Vendredi 2 avril 2010 à 1:20

Avril, apprend-moi à vivre en apnée.

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Jeudi 4 mars 2010 à 1:54

Ou éveille toi, mon bel amour. Ouvre tes yeux, ton odeur, ta voix. Faire vivre les ombres que tu poses d'habitudes derrière toi. Tu peux t'étirer, ou te blottir contre moi, miauler ou me chuchoter des imbécillités à l'oreille. Qu'importe. Ouvre un miroir. Ouvre une fenêtre de matin. Je suis dans ta faille. Laisse le monde y entrer. Ne claque pas sèchement la porte. Laisse moi te porter, tout doucement. Laisse moi te soulever, te mettre debout, ou simplement te faire tourner la tête vers le ciel.



C'est demoiselle Castille qui a ouvert les vannes, les miennes, à moi. J'espère juste suffire.

Jeudi 3 septembre 2009 à 22:05

Je suis presque en train de chialer devant mon PC. En écoutant goodbye my lover de James Blunt. On peut dire que tout ça ne me ressemble pas. La Virgule de la Magique Pacôme va être très utile, je le sens, et je le regrette presque. Merci. J'ai songé à lui donner ma clé de sol. Je joue avec un médiator qu'on m'a donné, pour une fois, ça c'est plus moi, et encore. Il n'empêche. C'est fou l'impression de se perdre que peut nous donner la réalisation d'un rêve.

Tu me manques beaucoup plus que déjà.

Vendredi 28 août 2009 à 11:46

On pourrait la résumer comme ça. Un grand rayon de soleil, même quand le ciel est gris, un appareil photo, des tissus de toutes les couleurs et un petit paquet de tartelettes à la fraise. Elle chante, me pique ma guitare et éclate de rire quand on se retrouve assis sur l'herbe. Elle ne sait pas dessiner, ou du moins elle n'a jamais vraiment voulu essayer. Elle me laisse croire que je suis doué, et quand ça vient d'elle, j'en ai bien envie, d'y croire. Elle s'en va et moi je n'ai jamais été autre chose que parti. Mais alors, dites-moi, putain, dites-moi, pourquoi je ressens ce grand vide ? Là. Au milieu de la poitrine ?

Dimanche 16 août 2009 à 17:13

Il y avait une chose pour laquelle elle était particulièrement douée : se faire des films. Que ça soit en amour ou pour le reste, mais particulièrement en amour tout de même. C'était histoire de se rassurer, de se préparer à toutes les éventualités, histoire de rêver ? Histoire de, oui, surtout. Patience. C'était une manière comme une autre de s'occuper finalement. Et puis elle l'avait trouvé. Celui qui respectait le scénario sans même l'avoir lu. Les bons regards, aux bons moments, des gestes qui semblaient calibrés sur ses envies les plus secrètes. Il se retournait après les "au revoir", faisait des sous-entendus, mentait aux bonnes personnes. Ses allusions étaient des plus savoureuses, et ses silences signifiaient ce qu'elle désirait entendre. Le seul problème, c'est qu'il ne remplissait pas la condition première : il n'était pas acteur. Patience. Histoire de. Il pourrait toujours le devenir.

