosser » ou si nous allons rester dehors à discuter, comme la semaine dernière. On me dit que je tape vite au clavier. Ah bon. Le théâtre c'était quelque chose ce midi ; ils n'ont pas réussi à enchaîner cinq répliques. Moi il faut que j'apprenne à me taire. Ne plus avoir envie de parler ce serait l'idéal en fait.

Lundi 28 janvier 2008 à 22:45

Again... Happy Birthday my dear !!

Lundi 28 janvier 2008 à 18:18

Merci à tous de me le rappeler...
Mais maintenant JE SAIS qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire de  Nicolas Sarkozy !




['culé m'aura fait chier jusqu'au bout,
on a pas idée d'être né à la même date que moi !]

Lundi 28 janvier 2008 à 15:15


"Y'avait B.".

D'accord. Super. Génial. Fantastique. Déjà elle m'énerve avec ses moitiés de noms. Sans compter la solitude d'une absence qui n'en est pas une et qu'elle souligne. Rien que ça. Je crois que je suis vexée. Soit il en a absolument rien à foutre soit nous nous sommes mal compris. Happy Birthday to you ! Quelle journée décidément. Et il n'est que 08h51. J'ose pas imaginer ce que sera la suite. Il faut que je me décide. Quel sentiment sera affiché ? Surtout rester calme. Parce qu'il n'incite pas au calme, justement.

Je me suis trompée. L'information captée n'était pas tout à fait exacte. Mais il y a eu rectification. Une parfaite rectification, d'autant plus que je n'ai pas eu à protéger mes sources ; elles étaient déjà connues. Tant mieux tant mieux. On va peut-être pouvoir se mettre au travail sérieusement si l'on trouve de quoi faire quelque chose des idées qui traînent depuis quelques mois.
 
Il ne faut pas essayer de deviner. Les devinettes ne sont pas recommandées dans mon cas. En même temps il n'y a pas grand chose qui soit recommandé dans mon cas. Ah, si, une chose : j'aurais aimé savoir dessiner. \||----|| Que voulez-vous, on fait ce qu'on peut quand on sait qu'écrire nous revient dans la gueule à chaque fois. Maintenant cela devient mon jeu, et en dehors des mots, plus de planque possible donc. Et je sais déjà quelles en seront les règles, qui aura le droit de jouer et qui gagnera. C'est important de prévoir un gagnant. Comme ça le lot est adapté.

Pour adapter il faut que les entrées dans le jeu soient volontaires. Ca devrait être le cas. Il ne reste plus qu'à voir quelle sera la prochaine action.

Dimanche 27 janvier 2008 à 22:02

Demain quand tu te réveilleras tous les "eux" seront partis. Disparus. Envolés. Peut-être que tu ressentiras alors un immense soulagement causé par le vide. Ces eux qui te démolissent et te labourent le coeur à force d'être là, d'être ailleurs, de t'aimer, de te haïr. Tu te lèveras, marcheras un peu et à la descente de l'escalier, dans l'entrée, ton reflet aperçu dans le grand miroir te laissera complétement indifférente. Et ce pour la bonne et simple raison que désormais personne ne sera en mesure de voir cette image, personne à part toi. En sachant que toi ça n'est pas important. Les choses deviendront faciles, les minutes feront soixante secondes et elles ne paraîtront plus jamais en faire parfois soixante et une, parfois cinquante-neuf. Un temps mobile mais réglé comme du papier à musique. Une musique calme et sans surpise. Qui vient naturellement. Comme ces chansons qu'on ne pense pas connaître mais dont les paroles nous viennent sans effort. Tu seras ainsi. Tu seras sans effort. Juste, il est possible que le froid te touche encore. Histoire que tu ne deviennes pas totalement insensible. T'auras toujours de quoi te faire un petit coin à toi. Tu te rendras compte que ce coin n'est rien mais il sera là. En même temps, ça ne changera pas grand chose à ce que tu as connu. Des bras vides alors que tu étais à l'intérieur. Tu en auras terminé dans ta recherche de la personne entière. Tu réaliseras que tu ne l'étais plus depuis longtemps. Et que c'est probablement pour ça que tu n'as pas trouvé.

Dimanche 27 janvier 2008 à 20:54

Y'a des journées totalement... Totales.
Je m'excuse d'avance auprès de Rémi dont j'ai énormément apprécié la compagnie, mais cet article ne parlera pas vraiment de lui pour une simple raison : c'est plus difficile.

Les quelques heures passées avec Rémi et Maïka donc, appartiennent à ces moments dont on hésite à parler. Parce que c'est tellement génial qu'on sait que tous les mots possibles et imaginables ne pourraient pas décrire parfaitement ces instants. Ouais, le début de cet article est vachement chauvin en fait. Donc ! Maïka et Rémi à Lille : trop de la balle ! Mouais.. C'est pas encore ça. Mettons donc que les blondes belges sont décidément blondes et belges à la fois, ce qui ne les rend pas moins adorables. Twingo bien sûr. Mini-bataille devant la gare. Prise de poids et complexes qui vont avec. Blablatage sur Montpellier et ses habitants, logique quoi. "Ils étaient tous les deux au courant mais pas ensemble." Blonde et Belge je vous dis, ça ne pardonne pas. Je ne suis pas vraiment en état d'écrire un article potable. Alors pour le moment on va se contenter de ça, d'un énorme merci, et d'une envie de plus en plus pressante d'être à cet été (et pourquoi pas rajouter Bruxelles à la liste des destinations, ou du moins de refaire de Lille un point de chute). Ah, et ça n'est pas vraiment une surprise sauf que j'ai eu encore aujourd'hui une piqûre de rappel : les Français se conduisent trèèèèèès mal. Que dire des parisiens. Et de celles qui y ont pris de mauvaises habitudes.



