Tu me manques beaucoup plus que déjà.
Jeudi 3 septembre 2009 à 22:05
Je suis presque en train de chialer devant mon PC. En écoutant goodbye my lover de James Blunt. On peut dire que tout ça ne me ressemble pas. La Virgule de la Magique Pacôme va être très utile, je le sens, et je le regrette presque. Merci. J'ai songé à lui donner ma clé de sol. Je joue avec un médiator qu'on m'a donné, pour une fois, ça c'est plus moi, et encore. Il n'empêche. C'est fou l'impression de se perdre que peut nous donner la réalisation d'un rêve.
Tu me manques beaucoup plus que déjà.
Tu me manques beaucoup plus que déjà.
Mercredi 3 juin 2009 à 17:46
"Hé ! Petite fille ! On est jamais deux à partir;
y'en a toujours un pour larguer l'autre pour languir..."
Des vérités qui ne valent plus la peine d'être claquées à la figure des uns et des autres. S'endormir contre Mathias dans les fauteils rouge, pendant que François joue. Admirer les étoiles au plafond. Chanter avec Alexis les chansons d'Hermès, ou celle de Calypso (Blandine) voire celle de Pénélope (Laurie). Se souvenir de la danse derrière le rideau, de la paille déposée sur de grandes baches en plastique, de Margaux et Océane et qui s'étaient aggripées à moi. Et partir encore plus loin. Revoir François (l'autre) et Adeline allongés sur les tables de l'espace artiste, rire de l'"anecdote" que raconte encore Thomas sur Charles et Julie, le faux-cul de la robe jaune, le tailleur vert, et tant d'autres choses.
Demain soir je monterai sur la scène du théâtre de St Amand les Eaux.
Et ce probablement pour la dernière fois.
Voilà qui m'emmerde. Seigneur que j'aime cette scène, ce théâtre, ces loges, et le coin dans lequel j'irai réviser mon texte 30 minutes avant les 3 coups. Celui qui n'appartiendra à personne d'autre.
y'en a toujours un pour larguer l'autre pour languir..."
Des vérités qui ne valent plus la peine d'être claquées à la figure des uns et des autres. S'endormir contre Mathias dans les fauteils rouge, pendant que François joue. Admirer les étoiles au plafond. Chanter avec Alexis les chansons d'Hermès, ou celle de Calypso (Blandine) voire celle de Pénélope (Laurie). Se souvenir de la danse derrière le rideau, de la paille déposée sur de grandes baches en plastique, de Margaux et Océane et qui s'étaient aggripées à moi. Et partir encore plus loin. Revoir François (l'autre) et Adeline allongés sur les tables de l'espace artiste, rire de l'"anecdote" que raconte encore Thomas sur Charles et Julie, le faux-cul de la robe jaune, le tailleur vert, et tant d'autres choses.
Demain soir je monterai sur la scène du théâtre de St Amand les Eaux.
Et ce probablement pour la dernière fois.
Voilà qui m'emmerde. Seigneur que j'aime cette scène, ce théâtre, ces loges, et le coin dans lequel j'irai réviser mon texte 30 minutes avant les 3 coups. Celui qui n'appartiendra à personne d'autre.
Dimanche 17 mai 2009 à 1:17
Il y a comme un bug. Elle a tout pourtant. La tenue, la soirée, et les gens. Elle est la seule à fumer cette marque de cigarettes dans le lycée. Elle est la seule à fumer, là, maintenant. Elle est juste seule face à un mur en fait. Au sens propre comme au sens figuré. Les bottes posés sur une autre chaise. Un vague souvenir de morceau punk en tête. Se souvenir, chercher la chanson dans le téléphone et la trouver. Elle est aussi la seule à ne pas savoir quoi penser de cette moitié de silence. Peut-être parce qu'elle le vit seule, pour changer. Lassitude. Fermer les yeux un instant le nez enfoui dans un col.
Savoir viser juste, rapidement, sans bavure. "Tu viens avec moi ?", connard, j'irais n'importe où avec toi. Et cette phrase est au conditionnel. Et ça me fait chier. "No, he is not. That's my problem." Oui, il est bien là mon problème, à n'en plus douter.
C'est simple : elle doit aller à Paris l'an prochain. Loin de yeux, loin du coeur. Ou pas, justement.
Savoir viser juste, rapidement, sans bavure. "Tu viens avec moi ?", connard, j'irais n'importe où avec toi. Et cette phrase est au conditionnel. Et ça me fait chier. "No, he is not. That's my problem." Oui, il est bien là mon problème, à n'en plus douter.
C'est simple : elle doit aller à Paris l'an prochain. Loin de yeux, loin du coeur. Ou pas, justement.
Dimanche 12 avril 2009 à 14:03
Je passe des fêtes de Pâques sans cloche ni chocolat. Comme tous les ans le Paris-Roubaix passe par chez moi. Il n'y a pas eu de grand repas de famille pourtant. J'ai des tonnes de papiers, de textes, d'inspirations à vous poser. Je ne le fais pas parce que je n'arrive pas à me poser moi. Guitare et cigarettes. Avril et Mai. J'aimerais que tout se passe aussi bien que jusqu'à présent. J'ai des hauts et des bas. Des milliers de choses à faire. L'été n'a pas attendu Juin pour arriver. Vider ma chambre pour la retrouver encore plus remplie d'eux. Nous verrons bien ou tout cela nous porte. Quoi ? Ces derniers mois. Qui sont partis pour devenir les plus beaux. Ah. Et puis. Surtout. Dans 8 jours je suis à Dijon quoi.
