Dimanche 23 janvier 2011 à 2:12
Ou te faire rire. Au moins.
Vendredi 21 janvier 2011 à 3:17
Au moins ça évacue les risques.
Vendredi 21 janvier 2011 à 3:09
Pourquoi tu ne veux pas partir ? C'est la plus grande expérience d'une vie, c'est plus intense, tout est plus fort, les joies comme les peines... Le problème c'est qu'ils n'ont pas compris que je l'ai déjà vécue. Je suis déjà partir. Trop souvent, trop loin, trop longtemps. Je n'ai jamais réussi à revenir pour de bon. Aujourd'hui n'est pas très différent d'hier ; je réitère. Je souris plus grand, je pleure plus loin. Oh, tout ce que je peux comprendre. Ca n'est pas tant le départ qui pose problème, c'est l'absence de retour. Pour tous. Je me perds et ne te retrouve pas.
On ne peut plus demander à une fille amoureuse de s'en aller, encore.
Ma chanson par contre, elle, elle part en lattes.
Jeudi 30 décembre 2010 à 0:44
Jeudi 30 décembre 2010 à 0:27
Lundi 6 décembre 2010 à 23:51
J'ouvre des milliers de portes pour fuir les deux que je n'ai jamais réussi à fermer. Elle est tellement loin cette vie où je rêvais de nuits lilloises.
Mardi 30 novembre 2010 à 12:39
Dimanche 21 novembre 2010 à 14:14
Samedi 20 novembre 2010 à 0:36
De l'un à l'autre, les séquelles seront-elles aussi importantes ?
Dimanche 17 octobre 2010 à 2:17
Mercredi 6 octobre 2010 à 16:45
"Entre amants il n'y a que des coups et des caresses."
Octobre, Ô Rage.
Jeudi 30 septembre 2010 à 12:17
Je n'ai pas le vertige.
Mais toi tu me le donnes.
Jeudi 30 septembre 2010 à 12:14
Jeudi 30 septembre 2010 à 12:12
Finalement reprendre, et assumer tout ce qui pourrait avoir été écrit.
Jeudi 30 septembre 2010 à 12:08
Jeudi 30 septembre 2010 à 12:04
Lundi 27 septembre 2010 à 23:52
Vendredi 24 septembre 2010 à 17:13
"Comment une fille aussi bien foutue peut se mettre dans des situations pareilles."
"Ouais, la vie est tellement plus simple pour les moches."
Samedi 4 septembre 2010 à 23:16
Je veux bien partager toutes tes nuits, toutes tes angoisses, tous tes rêves et même tes cauchemars. Tous les silences qui habitent en toi. Juste, parfois, j’aimerais te faire partager tout de mes frissons. Les cris retenus qui font que tout m’échappe.
Incidemment. J'écris et décrie sur la voix d'un autre. Il n'est pas moins douloureux de combattre un fantôme, plus lâche, c'est tout.
Je ne sais pas à quand remonte ton dernier écrit, ni ce que tu as bien pu y mettre. Etrangement ça ne me bouleverse pas. Maintenant que j’ai réalisé, j’apprends à vivre sans vous, et sans ton singulier, même si vous étiez nombreux.
Aucune envie de lui sourire. Cela explique peut-être mon état. Après tout, c'était ma meilleure excuse.Septembre Soupire de Soulagement. Et moi je souffle des mots que je trace sur mon jean.
Samedi 4 septembre 2010 à 23:03
Finalement je me dis qu’il a peut-être de la chance, malgré tout. Parce que s’il ne fait pas mon bonheur il est assuré que je ne le laisserai pas sombrer. C’est bien simple et je devrais l’avoir compris : c’est à la place du passager que l’on prend tous les coups.