Mardi 4 août 2009 à 23:42

Et Adeline éclate de rire. Il est beau le rire d'Adeline, parce qu'il jaillit, comme ça, quand on ne s'y attend pas. Spontané. Sans calcul. C'est après coup que moi je calcule, parce que je sais ce qu'il veut dire, ce rire. Je le connais bien, à moitié nerveux. Et ses yeux qui deviennent humides dans la seconde. Alors je lui demande pourquoi, alors que je sais. Mais pour l'entendre dire. Je souris. De faire ça, encore une fois. Par pur réflexe. Je savoure en fait. En plus, elle a raison. La situation est à mourir de rire. Ironie du sort, quand tu nous tiens. Elle en arrive à me faire me demander si j'ai vraiment envie de partir. D'abandonner ici ce qui aurait pu être un Beau Départ, simplement pour prendre le Grand Départ, celui que je crois attendre de puis longtemps. Se souvenir d'un autre éclat de rire, un magazine à la con dans une cuisine, 3ème du nom. "Le premier chagrin d'amour." Ah, le premier chagrin d'amour. C'est cela. Quand je vous dis que le cynisme est le cadeau que la vie fait à ceux qui la traverse les yeux ouverts. Le violon et le piano. La basse et la guitare. La Même que Moi Mais en Mieux, qui a résumé la situation, comme toujours, en quelques mots, forts, précis, sans appel. Justes, surtout. Nous sommes en plein dedans. Les vêtements d'homme qui traînent dans la chambre, sauf la chemise. La chemise qui attend encore un peu. Le grand. Le vécu. Le passé qui se conjugue au futur. S'il n'arrivait pas ? Je me nourris d'autres odeur. D'une autre odeur. Tanguer pour aller de l'avant. Ce souhait impossible que l'on a certains soirs ; celui de se réveiller le lendemain dans une vie qui ne serait pas la nôtre. Le paradoxe final. Accélérer en regardant en arrière, voilà peut-être la manière d'éviter le mur. Je débarquerai. Puisque c'est ainsi. Mais je ne veux pas abandonner pour autant. Je commence à me rendre compte non pas de tout ce que je vais quitter mais de tout ce que je vais perdre. Finir par avoir le coeur dans une batterie, à la Death Cab'. Ils le et la font battre. Si, tu sais, celle qui habite mes nuits. My New Favorite Nightmare. Si, tu sais. Celui qui s'éparpille en Capitale. Dans le Sud aussi. Dans tous les endroits où se trouvent mes Elles*. Je m'aperçois seulement que je ne pourrai jamais tout retrouver, je quitte mes deux Ailes*. Mes NouVelles. Mon Lui. Mes Lui. Lui. Je n'ai pas assez d'élastiques, je n'ai pas assez de rubans. J'ai chaussé les demi-pointes, j'écoute du Noir Désir, je relis Antigone. C'est dire si ça va. Mon Coeur Paradoxe. Éparpillé en Capitale. Paris pour retrouver de quoi les aimer plus. Je voudrais faire de la place. M'étouffer un peu moins.


J'ai essayé de vous mélanger en mots, mes Amours. Il est tellement impossible autrement.

"Si tu cherches un abri inaccessible."


Pourtant, il leur irait à tous, j'suis sûre, le rire d'Adeline.

Dimanche 26 juillet 2009 à 21:53

Je me réveille au milieu de la nuit. C'est plutôt une matinée pour le coup, nos horaires n'étant pas vraiment conventionnels. Je suis réveillée et la chambre est encore plongée dans le noir, artificiellement. Là n'est pas l'important. Ce qui compte, vraiment, c'est qu'il y a une raison. Je me sens observée. Sensation étrange. Pas forcément agréable. Les yeux toujours fermés, je me souviens de la situation dans laquelle je me trouve. Et je souris, je souris au noir, à mes paupières que je garde fermement closes, je souris à la nuit, au jour, à cet instant, à cet endroit. A cette personne, qui me regarde. Que j'ai regardée auparavant. Sans même oser me demander si elle aussi avait posé ou poserait ce regard sur moi. Rester dans le silence. Rester dans la pénombre. Sourire aux ténèbres, à la fatigue et à la sensation de pesanteur. S'enfouir. Dans ses bras.

Mardi 14 juillet 2009 à 0:09

As-tu pensé à toutes celles qui t'ont suivi ? A toutes les filles de l'ombre ? Y as-tu pensé dans tes jolies histoires ? As-tu pensé à la fille qui t'attend, paumée dans le métro, puis qui te voit partir, sachant mais n'acceptant pas ? As-tu pensé à la fille qui fume sa clope sur le balcon ? Et à celle qui reste songeuse dans une pièce, après que vous ayez parlé à l'intérieur ? Celle qui admire les nuits rouges ? Celle qui passe des nuits blanches ? Celle qui reste derrière toi, à veiller, sans jamais dire un mot, sans jamais demander un merci ?
Mon singulier pluriel.
Finalement, as-tu pensé à moi ?

