Certaines choses me manquent. Comme me réfugier dans un train pour (re)trouver le soleil, ton sourire, ton soutien. Oh. Me pardonneras-tu ? Croiras-tu à une constante ? N'est-il pas possible d'avoir aussi souvent le coeur qui se brise sur des coïncidences ? Y aura-t-il seulement de quoi ? Et une autre fin. Je ne veux pas que l'histoire se répète. Je veux juste. Respirer. Sans te mettre en apnée. Je veux savoir où tu seras. Je veux être là pour toi comme tu l'as été pour moi. Je veux t'aider à te découvrir comme tu m'as fait découvrir le monde. Ces cartes postales au-dessus de mon lit. Qui aurait cru qu'un jour ses yeux se poseraient sur elle ?
Mardi 22 février 2011 à 0:00
Découvrir qu'une vieille connaissance, qu'on voyait souvent traîner sur la pelouse de "derrière la Tour", avec ses dreads et sa guitare, fait maintenant du jazz manouche. Qu'il fait ça bien. Que ça marche encore mieux que ce que j'aurais pu lui souhaiter. C'est fou comme certaines choses changent et comme certaines voix restent, avec les sourires qu'elles ne sauraient quitter.
Fichtre, une perle. C'est vrai que ça faisait longtemps.Dimanche 20 février 2011 à 21:19
Aucun commentaire
Mardi 15 février 2011 à 17:45
Quelque peu l'envie de me perdre. Ca se comprend à l'écoute. Du piano, parce que cela fait partir plus loin. Oublier ce que veulent dire les paroles, et les chanter tout de même. Peut-être que cela finira par rentrer. Comme quelqu'un de présent dans une grande salle et à qui on n'avait pas prêté attention. Que l'on essaye par la suite d'éviter, pour fuir le médiocre. Et tout revient. Et tout s'éclaire. On reconnaît ses erreurs, en faisant semblant d'être désolés. En réalité nous n'avons jamais été aussi contents d'avoir eu tort. De trouver le moment où nous pouvons être entiers. Méchants, niais, durs, drôles, fatigants et fatigués, cultivés, abîmés, efficaces, loyaux et traîtres, honnêtes et hypocrites, compétiteurs, exilés, contraints et oubliés.
Les tournures impersonnelles ont fini par avoir tort.
Samedi 12 février 2011 à 14:03
Tell me now The One that you are.
Vendredi 11 février 2011 à 18:49
Sometimes your voice is not enough