Samedi 12 février 2011 à 14:03

Tell me now The One that you are.

Vendredi 11 février 2011 à 18:49

Sometimes your voice is not enough

Samedi 4 septembre 2010 à 23:03

Finalement je me dis qu’il  a peut-être de la chance, malgré tout. Parce que s’il ne fait pas mon bonheur il est assuré que je ne le laisserai pas sombrer. C’est bien simple et je devrais l’avoir compris : c’est à la place du passager que l’on prend tous les coups.

Vendredi 2 avril 2010 à 15:26

Helsinki.
 

Amie, voilà, je reviens t'écrire. De nôtre nouvelle adresse, du Nord d'Helsinki. Les yeux d'Anna réchauffent chacune de mes nuits. Tu sais que c'est pour elle que j'étais parti. Son amour est pur comme le ciel d'Helsinki. Et je l'aime comme on aime l'amour de sa vie. 
Ami, c'est bon de te lire, crois-moi. Car depuis ton départ il fait toujours plus froid. Comme si le vent d'Helsinki soufflait jusqu'ici bas. Dans mes rues de Paris ne résonnent plus tes pas. Oserai-je un jour t'avouer, que j'en veux à Anna... D'avoir su te garder ?
Amie, toi seule comprendra ce qui suit. Que c'est loin de Paris, j'ai égaré ma vie. Tu me manques, tu me manques, je n'ai rien appris. Et je crève d'ennui dans les rues d'Helsinki. Anna m'aime d'un coeur que je ne mérite pas. Car je ne suis qu'un lâche, pour m'enfuir je suis le roi.
Ami, c'est troublant de lire ces mots là. Car depuis ton départ j'ai cru mourir de froid, comme si le vent d'Helsinki soufflait jusqu'ici bas. Dans mes rues de paris ne résonnent plus tes pas. Oserai-je un jour t'avouer que j'en veux à Anna, d'avoir elle, su t'aimer ?
Mes démons jusqu'ici m'ont suivi à la trace. Bien plus que le froid c'est la peur qui me glace. Bientôt un matin j'embrasserai Anna et la regarderai dormir pour la dernière fois avec l'ombre de celui que je ne suis pas, car je rentre à Paris, car je rentre chez moi.

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/IMG5260-copie-1.jpg

Samedi 14 novembre 2009 à 1:15

Tu fumes. Ca n'est pas bien. Tu t'es demandé toi peut-être si c'était bien, ou mal, avant de me laisser en plan. Retrouver le goût de la cigarette de la ruelle. La cigarette  du matin quand la nuit fut froide et silencieuse. La cigarette de ces aubes où j'avais, ai encore besoin d'Ailes. Dites les filles, on retourne à la ruelle ? Pour voir si les mots sont les mêmes. Si nos coeurs ont gardé les mêmes rythmes. Il manquera toujours à ma vie. Un fini indéfini. Être partout et nulle part à la fois. Il n'est pas ici une personne mais un tout. De la musique déjà. Explosions in the Sky. Ce groupe a été créé pour ces instants brumeux. Pour ces lumières matinales. Pour ces nuits nostalgiques où le rouge de la cigarette et le blanc de l'écran ne savent pas remplacer la lumière de là-bas, le bleu ou le gris, le blanc de l'hiver, derrière la tour.

Magic Hours.

Lundi 12 octobre 2009 à 18:11

But now he lives inside someone he does not recognize
When he catches his reflection on accident

Lundi 1er juin 2009 à 20:45

Merci à mon ex prof d'éco pour cette découverte...


Vendredi 1er mai 2009 à 19:31

Oh Ciel ! Allez vite m'écouter ce son, venant d'une illustre inconnue dotée d'une voix magnifique ! D'une illustre inconnue pas si inconnue que ça d'ailleurs...

Samedi 14 mars 2009 à 20:09

Vous avez des tendances dépressives. Vous lisez mon blog. Déjà vous êtes maso. Mais dernièrement vous aviez trouvé que j'abusais sérieusement en mettant ce live de U2. Il y a quelques mois vous trouviez que j'étais une vraie salope mais que vous m'adoriez quand je vous avais fait découvrir le clip de What Sarah Said des Death Cab For Cutie. Aujourd'hui, et une nouvelle fois grâce à Julie, dégustez :



Le live, parce que j'ai pas tellement le choix et que c'est bien, aussi. Mais regardez le clip au moins une fois. Si, si.

On dit merci tata Juliiiiiie.
 
 

Mardi 10 mars 2009 à 0:01

Quand j'aurai du temps, éventuellement une vie sociale et citadine.

VOUS PARLER DE JULIEN BAER.

En attendant, Google mes amis, Google.

Mardi 3 mars 2009 à 15:19

  Il est marrant n’empêche, Brel. Parce que l’on peut la raconter souvent l’histoire des amants qui ont vu deux fois leur cœur s’embraser. Mais quand l’autre est l’un de ceux-là et que vous n’êtes justement pas l’Autre en question. Ca devient beaucoup plus compliqué. Alors bon. Cette chanson est terrible car on ne peut pas en connaître l’issue. « Et quand vient le soir, pour qu’un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? » c’est encore cette phrase que je préfère.

