Vendredi 31 mars 2006 à 22:01




A quoi cela peut bien servir
Lorsque personne ne voit ton visage
Tu veux donc conserver tes soupirs
Et ta tristesse sans âge ?
Ta ronde est infinie
Tant que durera ta nuit.






bande son inspirée, Le Mépris, Camille, Instrumentale



pix by *key-0

Mercredi 29 mars 2006 à 22:21

Et voilà.
C'est bon.
L'affaire est faite.
Pour longtemps ?
Je ne le sais pas moi même.
En tout cas c'est arrivé rapidement
Silencieusement aussi voire, un peu trop silencieusement.
Ces choses là ne sont pas faites pour arrriver par surprise.
On les prépare, on les attends, avec impatience ou parfois résignence.
Vous ne savez pas pourquoi j'écris ça ?
Je ne le sais pas moi même.
Une envie subite en attendant.
En attendant d'aller me pieuter
D'aller essayer d'oublier pour pouvoir rêver.


Mercredi 29 mars 2006 à 14:43

Tu plonges, tu ne penses à rien tu plonges.
La tête haute, le dos droit, la musique dans les oreilles, des étoiles dans les yeux et la fugue des noms dans le coeur.
Attention une marche, surexcitée tu l'as saute et retombe 5 mètres plus loins ...
Du calme, respire, fait un petit ommmmmm peut être si tu en as besoin . Je ne sais pas moi mais tu ne dois pas avoir l'air énervée comme ça, c'est tout naturel, enfin cela devrait l'être.
Et puis MERDE cri, court, va y hurle un bon coup, je vois que tu n' attends que ça, et si ca n'est toujours pas passé tape dans un mur, tu vas encore te faire supra mal, (tant que tu n'es pas blessée c'est bon) en tout cas ça calme bien!!
Tu vas pas commencer à jurer parce que la douleur et grande non plus ? Alalala je te jure tu es incurable !
Maintenant tu arrête de faire des bêtises et tu reprends un rythme cardiaque normal. C'est à dire normal ?? Ben juste assez pour que l'on ne puisse plus entendre ton coeur battre à travers ton manteau !!



Dimanche 26 mars 2006 à 21:20

Je sais pas si cela peut intéresser quelqu'un mais je me sens mal.
Alors voilà je le dis parce que j'ai envie de le dire. Je ne suis plus sure de pouvoir compter sur les personnes auxquelles je faisais confiance, je deviens encore plus méfiante, acerbe et bêtement méchante que je pouvais l'être auparavant.
La raison de tout cela ? La peur, du moins je pense, la peur d'être déçue et/ou de déçevoir. La peur de  comprendre que je n'arrive pas à me tenir à ce que j'avais décidé. Le pire c'est que  ça marche par période, une montagne russe infernale, qui ne fait jamais d'arrêt. A la fin je pense pouvoir comparer ça à une roulette russe, à un moment je dépasserais le "stade de non retour" à voir si ce n'est déjà pas fait.
Alors c'est décidé point final. On verra si cette fois ci cela marche ou non. Par contre ce blog j'y tiens et je ne suis pas prête de le stopper, tant mieux si certains en sont heureux.
Et puis mes étoiles je ne les colle plus, imbécile ce rituel du doute. Je vais les garder pour tout faire en même temps.
Ce sera probablement plus réjouissant si à ce moment je serais capable encore de me réjouir de quelque chose.
Les gens bonne nuit.

                                                                                                                                                                    Mymy


Samedi 25 mars 2006 à 20:03


Il parait qu'un vrai amour ne peut jamais mourir
Qu'il est toujours là, visible, présent dans les regards
Il parait qu'un vrai amour ne peut jamais mourir
Que dirais tu alors si nous l'enterrions vivant ce soir ?

Dimanche 19 mars 2006 à 15:53


Faire semblant d'écouter.
Tout ça pour continuer à jouer.
Je vous le dis,
Nous vivons dans un monde de tarés.
Où le jeu consiste à se faire mal,
Où les regards sont des lames,
Et le gagnant celui qui arrive à ne plus aimer.



