Dimanche 3 mai 2009 à 6:39

Non mais, j'aurais du y penser avant... C'est d'une logique suprême. Quand je dors chez moi, petit village de 800 habitants, à la campagne, avec le poulailler au fond du jardin, je me lève à pas d'heures. Quand j'arrive en ville, avec le coq à 1,5 km de là, au milieu de 10 000 personnes et le bruit qu'elles font avec, je me réveille de bonne humeur à 6h15. A moins que cela ne soit grâce à mes activités d'hier. "Aller à Lille" me réussit. Fichtre.

Dimanche 25 janvier 2009 à 12:08

Aujourd'hui journée chargée, surtout lorsque comme moi on se lève toujours trop tard. Nettoyer la chambre, ranger les cours, recopier la spé, faire le repas, se préparer et partir à Lille pour retrouver Maïka ! Cela va faire un an que je ne l'ai pas vue. Le week-end précédant mon anniversaire, au moins nous sommes constantes ! Et bien sûr au lieu d'aller bosser je suis encore là. Normal. J'espère juste que la photo n'aura pas trop changée (même si Rémi ne sera plus avec nous).

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0171.jpg

Oui ça fait juste un an que je dois poster cette photo... Je vais me faire tuer ! Et une pensée aussi pour Mlles Bee et Anne, parties en train elles aussi ! <3
 

Mercredi 7 janvier 2009 à 20:27

"Because now i'm trapped."

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0663.jpg

Sauter dans les bras de vieux amis dans la gare de Lille Flandres. Courir dans le centre ville. Prendre des photos dans le Vieux Lille. Apprendre un peu mon histoire à Wazemmes. Admirer les guitaristes à l'oeuvre à la cité U du Pont de Bois. Rentrer bien trop tard aux 4 cantons.

Plus je te quitte plus je t'aime.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/PICT0669.jpg

You're my urban tale.

Jeudi 11 décembre 2008 à 18:27

Avez-vous remarqué comme la haine de quelqu'un peut nous amener à marcher bien plus vite ? Que l'amour de quelqu'un d'autre nous fait nous retourner bien plus lentement ? Moi j'ai les doigts glacés. J'aimerais me réchauffer les pieds. J'ai envie de le voir. Et mon coeur est éparpillé dans divers coin de l'Europe. "Little girl has europe in her blood". Pas seulement dans le sang. "She has feelings in her head". C'est bien là le problème. "And too many boys in the heart." Tu t'es un peu emmêlé les pinceaux mais oui, c'est ça. J'ai envie de partir. Toujours aux mêmes endroits.

Samedi 15 novembre 2008 à 22:03

Se faire une réflexion très bête en sortant du train à Orchies : j'ai envie d'aller à Londres, Paris, Dijon, Rennes (jusque là, ça va), et Lille. Sauf que j'en viens de Lille. Eternelle insatisfaite, fichue de telle sorte qu'elle a ses pulsions a posteriori. Quand l'instant est passée. Je me fais parfois engueuler parce que je ne réfléchis pas assez. Mais j'aimerais que cela soit vrai, que je ne réfléchisse pas justement.

Vendredi 31 octobre 2008 à 22:56

Sortir du métro et croiser François. Comme par hasard. On sait que le hasard n'existe pas avec nous deux.  Se parler un peu. Avoir soudainement l'envie de repartir, d'écouter du jazz, d'accepter d'aller boire un verre et reprendre à zéro. Ou presque. Juste changer. Et revenir. Puis recevoir un sms. Pousser un léger soupir. Lui sourire et lui dire que j'ai un train à prendre. Parce que s'il ne fait pas partie de ma vie.... Il n'y en a pas sans. En dehors de tout. Comme en dedans. C'est aussi à ça que je pensai. Je ne m'endormai pas. Un de ces jours je te le dirai.

Marcher vers la gare. Continuer. Ne plus retourner en arrière.

I Keep Walking.

Le problème c'est que les gentils bonhommes je ne les trouve pas intéressants.

Vendredi 31 octobre 2008 à 15:41

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/Photo1252.jpg

Ils sont en train de monter le marché de Noël sur la place Rihour.
Ca va être long après ça.
Ou court.
Dans les deux cas. Fèche.

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:38

Ils sont pitoyables a avoir tous les deux peur de l'autre. Et mutuellement inversement etc. Pendant ce temps là on est au milieu. Deux choix sont possibles : on en profite pour les choses futiles, matérielles et on morfle pour l'important. Ou alors on morfle pour l'argent et on en profite pour les choses importantes. J'ai choisi la deuxième option, celle qui me permet de m'en sortir sur les deux tableaux. Celle qui fait que je ne suis même pas obligée de répondre aux questions. Je les retourne. J'en fais des armes contre eux. Des marches pour moi. Je ne leur marche pas dessus pour autant. Mais ça pourrait arriver. Je suis une garçe. Peut-être bien. Ca n'est pas pour autant que j'ai tout. Ca n'est pas pour autant que moi je vous détruis. Je vous laisse tranquille. Soyez des témoins aveugles. On ne vous en voudra pas. Les risques que tout pète se réduisent de jour en jour. Va bien falloir que je m'envole. Promis je vous préviendrai. Ou pas. Si ce foutu mail voulait bien me faire le plaisir de s'envoyer.

Julie, j'espère que tu as raison.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast