Mardi 2 octobre 2007 à 14:32

Tu étais obligé de partir ? Je ne pense pas.
Trente secondes. Il aurait fallu attendre trente secondes. C'est pas grand-chose trente secondes, le temps de presque rien. Mais voilà, c'est le « presque » qui est ici important, parce que ce presque rien là aurait fait beaucoup pour moi. Comme quoi
En même temps je crois que j'ai aussi un peu merdé, j'ai hésité, pire, peut-être que j'ai carrément  ralenti. La prochaine fois on les aura nos trente secondes.
Tu ne seras pas en retard, puisque, de toutes façons, j'aurais trente et une secondes d'avance.

 

Par fleurs.des.champs le Mardi 2 octobre 2007 à 19:41
défois il manque un rien et la pour toi 30 seconde peut-être c'est le hasard ou qui sais il te fallais peut-être atendre un peux avant de les prendre ces secondes ...
bisous <3
Par roman-qui-n-existait-pas le Mercredi 3 octobre 2007 à 13:31
Il y a des fois où on aimerait offrir du courage. Mais je ne sais pas sous quelle forme te l'offrir, vu que je n'ai aucune perspective de ce qui se passe dans ta vie, filtrée par tes métaphores et ta censure. Alors bon, quoi dire, passe le cap, mais c'est laid sans savoir ce qui se passe. Encore moins quand, dans ma bouche, je sais que je ne pourrai pas offrir les vrais mots qui calment.
 

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