C'est étrange... J'étais venue à Paris pour te voir réussir, de loin, et essayer de te rejoindre, comme par hasard, sur des sommets trop hauts pour moi. Je voulais porter ta chemise et me trouver dans un monde qui suivrait ton chemin. Et puis, tu sais, je l'ai oubliée ta chemise. Je te vois chuter. Glisser d'abord, mais les pierres qui roulent sous tes pieds ne mentent pas. Bientôt tu te casseras la gueule, en bonne et due forme. Peut-être alors cesseras tu de te préoccuper du souvenir que tu laisses à toutes ces filles, de ces moments d'ivresse innocente, perdus à tout jamais. Je grimpe, je monte, je vole presque, dans les vêtements d'un ou d'autres. La question que tu dois me poser n'est pas celle du souvenir, celle de la volonté plutôt. Est-ce que les gens se retrouvent dans le métro ?
Tu perds le piano, certes, mais le plus important c'est de se souvenir.
Partition à quatre mains.
Dimanche 4 octobre 2009 à 22:27
Commentaires
Par Distantwaves le Jeudi 8 octobre 2009 à 23:46
Ca me parle assez étonnement.
Par Vendredi 9 octobre 2009 à 7:00
le NB : cuando volveras.
Par Vendredi 9 octobre 2009 à 10:33
le Archive, on s'y retrouvera peut être, alors.. Je serais là quatre ou cinq heures avant le début du concert.
Par Dimanche 20 octobre 2024 à 1:50
le Without a sure, a true thinking writer wrote this piece. I concur with many of the writer's well-made comments. I will return every day with further updates.
Par Dimanche 3 novembre 2024 à 23:11
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