Et ces chansons de Cabrel quand je t'avais dans la peau
Cette mille et unième rituelle que j'écrivais dans ton dos
Lorsqu' enfin passait le soir, quand nos histoires se couchaient tard
Je pouvais voir que ton monde n'était pas aussi noir
Que ton monde n'était pas aussi beau
Les envies d'ailleurs, des foudres qui n'avaient pas d'heure
Commun peu mortel de deux anges ayant perdu leurs ailes
Se souvenant avec faiblesse d'un passé fait de promesses
Pauvres fous créateurs dont les œuvres n'avaient plus de valeurs
Au milieu des autres, tombés d'une chaise comme d'un ciel
Cette mille et unième rituelle que j'écrivais dans ton dos
Lorsqu' enfin passait le soir, quand nos histoires se couchaient tard
Je pouvais voir que ton monde n'était pas aussi noir
Que ton monde n'était pas aussi beau
Les envies d'ailleurs, des foudres qui n'avaient pas d'heure
Commun peu mortel de deux anges ayant perdu leurs ailes
Se souvenant avec faiblesse d'un passé fait de promesses
Pauvres fous créateurs dont les œuvres n'avaient plus de valeurs
Au milieu des autres, tombés d'une chaise comme d'un ciel