lagrandemymy

Voilà, le blog va faire une petite pause étant donné que mymy est en vacances et que moi (Hélène, la baby sitter du blog) part en colonie ce soir. J'espère avoir était à la hauteur pour les articles et que mymy appréciera mon travail. J'espère que vous passerez (ou que vous passez) de bonnes vacances vous aussi. Profitez-en bien car dans 1 mois c'est la reprise ! ça passe vite dis donc !

 

Vous pouvez toujours rendre visite à ce petit blog et lui laisser des messages ! Gros bisous à tous et bonnes vacances encore !

Je ne sais pas son nom, je ne sais pas à quoi il ressemble, je ne connais ni son âge, ni où il habite. Il est un total inconnu pour moi et pourtant, je me sens si bien avec lui. Je peux parler des heures entières avec ce mystèrieux homme qui essaie toujours de me cacher sa vie. Je devrais me méfier de lui, après tout, je ne le connais pas...mais pourtant, je me sens irrésistiblement attirer vers lui et j'ai très envie de le connaitre. Peut être qu'un jour, il fera tomber tous les masques....après quelques mois....après avoir gagner quelque chose....après avoir gagner sa confiance...

Vous accordez facilement votre confiance aux gens ?

J'ai reçu de ses nouvelles hier. Après deux semaines sans en avoir, je l'avais presque oublié. Mais pourquoi me colle t-il à ce point pour savoir comment je vais alors que lorsque c'est moi qui lui demande de ses nouvelles, il ne me répond pas ! Bizzar ce garçon ! Voulait-il vraiment savoir comment j'allais ou avait-il juste du forfait à claquer d'urgence ?

 Et moi, pourquoi cela m'embête tant qu'il ne me répond jamais ? Pourquoi je pense des fois à lui ? Suis-je amoureuse ? Non, impossible ! Il n'est pas du tout mon genre.....et pourtant, je suis bien en sa compagnie !

Je me complique tout à me poser ces questions à la gober !

"Mais si tu crois un jour que tu m'aimes                                                                                                                       ne le concidère pas comme un problème                                                                                                                     et cours et cours jusqu'a perdre haleine,                                                                                                                viens me retrouver"

Je viens de faire ma valise pour partir en colonie, aie aie aie ! J'ai prit tout ce qui me demandait en double  ! Et dieu sait comment je suis une accro du shopping donc je considère toutes mes fringues de ma garde robe comme VITALE pour partir là bas ! Il faut me résonner ou alors il faut s'assoir sur ma valise pour que je la ferme, c'est au choix !

C'est dingue que j'aime mes fringues à ce point. Y'en a qui dépense tout leur argent dans leur collection de peluche, dans de la déco....ben moi c'est dans des fringues ! Et le pire c'est qu'il me manque toujours THE CLOTHES sans lequel je ne peux pas vivre !

Les fringues, drogue dur pour le porte monnaie !!!

O°o J'ai envie d'écrire des chansons. Des textes qui racontent ma vie, mes émotions. Pouvoir faire partager à tous ce que je ressens sur l'air d'une musique entêtante.

O°o J'ai envie de partir en vacances, m'évader, être loin de tout le monde qui me connais, me juge, m'aime....pouvoir être seule et réfléchir...recommencer ailleur, oublier mes soucis le temps de 3 semaines.

O°o J'ai envie de dormir....se coucher tous les jours à 1H du matin pour regarder ses séries et se lever à 7H30 pour garder un bébé, à force ça use !

O°o J'ai envie de revoir mes amies, elles qui sont si loin de moi, toutes dispercée un peu partout dans la france : l'une à la frontière de l'italie, l'autre en dordogne, une autre en bretagne, encore une autre à la plage.....je veux vous retrouvez, retrouvez nos délires qui me manquent tant !

O°o J'ai envie de maigrir ou alors que l'on invente des sucreries qui ne font pas grossir ou même qui vous fasse perdre du bide (je peux toujours attendre).

J'ai beaucoup d'envies en ce moment, prendront-elles vie un jour ? l'espoir fait vivre, l'attente tue !

??? Et vous, qulles sont vos envies ???

LN

J'ai encore rêvé de lui, ça devient quotidien : chaque nuit je le retrouve dans mon rêve.  J'ai beau essayé de l'oublié le jour, tous mes efforts sont anéhanties le soir même ! Tout cet amour que je refoule ressurgie pendant mon sommeil. Toutes mes peurs, mes angoisses aussi : le voir avec la femme qui partage sa vie, ne plus le revoir, ne plus pouvoir lui parler, ne plus faire partie de son univer tout simplement. Il me faut encore 1 mois et demie avant de le revoir...et encore, je ne sais pas si je le reverai de loin, guettant son arrivé comme je le faisais avant ou si je le retrouverai réellement et le verrai tous les jours de la semaine. Cet attente est angoissant ! Je vis dans le doute permanent ! Mon coeur pert une à une ses espérances tel l'arbre ses feuilles....et un jour il n'y en aura plus, plus d'espoir, il ne restera plus rien.

LN

On m'a fait un dessin qui est censé expliquer des choses qui se seraient passées dans la nuit du 10 au 11 juillet dans la tente verte et jaune. No comment.
Cependant ce soir. Je sais pas je me se suis sentie partir.. et j'ai fait cette animation !!
Qui est ma première vraie animation !!!
Maki et Ice.. à vous de juger !! J'ai essayé de rendre honneur à ton dessin maki (càd de pas le bousiller) quant à toi Ice ... j'espère que tu auras aussi ton compte de vannes lol !!
J'en profite pour faire un énorme bisous à tout le monde.

(techniquement c'est pas très propre mais je fais à minuit en étant crevée.. je fignolerai à mon retour...)

(ne voir aucun sous entendu dans la parenthèse d'au dessus .. non mais je vous connais va !!)

Dans le regard qu'il m'a jetté j'ai senti quelque chose que je n'avais senti dans aucun regard. De la fierté. Et à ce moment là je peux dire que j'ai été heureuse. Il était fier de ce que je savais faire. Comme si il m'avait tout appris. Son regard était à la fois étonné et satisfait.
Je sais qu'il ne m'a rien appris mais je n'ai pu m'empêcher d'apprécier sa réaction. Parce que c'était aussi comme une marque de possession. Mon talent lui revenait.
Je suis quelqu'un d'indépendant. Une telle idée quelques heures avant m'aurait tout simplement mise hors de moi. Là non. Parce que c'était lui, son regard. Que je ne lui avait rien demandé, rien dit. Que je ne m'attendais pas à ça.
On a discuté avant. Sans jamais aborder ce sujet. Sans jamais y faire même une allusion.
Et que c'est arrivé tout de même. Je lui appartenais parce que l'on s'était trouvé. Et j'en étais aussi fière qu'il l'était.
Ce moment, ce regard reste à jamais comme un souvenir immuable. Je n'en ai pas pris de photo mais je n'en ai pas besoin. Il est encore plus proche que ce que j'avais pu imaginer.
Que ce que j'avais pu voir auparavant.

Auparavant. Nous avons parlé de beaucoup d'autres choses. Pas assez mais pas mal du tout. Dont un. Qui était parti aux oubliettes. Que nous avions quasi enterré et qui revenait de temps à autres lorsque nous ne savions vraiment pas quoi dire.
Ce sujet est revenu aussi. Mais avec tellement de beautée, avec tellement de vie et de force. On va à nouveau en parler...

[pix à venir]

Ca fait bizarre de revenir sur ses anciens textes...

Et j'ai envie d'emmerder tout ces gens autour de moi. Envie de leur montrer qu'ils ne savent pas tout. Qu'on est tous seul dans sa propre merde mais que certains en ont plus que d'autres.
 
J'ai relu cette lettre qui n'en est pas une. J'ai relu ses mots. Et j'ai encore compris que c'était autrement qu'il était parti. Que les blessures sont invisibles quand on ne veut pas voir.
Quand on est deux à vouloir penser à autre chose, à vouloir oublier ce que l'autre ne sait pas.
J'ai envie d'être seule mais avec lui. Il m'a montré le chemin. Pas celui que vous croyez. C'est le chemin pour plonger qu'il a ouvert à mes yeux. Celui que je cherche sans vraiment le chercher. Parce que je savais bien que je le trouverai pas. Qu'il me tomberait sur la gueule comme il le fait toujours.
Si je me noyais dans sa vie, juste me noyer moi. Je veux pas qu'on cherche dans la mienne.
Il comprendrait. Il comprendra. Pas de pitié. Bouffer le malheur des autres pour voir le sien.
Envie d'être seule dans mon esprit, sans esprit. Envie d'être dans son histoire. Envie de passer à travers lui pour me perdre.
S'en foutre. Oublier. Encore toujours. Sans conséquences. Sans conscience. Sans oubli.
En sachant pourquoi, comment. Et faire cette connerie intense qu'on a décidé de ne pas regretter.

Je sais pas quoi mais :Leur montrer qu'il y a autre chose que celle qui écrit sans talents, sans vécu, plat, répétitif.
Pour se livrer. Il faut juste être au moins aussi sombre.
Et je l'attend.
Et sur la photo c'est mes escaliers de Montmartre. La question ce soir c'est jusqu'où ils peuvent bien m'emmener ? Pas assez loin je crois.

Elle fait partie de ces filles qui ont tout alors qu'elles s'en foutent complétement. Bien sur elle souffre aussi mais beaucoup moins... beaucoup moins que la souffrance qu'elle peut ressentir quand elle voit ses yeux se perdre là où lui seul peut se rendre, dans ses souvenir avec elle.
La faire souffrir.. oui pourquoi pas.
 Mais plus que tout elle veut devenir meilleure. La supplantée, pas tant par esprit de compétition, et puis quoi encore surtout pour ce qu'il y a à "gagner". C'était inestimable.
 Et renforcé par le fait qu'elle la battrait. Alors que c'est elle qui avait remporté la première manche.La première manche, elle se mettait à parler comme tout les autres. Comme si c'était juste un trophée de plus à accrocher sur les murs tapissés de sa chambre.
 Alors que pour elle c'était bien  plus. Elle le voulait pour ce qu'il était. Le challenge que représentait sa conquête ne faisait qu'ajouter du pient à ce jeu sordide. Elle ne voulait pas jouer.

Comment s'en empêcher cependant ? C'est le jeu fou que les femmes se livrent depuis qu'elles le peuvent.

La comparaison avec une guerre sans merci et où tout les coups sont permis lui parait plus juste. Pas de remords, pas de confiance, pas de conscience et la régle d'or : surtout pas de sentiments. Surtout quand on aime. C'est le prix à payer.

L'affreux paradoxe : pas de sentiment surtout quand on aime.
Comme si pour mériter tout l'amour que l'on est capable de donner, et de reçevoir, il fallait que cela repose sur une relation exclusive.
Quand la haine est un élément indissociable de son ambition. De son souhait le plus profond. Et encore la haine. Pas de haine. La haine est un sentiment qui peut obscurcir l'esprit. Froidre, placide, glaciale et affreusement cinglante.
C'est donc les moyens qu'il faut se donner pour illuminer son monde ? Détruire pour reconstruire plus haut après. En espérant que cela tienne. Histoire de ne pas avoir à recommencer.
Le pire. C'est que cette fille elle ne la connait même pas. Il lui suffit de savoir qu'il la connait pour voir en elle.. que voyait elle en elle d'ailleurs ? Un obstacle. Qu'elle franchirait. Parce qu'elle le veut dans chaque fibre de son corps, de son être. Parce qu'elle aime et qu' elle crève de jalousie.
Parce qu'elle se sent incapable d'appliquer tout les principes qu'elle cite au dessus.

Ce soir pas d'inspiration.
Alors je redis, relis, revis, ce qu'ils ont dit, lu, vécu.
Tiens, lui je pense que je vais lui offrir un style. comme ça il ne sera plus obligé de piquer celui du serveur. J'espère que c'est pas tant le styloe que la montée d'adrénaline que le pousse à faire ça. Sinon je peux plus rien pour lui.


