Vendredi 30 mai 2008 à 11:57
Ca fait trois nuits que je me dis que vraiment, un ordinateur serait bien pratique. Pour deux raisons différente chacune appartenant à un monsieur. La première c'est qu'écrire à la main ne va pas assez vite. La deuxième c'est que lorsqu'on écrit à la main, on voit ce qu'on écrit. Voilà. C'est dit.
L'optimisme je crois que je vais me réabonner. Ca ne changera rien à l'angoisse qui me tord le ventre chaque nuit, enfin, je ne crois pas, mais tout de même. D'une manière ou d'une autre ce qui doit arriver arrivera. Autant se bercer d'illusions en attendant, non ? Ca n'est pas une solution ? Mais il est bien là le problème : je n'ai pas de solution. Alors je n'ai plus qu'à rêver. Ca on ne peut pas me l'enlever, ni avant, ni pendant, ni après... Juste l'équivalent de quelques claques m'enfin. Pour me consoler d'une absence je me réfugier dans une présence. Ca parait plutôt logique. Sauf que si l'absence est réelle, la présence n'est qu'un souhait. Oh, et alors, au final, c'est une chance sur deux. Alors vaut mieux se planter en tentant de chasser cette angoisse que de se planter en se complaisant dedans. Enfin. Dans la manière. Pas dans le but. C'est sûr qu'à l'arrivée, si je choisis effectivement la solution "souris et rêve", j'aimerais qu'elle se révèle être la bonne.