Cinq phrases. Cinq.
Et un doliprane.
Même pas.
Et un doliprane.
Même pas.
C'est pire. Avoir été prise pour une conne. En avoir souffert. Et en avoir fait souffrir. J'aurais pas du. Mais c'est pas pour ça que je m'arrête.
Lundi 10 mars 2008 à 16:34
Commentaires
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Quoi que ce soit, ce dont tu parles, et surtout si c'est quelque chose d'essentiel (l'amour, l'amitié, un rêve un peu absolu), ne t'arrête pas en route et ne te laisse pas abattre. Quitte à t'en blesser un peu, à partir dans le décor de temps en temps ; c'est pas grave, ça, quand on poursuit quelque chose qui tient à coeur.