Ce que je trouve chiant, horrible, marquant, fantastique, je
n'en sais rien, c'est que je me dis que je pourrai faire la même chose qu'elle,
en rajouter encore une couche et que cela ne ferait rien.
C'est désespérant en fait.
Je l'admire de pouvoir mettre des pluriels si aisément, parce que c'est oser le
reconnaître.
D'ailleurs ce n'est malheureusement pas par pure considération pour les
personnes citées
que je ne mets pas de prénoms ici. C'est par peur. Peur de dire la vérité, et
peur de la voir se retourner contre moi.
Après, il me faut assumer ma peur, et ça je l'accepte parce que je le mérite.
Parce que c'est inévitable. Il faut me résoudre au doute et à
l'incertitude, à ne pas respecter cette règle que je fais pourtant
première dans ma vie : l'assurance.
Après tout, qui vivra verra.