Nuit-ordinateur-passé-cendriers-tellement-vole-enfants-visage-bine-seconde-année-plusieurs-Paris
Ca fait mal de voir les gens partir. Ces gens qui nous avaient promis de ne jamais fuir. J'ai du mal à croire encore aux promesses. L'expérience je suppose. On se retrouve perdu et sans repères et il ne reste plus qu'à attendre. Que cela finisse. Que le rideau tombe ou que le "the end" apparaisse dans un coin de l'écran. Tout en noir et blanc. Ce n'est pas une question d'esthétique, c'est pire, c'est une histoire, une authenticité.