Samedi 26 janvier 2008 à 22:01

Demain finalement je vois Maïka et Rémi.
Enjoy.
Mon oeil me fait de plus en plus mal.
Je pense à Adeline qui est à l'anniversaire d'un autre Rémi, habillée "classe".
J'aimerais bien voir la tête de Christophe et Rémi en costard tout de même.
Mon oeil me fait mal décidément.
J'ai pas envie de demander son aide.
J'ai donné un cours de maths aujourd'hui.
Comme quoi tout peut arriver.
Effectivement cet article ne sert à rien mais ça fait du bien de taper sur le clavier et de voir les mots s'afficher sur l'écran.
Y'a pas de petites joies.
Nouvelle prise de contact avec Martin.
Je crois qu'il n'y aura pas de live ce soir.
J'ai rêvé d'elle. Enfin de sa voix.
Il paraît que je n'ai pas le sens de l'ironie...
J'ai pris mon pied à faire l'article sur la Tecktonik, alors si vous avez un autre sujet en tête.
Faites-moi signe.

Samedi 26 janvier 2008 à 21:50

"On garde ça pour plus tard."

Plus tard ? Mais qu'est-ce que tu crois ? Il n'y a pas de plus tard. Il n'y a plus de plus tard. J'ai expliqué que j'étais une de ces filles qui détestent attendre. Bon, j'avoue que sur ce coup là j'étais en tort alors que toi tu as bien négocié ton virage. Ce soir cependant tu n'as aucune excuse alors que je suis la grande absente. Tu n'es même pas malhonnête ; tu es juste lâche. Pourquoi m'en aurait-elle parlé si ce n'est à cause de ce défaut caché derrière l'arrogance ? C'est de cette fille que j'apprends tout ce que je devrais être la première à savoir. Et elle ne pense pas à mal, elle glisse ça dans la conversation, comme ça. Du moins je le crois. Et si ça n'était pas le cas j'ignore quelle serait ma réaction. Et puis tu es exaspérant aussi. En peu de mots, c'est là que tu es très fort, trop fort. Je pensais chercher je ne sais pas moi, une petite phrase, un petit mot qui m'aurait donné un sourire dans cette soirée pas franchement joyeuse. Non, il en est hors de question, tu brouilles les pistes une fois de plus et je ne sais pas comment le prendre. Je ne fêterai pas mes seize ans. Parce que de toutes manières je ne pourrais pas t'inviter à la fête. Amour propre je te dis.

Il y avait le tryptique.
Et puis le tryptique pas terminé.
Et puis ça.
Et puis ça, enfin, avec les quatre articles qui le précédent.

Samedi 26 janvier 2008 à 20:37

Merci, je suis au courant ; c'est une publicité. Pour une barre chocolaté. Oui oui et oui. Et si ce blog n'est pas idéal pour le buzz, tant pis. Moi j'aime bien.





Samedi 26 janvier 2008 à 18:59

Je rentre à vélo. Il fait froid. J'ai les doigts gelés et pour une fois je dois avoir les doigts gelés. Le cours était assez comique. Mais bon, c'est toujours ça de pris. On a regonflé mon vélo et c'est un véritable plaisir de rouler. Mon beau-père avait raison ; à 17 heures il fait encore bien clair. Soudain j'aperçois au bout de la rue un jeune homme qui court, bonne foulée, taille haute, silhouette athlétique... Je venais de monter sur le trottoir et je crois bien que j'ai sauté du vélo jusque dans ses bras. Faut dire que vu l'état du vélo il est quasiment impossible que j'ai fait autre chose. Lui quoi. Il ne faut jamais interrompre un sportif en plein effort. Sauf que ce sportif là je ne l'avais pas vu depuis le début des dernières vacances et qu'il m'a bien manqué. J'ai été sage : je l'ai laissé repartir. François est revenu dans le Nord avec Anaïs pour mon anniversaire. Comment voulez-vous tirer la gueule après ça ?

Vendredi 25 janvier 2008 à 22:46

Tapez 1 pour sauver l'adepte de la cynique indifférence.
Tapez 2 pour sauver l'adepte de l'indifférence maladroite.

Des qualités, des défauts et le tout bien mélangé mais il faut faire un choix. Non pas que la situation l'exige, c'est juste que j'en ai marre de souffrir pour trois. Et je dis ça depuis le mois de septembre je sais. C'est d'autant plus urgent. Y'a eu tellement d'allées et venues entre le purgatoire, la salle de tortures et la salle de l'oubli qu'il me semble que j'ai véritablement endommagé la moquette. Je ne vous parle pas de l'état des portes. Et puis, le système par vote est un système à la con. Simplement parce que la production, ici moi, choisira toujours de sauver celui qu'elle veut sauver. Sauf que quand c'est télévisé elle est bien obligée d'en lâcher un des deux. Ça doit manquer de visibilité en fait. Si si, ça doit être ça. J'ai besoin d'un huissier ! Mais la visibilité peut aussi signifier une perte de contrôle, voire une sanction.

N'empêche...ce qu'on était bien sans la télé-réalité !

Vendredi 25 janvier 2008 à 21:29

C'est vrai, je suis la première à le dire, ils peuvent faire mal, ils peuvent blesser, dans l'amour, dans l'orgeuil, mais sans "mes mecs à moi" je ne serai vraiment pas grand chose. Même si bien souvent ils ne savent pas à quel point je tiens à eux.

Je peux ne pas les connaître et vouloir m'émerveiller devant leur bonheur, y contribuer dans la mesure du possible et, s'il vous plaît, pouvoir admirer ces sourires, francs, sincères et qui me donnent sans que je le sache vraiment, l'envie d'être heureuse.

Ils ne le sont pourtant pas à tous les coups.

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