Samedi 18 mars 2006 à 23:00

On s'était promis beaucoup de choses
On voyait la vie ensemble, presque en rose
De temps en temps une petite voix nous soufflait que nous n'y arriverions pas
Si nous avions pu lui dire vraiment ; "raison tais toi !"
Mais nous étions confiants,
Trop beau pour être réduit au néant
Le néant aurait peut être été préférable
A ce gachis plus que regrettable
Pourquoi n'avons nous pas plus tôt rendu les armes
Tout simplement parce que nous ne pouvons rester de marbre
Ensemble séparément
Toujours, jamais en même temps








Texte de moi .................


                                                                                 Mymy qui ne l'était pas encore ........




Samedi 18 mars 2006 à 22:37

Oh l'enfoiré m'annoncer ça comme ça de but en blanc
J'sais même pas qui c'est cette foutue Christina cette pute en blanc...
Une infirmière nan mais j'te jure
Bah faut qu'on t'opère ça c'est sûr
Je verrais bien une ablation
Sans tes couilles tu sera ptête moins con...

Oh j'ai du rimmel plein les yeux
Et en plus y pleut...

Et merde chui en r'tard
Faut qu'j'les prévienne..bah oùest mon portable?...
Ah nan!...j'l'ai laissé au bar...
C'est bien ma veine il était sur la table...
A tous les coups on m'la piqué
Ou un mec saoul l'a embarqué
J'dois être au bureau dans 10 min
J'y s'rai pas à cause de cette pute..
Aïe ...mon talon a foutu l'camps...
Et'pleut à torrent...

Ya pas une cabine téléphonique dans ce putain de quartier de merde?!
Ah ben super l'bar est fermé
J'ai raté mon rendez-vous
Quoi?! qu'est-ce t'as toi?
T'as jamais vu une nana sans parapluie?!
Pourquoi tu m'regardes comme ça?
T'as rien d'autre à foutre cet après midi?...
"Excusez moi madame mais vous allez vous faire renverser
Montez sur le trottoire, c'est moins risqué..."
Mademoiselle! C'est mademoiselle!
Et puis d'abord de quoi j'me mêle?!
Nan mais c'est vrai ça hein? De quoi j'me mêle?!De quoi j'me mêle?!
Manquait plus qu'la grêle...

Pourquoi ces murs blancs?...
J'crois qu'j'peux plus bouger...
La douleur s'étend...
J'arrive à peine à respirer...
Qu'est-ce qui s'est passé? qu'est-ce que j'ai mal...
Qu'est-ce qi s'est passé? mon dieu j'ai mal...
"Bonjour mje m'appelle Christina, Je suis l'infirmière qui s'occupe de vous Madame, je vous apporte votre petit dej.."

Christina...Petit dej...
J'crois bien qu'il neige...



Magnifique chanson de Anais ...

Samedi 18 mars 2006 à 14:39



4 gouttes qui me tombent dessus
Qui inondent ma rue
D'un soleil de pluie
D'une vie de minuit
De la vie que je voudrais avoir

4 petit bouts de tout
De tout de rien
De lumière et d'ombre
De sauvetages et de sombres


 pix by madfet

Mardi 14 mars 2006 à 18:40

Je veux absolument vous faire partager MON  blog coup de coeur de ces derniers temps.
Un blog plein de poésie, aussi bien en prose,en vers, en images, ou en réflexions.
Gribouille-moi-un-nuage rien que le titre vous invite au voyage vers un autre monde.
Celui d'une miss qui par ses mots, doux, tendres, joyeux et parfois amers, ne peut que vous toucher.
Celui d'une mamz'ell qui ose être le plus important et c'est ce qu'il y a peut êtr de plus beau dans son blog :
elle même.

http://gribouille-moi-un-nuage.cowblog.fr/

                                    Voilà je suis fan, et j'espère (pour vous) que vous comprendrez pourquoi !!!
texte de gribouille-moi-un-nuage