Vendredi 5 juin 2009 à 23:31

Nous nous serions bien levées pour danser un jazz. Nous ne l'avons pas fait.

Ce soir. Coline et Adélaïde, dans le public. Manue sur scène.
Hier. Manue et Adélaïde dans le public et puis...

Guillaume, François, Cécile, Simon, Thomas, Mathias, Alexis, Marie, Marion, Vincent, Laura, Catherine...
Et moi. Sur scène.

J'aime ces gens, j'aime cette vie. Un spectacle de théâtre le jeudi, un concert le vendredi.

Acteurs et musiciens.
Sans l'oublier. Tous les autres.

Chemise blanche et pantalon noir. Blue Bird et Yann Tiersen.

En une révèrence, la fin, la parfaite conclusion de trois histoires, qui n'ont jamais officiellement commencées. Seul l'un d'entre eux est revenu le lendemain. La signature de l'a posteriori. Qui devient l'a pri. Nous sommes nuls en surprises. Mister Blue. Plus que jamais, tiens.

Mercredi 3 juin 2009 à 22:17

Ca faisait longtemps tiens. De ces fois où elle avait a envie de choses sans savoir les dire, sans vouloir les dire. Et elle avait froid. Etait réellement glacée. Piano. Guitare. Appareil photo. Cigarette. Elle aimerait qu'il soit là demain soir. Les chemins ne font que se croiser, s'entrecroiser. S'éloigner pour mieux revenir. Des routes comme les fils d'un collier à quatre rangs qu'on passerait notre temps à emmeler. Elle au milieu. Elle le cou, elle la peau, elle les doigts qui tentent de s'y retrouver dans cet enchevêtrement. Que quelqu'un, quelque part, se décide. A être l'unique. Le Réciproque.


Musique : Like Brothers On A Hotel Bed.
Elle (les) aime.

Mercredi 3 juin 2009 à 17:46

"Hé ! Petite fille ! On est jamais deux à partir;
y'en a toujours un pour larguer l'autre pour languir..."

Des vérités qui ne valent plus la peine d'être claquées à la figure des uns et des autres. S'endormir contre Mathias dans les fauteils rouge, pendant que François joue. Admirer les étoiles au plafond. Chanter avec Alexis les chansons d'Hermès, ou celle de Calypso (Blandine) voire celle de Pénélope (Laurie). Se souvenir de la danse derrière le rideau, de la paille déposée sur de grandes baches en plastique, de Margaux et Océane et qui s'étaient aggripées à moi. Et partir encore plus loin. Revoir François (l'autre) et Adeline allongés sur les tables de l'espace artiste, rire de l'"anecdote" que raconte encore Thomas sur Charles et Julie, le faux-cul de la robe jaune, le tailleur vert, et tant d'autres choses.

Demain soir je monterai sur la scène du théâtre de St Amand les Eaux.
Et ce probablement pour la dernière fois.

Voilà qui m'emmerde. Seigneur que j'aime cette scène, ce théâtre, ces loges, et le coin dans lequel j'irai réviser mon texte 30 minutes avant les 3 coups. Celui qui n'appartiendra à personne d'autre.

Samedi 28 mars 2009 à 23:55

En fait elle était toujours attirée par l'option la plus difficile. Elle se trouvait à nouveau à la croisée des chemins. Le sens commun lui conseillerait de choisir la facilité. Mais elle l'a fait l'an dernier. Et. Non. Ca n'est qu'à posteriori qu'elle s'en était rendue compte. Elle pensait avoir eu le courage de prendre la voie semée d'embûche. Que dalle ! Elle s'était juste tournée vers ce qu'elle avait toujours connu : le combat. Contre les préjugés, la connerie humaine, le passé et les souvenirs douloureux. Le vrai courage eut été de relever le défi de l'indifférence. Avant de se convaincre d'amour et de finir par la connaître. Cette année elle s'était correctement vaccinée : elle était tombée pour l'indiffférence avant même de la connaître.