"Je vais à Amsterdam durant le dernier week-end de juin. Et j'ai la chanson Mister Blue qui me revient en tête ces derniers temps. Je pense à Ambre à tous les coups. Celle qui est partie comme elle est arrivée. Des tonnes de choses à lui dire. Je ne sais pas les dire en anglais. Peut-être juste parce que je ne parviens pas à les penser en français. Déjà."
"Je vais à Amsterdam durant le dernier week-end de juin. Et j'ai la chanson Mister Blue qui me revient en tête ces derniers temps. Je pense à Ambre à tous les coups. Celle qui est partie comme elle est arrivée. Des tonnes de choses à lui dire. Je ne sais pas les dire en anglais. Peut-être juste parce que je ne parviens pas à les penser en français. Déjà."
Samedi 14 mars 2009 à 20:09
Vous avez des tendances dépressives. Vous lisez mon blog. Déjà vous êtes maso. Mais dernièrement vous aviez trouvé que j'abusais sérieusement en mettant ce live de U2. Il y a quelques mois vous trouviez que j'étais une vraie salope mais que vous m'adoriez quand je vous avais fait découvrir le clip de What Sarah Said des Death Cab For Cutie. Aujourd'hui, et une nouvelle fois grâce à Julie, dégustez :
Le live, parce que j'ai pas tellement le choix et que c'est bien, aussi. Mais regardez le clip au moins une fois. Si, si.
On dit merci tata Juliiiiiie.
Vendredi 23 janvier 2009 à 20:01
Je me souviens qu'Elle m'avait fait rire concernant la personne qui sur une photo à deux regarde toujours l'objectif alors que l'autre la regarde elle. Du coup on avait refait une photo. Mais aujourd'hui il n'y a aucune photo à refaire. Ce sont deux "amis" sur cette photo. Elle a les yeux rivés sur l'objectif. De manière presque sournoise. C'est moche et quasi désespérant comme photo. D'autant plus que si j'étais à sa place... Sauf qu'avec des si on mettrait Paris en bouteille. Mais il ne faut pas le dire. Parce qu'on est pas amié de la même manière. Pour reprendre ce verbe à garder car étant très vrai.
Et là pour le coup ça mérite bien What Sarah Said, encore une fois.
Et là pour le coup ça mérite bien What Sarah Said, encore une fois.
Mardi 30 décembre 2008 à 22:20
Elle adoucit les moeurs, ou pas.
You look so fine
I want to break your heart
And give you mine
You're taking me over
It's so insane
You've got me tethered and chained
I hear your name
And I'm falling over
I'm not like all the other girls
I can't take it like the other girls
I won't share it like the other girls
That you used to know
You look so fine
Knocked down
Cried out
Been down just to find out
I'm through
Bleeding for you
I'm open wide
I want to take you home
We'll waste some time
You're the only one for me
You look so fine
I'm like the desert tonight
Leave her behind
If you want to show me
I'm not like all the other girls
I won't take it like the other girls
I won't fake it like the other girls
That you used to know
You're taking me over
Over and over
I'm falling over
Over and over
You're taking me over
Drown in me one more time
Hide inside me tonight
Do what you want to do
Just pretend happy end
Let me know let it show
Ending with letting go [3x]
Let's pretend, happy end [4x]
J'ai envie de chanter du Garbage. Pas de mal ? Par contre vouloir mettre en application ça c'est problématique. Enfin, je crois.
Lundi 29 décembre 2008 à 15:19
Je voulais lui crier qu'il n'avait pas besoin de ça... Qu'il était la classe incarnée et que si la confiance ne venait pas toute seule c'est qu'elle était sacrément bête. Mais on ne crie pas sur les gens, ça ne se fait pas. Même si certaines choses ne peuvent qu'être criées, alors on les tait. C'est petit et médiocre, c'est refouler un instinct bien plus futé que toutes nos pensées. Et comme de grand imbéciles que nous sommes nous le faisons.
B. t'es la classe incarnée.
Ambre nous a quittée depuis quelques temps déjà. Cette fille est et restera probablement un mystère. Arrivée et repartie aussitôt après. Je crois qu'elle a vu trop de choses d'un coup. Je ne le saurai jamais. Enfin. Il reste cette chanson...
B. t'es la classe incarnée.
Ambre nous a quittée depuis quelques temps déjà. Cette fille est et restera probablement un mystère. Arrivée et repartie aussitôt après. Je crois qu'elle a vu trop de choses d'un coup. Je ne le saurai jamais. Enfin. Il reste cette chanson...
Dimanche 21 décembre 2008 à 23:49
Je suis à nouveau en train d'écrire. Sur de la bonne musique. Ca me ramène tellement de choses. Presque jusqu'à m'en faire oublier la déception de cette soirée du nouvelle an qui n'aura pas lieu. Tant pis, je replonge. Mettons que non, ils sont pas trop cons. Il est 23h48, je viens de prendre un cachet de vitamine C, la nuit sera longue, mes rêves seront courts, la vie sera autrement. Je suis repartie pour me perdre, qu'importe, c'est volontaire.
[Message à ma cellule-mère, vu sur un pseudo msn : "Kiss me I am bassiste" xD ]
[Message à ma cellule-mère, vu sur un pseudo msn : "Kiss me I am bassiste" xD ]
Mardi 25 novembre 2008 à 14:08
Steal me, deal me, anyway you heal me
Maim me, tame me, you can never change me
Love me, like me, come ahead and fight me
Please me, tease me, go ahead and leave me
Maim me, tame me, you can never change me
Love me, like me, come ahead and fight me
Please me, tease me, go ahead and leave me