Honnêtement tu avais une sale tête. Je t'ai vu à travers la vitre de mon bus et j'ai eu envie de descendre, de te prendre la main et de t'emmener dans un coin plus tranquille, de te serrer dans mes bras et de te demander à voix basse de m'expliquer le pourquoi du comment. Bien sûr je ne l'ai pas fait ; cela aurait été trop suspect. Mais j'en ai marre de cette situation, marre de t'effleurer parfois la main, quand on a la chance de pouvoir se dire bonjour, devant les autres, pas souvent la bise d'ailleurs. Même pas. Et puis on se débrouille pour se retrouver dans un couloirs, j'ai toujours ton emploi du temps dans mon agenda tu sais, comme tu as le mien je ne sais pas où. Tu n'étais pas là et c'est une inquiétude sourde qui a planée sur ma journée. Ce soir je ne t'ai pas envoyé de sms. Parce que depuis mon retour il n'y a rien. Et ça va donc bientôt faire un mois.
Jeudi 13 décembre 2007 à 21:37
Commentaires
Par Vendredi 14 décembre 2007 à 14:01
le Situation délicate ..
bisous mymy <3
bisous mymy <3
Par Mardi 18 décembre 2007 à 14:26
le Cet article est fictif.
Ou vieux... Je n'en dirai pas plus.
Ou vieux... Je n'en dirai pas plus.
Par Mercredi 26 décembre 2007 à 12:25
le Si ça c'est pas une preuve... Tout le monde a deviné, tu sais, ça ne sert à rien de vous cacher toi et ....Thomas. Voilà, c'est dit. Arrête de jouer Margaux. Et c'est ridicule votre histoire d'emploi du temps. Alors tu serais triste parce qu'il n'est pas venu? Rien que le fait qu'il soit venu une fois est énorme. Depuis ton retour il n'y a rien? Normal...
Vous faîtes pitier avec vos histoires de gamins.
Vous faîtes pitier avec vos histoires de gamins.
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c'est agréable à lire
Je crois connaitre ce genre de situation
ou avoir connu plutot.