Un déferlement de pluie. Voilà comment on aurait pu appeler le temps d'aujourd'hui. Des bribes d'orages. Le ciel pisse ou pleure ? Je me le demande bien. Toute façon j'ai rien d'autre à faire que de me poser des questions connes. Et puis finalement, si on y réfléchit bien, c'est pas si con. Après tout… Bon mais merde. J'ai pas envie de m'étendre sur le sujet, là ça m'énerve déjà voyez vous. Je suis assise sur un banc du XIème et je n'ai pas de parapluie. Tant pis. Ca fait du bien une bonne douche. Non mais en plus, rendez vous compte, je suis assise n'importe comment. On me regarde bizarrement. En face de moi, il y a une longue rue. On en voit pas le bout tellement elle s'étend. Ca fait deux bonnes minutes que j'observe une ombre noire qui s'approche tout doucement. Je miserais plutôt sur un homme. Grand, longue veste, chapeau melon. Parapluie. Et voilà un marmot qui saute dans une flaque juste devant moi. Et ben ! Comme si j'avais besoin de ça. Sale gosse va ! Ah ! Mon mystérieux inconnu s'approche. Pardon, me dit-il. Je me pousse un peu pour qu'il s'asseye. Il me regarde. Hésite. « … Vous ? » Il me montre son parapluie. Je hausse les épaules. « Si ça peut vous faire plaisir » et le voilà qui m'abrite sous son parapluie. Dieu, dieu, dieu. Et là. Vraiment. C'est fou. Je ne sais pas comment vous expliquer. Il me fait, comme ça, sans prévenir :
- Il pleut vraiment fort dites donc !
- Ah… vous avez remarqué…
- ...
- Vous sortez d'où pour dire des trucs pareils ?
- D'Avignon. 12 rue du Fléau.
- Je vois…
- …
- Je me demandais, à votre avis, le ciel, il pisse ou il pleure ?
- Je ne sais pas. Vous croyez qu'on peut pisser autant ?
- Non.
- Bon bah alors il pleure.
- Vous croyez qu'on peut pleurer autant ?
- Oui.
- Ah…
- …
- Euh… Vous faites quoi au juste là ? Assis sur ce banc ? A me tendre votre parapluie ? Vous attendez le bus ?
- Vous voyez un arrêt de bus, vous ?
- Non.
- …
- Bon mais alors ? Vous attendez qu'il arrête de pleuvoir ? Vous vous êtes dit ‘merde y a une délurée toute seule sous la pluie, qui doit mourir de froid, je vais aller lui tenir la main et quand il fera beau, elle aura plus besoin de moi.'
- Et vous ? Vous foutez quoi là ?
- J'attends que le temps passe. Parfois ça fait du bien. On a l'impression de se sentir mieux.
- …
- Dites, le ciel, vous croyez qu'il pleure pour moi ?
Et là, il se lève, je sais pas pourquoi. Il se tourne dos à la route.
- Tout ce que je sais c'est qu'en restant assise ici, vous allez l'attendre longtemps, le soleil. Mais si vous vous levez et que vous marchez. Vers n'importe quel endroit. Peut-être qu'y aura de la lumière quand vous arriverez. Mais là, vous faites rien. Vous subissez. Avancez merde ! Levez votre cul. Allez le chercher votre bonheur !
Et là. Pof ! Il part. Et comme une conne, j'me lève. Je reste là longtemps. Comme ça. J'comprends pas et en même temps tout est clair. Alors voilà. Je cours. Oui. Je cours. Je sais pas vers quoi.


Il m'a bouleversée je crois.



ET COMME ******************
JE SAIS TOUJOURS PAS METTRE DE LIEN L'ADRESSE EN GRAND AU DESSUS !!!!!!!!

Samedi 11 mars 2006 à 23:15


Une croix de plus
Et un jour de moins
J'attends ce bus
Et je regarde  au loin
Voyant ce que personne ne voit
Ce à quoi seule je crois
Continuant d'attendre
Un moment pour m'entendre
Je me reveille 10 minutes plus tard
Mon meilleur ami me sort du noir
Nous sommes arrivés
Ca fait vraiment du bien de rêver
Encore faut il réaliser





pour spero, maki et nem ^^

Vendredi 10 mars 2006 à 23:59

Le bracelet de bois noir
Qui me ramène sans cesse à toi
Perd ses perles d'ébène

C'est depuis le dernier soir
Où l'on s'est croisé je crois
En jetant un fin "je t'aime"
Qu'il expire sans espoir
Qu'il perd ses billes de bois
Qu'il ne rappelle plus que la peine.

C'est ce bracelet de bois noir
Qui me ramène sans cesse à toi
Qui va seul et se promène
Sur les veines de mon bras

Lui seul connaît ma peine
Et lorsque tu l'enfileras
Tu souffriras de tout l'ébène
Une ombre lourde et le Tracas

...

C'est un bracelet de bois noir
Qu'elle m'a donné un jour sans joie
C'était le jour du grand départ
Et depuis lors il reste froid

Vendredi 10 mars 2006 à 23:24

Il respire un grand coup
Fait tout ce qu'il peut pour ne pas prendre ses jambes à son coup
Elle, nerveuse
Fait un petit signe de croix c'est l'heure d'être pieuse
La rencontre,
C'est bien beau quand on nous la raconte
Mais dès lors qu'il faut la vivre
Les places ne sont plus prises
Un gigantesque moteur
A la place du coeur
Heureusement c'est pas comme ça tout les jours
D'ailleurs beaucoup l'attendent toujours
On l'imagine une, deux, trois fois
On s'en lasse pas
Dans sa tête elle la dessine
Tant qu'elle n'est pas parfaite elle s'obstine
Il n'y pense pas trop
Enfin c'est qu'il tente de croire
Encore un peu macho
Mais il reste un espoir
Pour cette pensée obsédante
Qu'il refoule dans la partie inconsciente


Vendredi 10 mars 2006 à 22:48

On t'avais dit
Pleure pas ma petite chérie
Elle sera belle ta vie
On te promettais déjà
Ce que tu ne voyais pas


Le temps a passé
L'eau sous les ponts depuis a coulée
Maintenant une jeune femme
Quelques bleus à l'âme
Mais incomparable

Que nos paroles nous séparent
Que nous ne croisions plus nos regards
Je serais toujours là pour toi

Je dois te dire merci
Pour toute ces fois où nous avons tant ris
Même lors de nos pleurs
Instants de bonheur
J'ai trouvé une soeur



Si on m'avais dit
Pleure pas ma petite chérie
Tu l'auras comme amie
Je me serais endormie
Confiante dans un futur
Que je comprenais pas c'est sur
Trop execptionnel
Pour être irréel




pour ma chère nemesia, ses 18 ans et juste parce qu'elle est comme elle est, et c'est formidable, un rayon de soleil dans ma vie.


Mymy

Vendredi 10 mars 2006 à 22:12


Mercredi 8 mars 2006 à 21:31

Je t'ai pas demandé une vie
Une petit morceau m'aurais suffit
Seche moi ces pleurs
Avant que je finisse par me faire bonne soeur
Degage  cet air de chien battu de ton visage
N'essaye pas de me faire croire que je suis quelqu'un de sage
Tu risques beaucoup à ce jeu là
Et ce n'est pas toi qui gagneras
Arrêtes de me faire ces yeux
Je ne suis pas insensible comme les dieux
Si tu continus ce mal d'amour
J'en finirais pour toujours



Samedi 4 mars 2006 à 22:21

Selon certains je ne sais pas écrire.
Je vous laisser juger par vous même avec ma rédaction du brevet blanc. Donnez vos avis svp, je vous dirais ma note ultérieurement...