                                                     Nature sauvage, ingrate, de l'Homme ?
                                 
Ce monde est quand même, quoique l'on en dise, bien étrange. Comme on peut passer du statut de proie à celui de prédateur en un centième de seconde. Le temps d'un souffle, d'un battement de coeur.
Certains disent et pensent surement, que la nature sauvage est parfaite. Entre nous, je ne me suis pas penchée sur la question. J'en arrive malgré tout à une conclusion : elle est déjà moins vacharde que celle de l'Homme.
Prenez un grand félin, prédateur par excellence, la nature l'a doté d'armes mortelles, plus efficacement meurtrières les une que les autres.
Alors que l'Homme... on peut avoir tout l'état d'esprit d'un prédateur, avoir de l'ambition, peu de scrupules, les gestes et les attitudes que peu savent imiter. Et on a tout ça en ayant un physique qui ne s'adapte pas à son esprit. A son impudique ambition. A son effrayante intelligence. Et à sa délectable inconscience.

Ce qu'on appelle le physique ingrat ?



La photo et le texte sont toujours de moi !!!

La musique commencait à lui rentrer dans la tête. Et ce leitmotiv.. oui elle l'avait entendu tant de fois, analysé si souvent, elle était prête. Plus que jamais elle ne le serait. Elle connaissait le morceaux par coeur. Les pas.. elle les savait sur le bout des doigts, ou comme s'amusait on à lui dire sur le bout des demi pointes.
La première mesure, la seconde, la troisième, un léger coup d'oeil à sa voisine qui reproduisait exactement le même geste, épaule, épaule, pied jeté, pirouette... etc etc..
Et tout ça pendant 5 minutes de pur bonheur, où l'on ne regarde même pas le public, parce que l'on danse et qu'on ne pense à rien d'autre qu'au mouvement, à la musique. Quelques fois aussi il faut l'admettre, aux personnes qui dansent avec soi.. histoire de ne pas se foncer dedans.
Elle ne pensait jamais pouvoir faire un jour cela. Et là en quelques heures elle l'avait 3 ou 4 fois, elle avait même failli le faire toute seule. Et c'est des marques de confiance pareille, des instants de confrontation comme celui là, qui peuvent changer une vie.


Je profite de cet article pour remercier les 920 personnes qui sont venues sur ce blog en juin. J'avais comme "objectif" 600 il a été largement dépassé, et grace à vous ! Merci !!
En parlant de ça mes statistiques de juillet déconnent .. miam de l'amusement en perspective !

(ah au fait, sur la photo, c'est bien moi ^^)

8h03. Elle se réveille. Bien ou mal dormi ? Incapable de répondre à cette question.
Oui elle avait bien dormi, elle était trop fatiguée pour ne pas le faire.. mais la fin de nuit avait été dure.. agitée... elle se demandait tout simplement ce qu'elle foutait là, et puis elle avait trouvé : elle ne faisait rien, c'est juste que pour une fois elle profitait de la vie.

Il faut dire que vu la fréquence à laquelle cela arrivait, il était normal qu'elle ait du mal à reconnaitre ces moments.

Mais voilà, hier soir elle s'était détendue, elle s'était complétement reposée sur quelqu'un.
Et sans aucun doute, elle en avait bien besoin. Désormais tout irai mieux. Elle savait qu'elle pouvait compter avec lui. Encore plus étrange, c'était lui. Alors qu'elle n'accordait jamais sa confiance à des mecs, elle les avait conseillé, écouté, joué avec eux trop souvent pour cela.

C'était différent. Le conseil elle l'avait donné, il l'avait suivi, il avait joué.
Et malgré cela, elle savait en toute objectivité, du fond de son coeur comme du fond de son esprit, qu'il n'oserait même pas essayer avec elle. Et ça ne reposait pas sur la peur comme généralement, non juste sur l'amitié, la confiance...

Tiens, il se réveille , visiblement aussi en forme qu'elle au réveil. Cependant il sourit.
Il a compris avec elle.