Sa faiblesse. Et se taire face aux personnes qui comptent dans ce jeu.
 

Mercredi 25 mars 2009 à 15:50

La chambre. Un éclair. La clé USB. La mémoire de deux histoires. Si différentes. Avec leurs crises et leurs moment de gloire, d'espoir, d'amour peut-être. Et y revenir. Avec une facilité déconcertante, les mois se sont enfuis pourtant. S'il vous plaît. Dites-moi que. Enfin. Non. Ne dites rien. Les preuves sont là. Les photos. Et les mots. La boîte sur l'étagère. La boîte sous le lit. Une vie dans chacune. Simplement se demander où atterira l'actuelle, dans quelle nouvelle boîte ?

Mercredi 4 mars 2009 à 11:05

Dans la bulle où je dois aller pour accéder au wifi ils passent du Céline Dion. Argh. Ce qu'on ne ferait pas pour un peu d'internet. A venir un article un particulier. Je cherche un nouveau casque car le mien est en fin de vie et je ne crois pas trop en la réparation proposée. Je peux à nouveau écouter We Looked Like Giants, ce qui veut dire que l'écriture va bien avancer dès que je serai revenue chez moi. Ou pas. Parce que j'ai envie d'être à la hauteur de notre Athéna au masculin. Comprendrons les stagiaires de Notre Dame de la Paix, peut-être, du moins Romain s'il passe par ici, fait très improbable, comprendra. C'est terrible de n'être en forme qu'à partir de 20h. Enfin, sachez que : "John Mayard Keynes (1883-1946) est un brillant intellectuel et haut fonctionnaire britannique qui après avoir suivi des études de mathématiques [pouah !] s'interessa à l'économie et devint professeur à Cambridge." sinon il avait aussi un groupe d'amis plutôt particulier, était homosexuel et s'est marié à une ballerine russe. C'est ce Monsieur qui redevient à la mode grâce à la crise. Sinon je rêve que l'un des pions de mon lycée est dans une ville qui est Lille avec les fontaine de St Amand, et qu'il est lui aussi homosexuel mais enceint.

Regarder euronews où un économiste avec un cheveux sur la langue parle encore et toujours de la crise peut avoir de fâcheuses répercussions sur votre sommeil.

Ah si, tout de même : le jeune homme qui disait m'aimer il y a un an et trois jours, six mois, et encore plus récemment deux semaines, fête aujourd'hui le premier anniversaire de son couple. Ca me fait doucement rire. J'adore ce type, son frère, sa soeur et sa copine. Ca n'est même pas ironique. En plus, j'suis invitée. Peut-être serais-je demoiselle d'honneur au mariage ! Vraiment, personnellement je m'en fous. Le problème c'est Jiska. Je lui dis quoi moi quand elle me sort "ahahaha, when I think that in summer 2007 Martin wanted to go out with you !" ? Tu vois ma Clarisse, même s'il est soutenable que quelqu'un puisse aimer deux personnes à la fois, j'suis persuadée qu'il faut qu'au moins une s'en foute et ne soit qu'une amie (le quelqu'un étant assurément un homme !). C'est pas toujours la place qu'on aimerait avoir, mais je te promets qu'elle est bien aussi.

Mardi 3 février 2009 à 21:11

Y'a des soirs où ça sature. Entre les souvenirs et les illusions qui nous manquent, les souvenirs et les désillusions que l'on ne veut pas retrouver, pas maintenant, pas tout de suite, parce que l'on avait pas prévu les choses comme ça. Ajoutez à ça les gens qui vous ignorent, ceux qui feraient mieux de faire, le manque de nicotine, le manque d'alcool, le manque de fête, le manque de sexe, le manque d'amour, aussi... Alors on remplit, remplit, remplit, jusqu'à en déborder d'insignifiant. On tente par tous les moyens de combler ces fichus vides. Et au final il n'y a qu'une seule chose qui ressort de tout ça. Un sanglot.

