Il est marrant n’empêche, Brel. Parce que l’on peut la raconter souvent l’histoire des amants qui ont vu deux fois leur cœur s’embraser. Mais quand l’autre est l’un de ceux-là et que vous n’êtes justement pas l’Autre en question. Ca devient beaucoup plus compliqué. Alors bon. Cette chanson est terrible car on ne peut pas en connaître l’issue. « Et quand vient le soir, pour qu’un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? » c’est encore cette phrase que je préfère.
[Don’t worry baby, ce texte est un vieux texte, dont je me suis souvenue grâce à l’article précédent.]
Comment tu vas depuis le temps ?