Enelya était enfin arrivée à ses fins, plutôt à sa fin.
Devenir une étoile, combien de fois avait elle rêvé de cet instant magique ? L'imaginer dans ses moindres détails ? Au point de presque l'effleurer du bout des doigts ?
Alors qu'elle se préparait, elle se remémora le jour où tout avait commencé.
Ce souvenir était toujours aussi présent dans son esprit, en particulier ce soir.
Sa première sortie dans le "grand monde" avec ses parents, l'avant première du tout nouveau ballet russe.
La grace légère, quasi irréelle des danseuses de Moscou l'avait subjugé, la musique ce soir là, littéralement enchantée.
Ce ballet fut l'élément déclencheur de sa passion pour la danse classique, à douze ans.
Cela n'avait pas été facile, douze ans c'est tard pour commencer la danse,
- trop tard ! Vous rendez vous compte ?  De plus vous n'avez absolument pas le profil physique d'une ballerinne !
Et pourtant....
- Je ne suis peut être pas comme vous, je n'ai pas la voute du pied haute, certes, je n'ai pas la cheville particulièrement légère et alors ?
Cela viendra, à la force de ma sueur, de mes larmes aussi, de ma persévérance et de mon travail, mais cela viendra !
Je n'ai pas commencé la danse à cinq ans comme les autres me dites vous ? Cela me fait sept ans à rattrapper, je vous en offre le double ! Quatorze ans de ma vie à m'exercer, à modeler mon corps et mon espri.
Pas l'âge pour danser... d'accord mais il n'y a pas d'âge pour rêver, et je me fais un devoir de tout faire pour toujours réaliser mes rêves. Et je le ferais, avec ou sans vous.

Telle avait été sa réponse à la directrice de l'école de St Pétersbourg.
Celle ci, bien que, toujours sceptique l'accepta et n'eut pas à regretter sa décision.
Inlassablement et sans relache aucune [suite demain]

Samedi 4 mars 2006 à 21:44

You told me you don't love me
Over a cup of coffee
And I just have to look away
A million miles between us
Planets crash into dust
I just let it fade away
 
I'm walking empty streets
Hoping we might meet
I see your car parked on the road
The light on at your window
I know for sure that you're home
And I just have to pass on by
 
Chorus :
So no, of course, we can't be friends
Not while I'm still this obsessed
I guess I always knew the score
This is where our story ends
 
I smoke your brand of cigarettes
And pray that you might give me a call
I lie around on bed all day just staring at the walls
Hanging around bars at night wishing I had never been born
I give myself to anyone who wants to take me home
 
And no of course we can't be friends,
Not while I'm still so obsessed
I want to ask where I went wrong
But don't say anything at all.
 
You left behind some clothes
My pearly summer sores
And I pick them off the floor
My friends all say they're worried
I'm looking far too skinny
I stop returning all their calls
 
[Chorus]
 
It took a cup of coffee
To prove that you don't love me


Tu m'as dit que tu ne m'aimais pas   
    Devant une tasse de café   
    Je ne peux rien faire d'autre que de regarder ailleurs   
    Un million de miles entre nous   
    Des planètes qui tombent en miettes (1)   
    Et je ne peux rien faire d'autre que de les laisser se fâner   
        
    Je marche dans des rues désertes   
    Esperant que nous nous croisions   
    Je vois ta voiture garée le long de la route   
    La lumière allumée à ta fenêtre   
    Je suis certaine que tu es à la maison   
    Et je ne peux rien faire d'autre que de passer devant   
        
    Refrain :   
    Donc non, bien sûr, nous ne pouvons être amis   
    Pas temps que je reste cette accroc   
    J'imagine que j'ai toujours connu le score   
    C'est là que se termine notre histoire   
        
    Je fume ta marque de cigarettes   
    Et prie pour que tu m'appelles   
    Je m'allonge sur le lit et fixe les murs à longueur de journée   
    Traînant dans les bars la nuit souhaitant ne jamais avoir vu le jour   
    Je me donne à n'importe qui, qui voudrait me rammener à la maison   
        
    Et non, bien sûr que nous ne pouvons pas être amis   
    Pas temps que je reste autant accroc   
    J'aimerai te demander ce que j'ai fait de mal   
    Mais ne me dis rien   
        
    Tu as laissé des vêtements   
    Mes blessures nacrées d'été   
    Et je les ramasse du sol   
    Mes amis disent tous qu'ils sont inquiets   
    Je semble bien trop maigre   
    J'ai arrêté de répondre à leurs appels   
        
    [Refrain]   
        
    Ca a pris une tasse de café   
    Pour prouver que tu ne m'aimes pas                 



(1) tombant en miettes ou en poussières. . au choix


Je suis vraiment tombée amoureuse de garbage et de leurs textes ...

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