Jeudi 8 janvier 2009 à 19:14

Rimbaud à Verlaine.
Londres, juillet 1873.

[...] Tu as tort cette fois, et très tort. [...] Quoi, toi, tu n'as pas encore reconnu que tes colères étaient aussi fausses d'un côté que de l'autre ! Mais c'est toi qui aurais les derniers torts, puisque, même après que je t'ai rappelé, tu as persisté dans tes faux sentiments. Crois-tu que la vie sera plus agréable avec d'autres que moi : Réfléchis-y ! - Ah ! certes non ! -
Avec moi seul tu peux être libre, et, puisque je te jure d'être très gentil à l'avenir, que je déplore toute ma part de torts, que j'ai enfin l'esprit net, que je t'aime bien, si tu ne veux pas revenir, ou que je te rejoigne, tu fais un crime, et tu t'en repentiras de LONGUES ANNÉES par la perte de toute liberté, et des ennuis plus atroces peut-être que tous ceux que tu as éprouvés. Après ça, resonge à ce que tu étais avant de me connaître. [...]

Le seul vrai mot, c'est, reviens, je veux être avec toi, je t'aime. Si tu écoutes cela, tu montreras du courage et un esprit sincère.
Autrement je te plains.
Mais je t'aime, je t'embrasse et nous nous reverrons.

RIMBAUD.

Jeudi 1er janvier 2009 à 20:54

On fait parfois des trucs stupides, comme des paris, mais au final ça n'est jamais qu'un moyen de dire ce que l'on veut vraiment. Une motivation supplémentaire en quelque sorte. Le but du jeu c'est aussi de vous faire croire qu'on a besoin de motivation. Alors que tout ça vient de manière spontanée. C'est quelque chose que l'on ne peut pas arrêter. Et qu'on a honnêtement pas envie d'arrêter. Sauf que c'est plus amusant, voire drôle ainsi.


Surtout qu'on final le but ça reste de gagner.
 

Vendredi 26 décembre 2008 à 0:12


Des milliers de prénoms... Des milliers. D'un coup la respiration que s'accélère, je serre les poings, mes jointures en deviennent blanche. Et l'envie soudaine et irraisonnée de balancer toute la vaisselle contre les murs. Des milliers de prénoms, des milliers. Et bien sûr ça ne pouvait pas en être un autre. C'était celui là. Des milliers de prénoms, des milliers. Bien sûr elles sont deux. C'est ce qui fait tout mon problème. Mais merde alors. Des milliers de prénoms, des milliers. Mais en voilà un qui m'a été jeté en plein dans la face. Des milliers de prénoms, des milliers. Seul celui là, aujourd'hui, qui efface les sourires.
***

Petite levée d'auto-censure. Deux B. Deux S. Nan mais les B. et les S. j'commence vraiment à en avoir ma claque.

Dimanche 14 décembre 2008 à 17:40

Il faisait très froid ce samedi matin. Une grosse écharpe, les mitaines... On se levait tôt pour aller accomplir un travail guère réjouissant. Et pourtant je suis sûre qu'il souriait aussi ce matin là. Dès 6h30, au réveil. Parce que l'on s'était mis d'accord. Au bout de trois heures j'ai demandé à sortir et j'ai couru jusqu'à la fenêtre du premier étage. Voilà comment on supporte le froid, la nuit : grâce à un sourire.

Jeudi 11 décembre 2008 à 18:13

Marre. Marre. Marre. De ce garçon. De ces ceux garçons. Qui ont pris trop de place dans ma vie au même moment, qui commence à remonter à loin d'ailleurs. Maintenant je sais parfaitement que si j'avais choisi l'autre ça n'aurait rien changé. J'ai bien fait de mettre ma peur de côté pour suivre mes sentiments : au final la merde est équivalente des deux côtés. Je peux aimer les connnards mythomanes. Je peux aimer les gars sympas et sensible. J'aime le mélange des deux. Mais les tergiversations et ces deux pauvres mecs qui ne savent pas s'assumer, ni d'un côté ni de l'autre, ça commence vraiment à me courir.

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