 

[Don’t worry baby, ce texte est un vieux texte, dont je me suis souvenue grâce à l’article précédent.]

Dimanche 15 février 2009 à 18:00

http://lagrandemymy.cowblog.fr/images/Cocoonrouge.jpg

Ils reviennent dans la région. Au Main Square auquel je voulais absolument assister. La veille du concours. ZEN.

Samedi 31 janvier 2009 à 22:33

Il y avait eu cette larme, qui était arrivée sur sa joue sans qu'elle sache vraiment comment. Le froid ? Le vent ? Le soleil ? La fatigue ? La nostalgie ? La solitude ? La colère ? Vous pouvez rayer les mentions inutiles si ça vous fait plaisir. Elle, elle n'en sait rien.


Vendredi 23 janvier 2009 à 20:01

Je me souviens qu'Elle m'avait fait rire concernant la personne qui sur une photo à deux regarde toujours l'objectif alors que l'autre la regarde elle. Du coup on avait refait une photo. Mais aujourd'hui il n'y a aucune photo à refaire. Ce sont deux "amis" sur cette photo. Elle a les yeux rivés sur l'objectif. De manière presque sournoise. C'est moche et quasi désespérant comme photo. D'autant plus que si j'étais à sa place... Sauf qu'avec des si on mettrait Paris en bouteille. Mais il ne faut pas le dire. Parce qu'on est pas amié de la même manière. Pour reprendre ce verbe à garder car étant très vrai.

Et là pour le coup ça mérite bien What Sarah Said, encore une fois.


 

Mardi 13 janvier 2009 à 23:26

Ne garder d'eux que le meilleur. Leur classe, leur humour, leurs idées, leurs rêves leurs cigarettes, leurs instruments, leurs mots, leurs odeurs, leurs attentions, leurs regards.
Passer outre leurs coups bas, leurs lâchetés, leurs faux-mensonges, mais ne pas oublier.

F.J.R.T.Q.

Peut-être qu'elle est là la solution : ne pas se rattacher au passé. Facile à dire.



Mardi 30 décembre 2008 à 22:20

Elle  adoucit les moeurs, ou pas.

You look so fine

I want to break your heart
And give you mine
You're taking me over

It's so insane
You've got me tethered and chained
I hear your name
And I'm falling over

I'm not like all the other girls
I can't take it like the other girls
I won't share it like the other girls
That you used to know

You look so fine

Knocked down
Cried out
Been down just to find out
I'm through
Bleeding for you

I'm open wide
I want to take you home
We'll waste some time
You're the only one for me

You look so fine
I'm like the desert tonight
Leave her behind
If you want to show me

I'm not like all the other girls
I won't take it like the other girls
I won't fake it like the other girls
That you used to know

You're taking me over
Over and over
I'm falling over
Over and over

You're taking me over
Drown in me one more time
Hide inside me tonight
Do what you want to do
Just pretend happy end
Let me know let it show

Ending with letting go [3x]

Let's pretend, happy end [4x]



J'ai envie de chanter du Garbage. Pas de mal ? Par contre vouloir mettre en application ça c'est problématique. Enfin, je crois.

Mardi 23 décembre 2008 à 21:32

Je suis totalement dépendante. Ne me secourez surtout pas.
Ecrire. Chanter. Torturer la guitare.



Dimanche 14 décembre 2008 à 19:18

En ce moment je suis plus Garbage que chants de Noël. En même temps, c'est légèrement plus dynamique. Bon. Il me reste un sapin à décorer, des fiches de maths à faire, et un DS d'espagnol à réviser. Autant dire que je ne vais rien foutre. Demain lundi. J'aurais bien fait un cadeau de Noël avec un peu d'avance. M'enfin. Au soir c'est théâtre et code. Donc je reviens tard. Et mardi c'est interro de maths. Autant dire que je ne vais encore une fois pas être beaucoup là. Même si je poste beaucoup selon certains j'ai l'impression d'être absente. Je déteste ça.

Le titre parce que ça faisait longtemps. Et qu'il faut que j'arrête de changer de pseudo msn toutes les cinq minutes.

 

Lundi 8 décembre 2008 à 20:49

S'éclater au théâtre. Chanter. Avoir un rhume. Être fatiguée et le mascara qui coule sous les yeux. S'être levée à 5h30 mais ça valait le coup pour la tête de la prof d'espagnol. Corriger les fautes d'anglais. S'éclater au théâtre. Monologues. Scènes. Ce sont bien des pluriels.  Attendre dans le froid. Avoir envie de te vivre. Tellement.


Lundi 24 novembre 2008 à 21:08

Avec ceci un live de Martijn qui est quand même l'un de ceux que je préfère écouter.
Une nouvelle tournée des Scala.
Les ogres de Barback, Debout Sur Le Zinc et la Rue Ketanou au lycée.
Cessez d'en jeter !



<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast