Tu restes statique et tu meures. Tu bouges et et tu meures. Tu attends et tu souffres.
Vas-y pour trouver une échappatoire. Ou un. Je crois que les deux sont possibles. Et après tout qu'est ce qu'on s'en fout.
C'est un verre d'alcool enfilé à la va vite dans un bar pas très reluisant. Ce sont des paquets de cigarettes entiers enfilés en quelques heures devant un écran d'ordinateur trop lumineux.
Le jeu est toujours là, malsain et posté en embuscade. Les cernes se font de plus en plus marquées, et les traits restent tirés.
Depuis quelques jours le brouillard a tué les derniers espoirs en s'installant d'une manière qui semble définitive. Mais elle ne l'est pas. Bien sûr qu'elle ne l'est pas, l'espoir ne serait pas désespérant s'il n'en subsistait pas une infime parcelle. On le sait, le reconnaître c'est autre chose.
Seigneur, comment faire pour se tier de là ?
T'es plus là, de toutes manières. Alors. Rien à dire. Rien à foutre.
Jeudi 11 octobre 2007 à 22:02
Commentaires
Par Vendredi 12 octobre 2007 à 20:57
le Tu sais, si tu veux parler de quoi que ce soit, encore une fois, je suis là. Même si on ne se connait pas plus que ça, ça peut faire du bien justement : parler a quelqu'un qu'on ne connait pas.
Ce brouillard, il se dissipera, et tu verra de belles choses apparaitre alors : j'en suis certaine.
Je t'embrasse
Ce brouillard, il se dissipera, et tu verra de belles choses apparaitre alors : j'en suis certaine.
Je t'embrasse
Par Vendredi 12 octobre 2007 à 21:51
le Ben voilà. Une fois de plus, c'est dit. Et ça fait du bien de le dire. Alors, ne t'en prive pas.
(C'est une, et seulement une...)
(C'est une, et seulement une...)
Par Samedi 13 octobre 2007 à 9:28
le Et voila, pendant deux jours je n'ai pas le temps de passer et quand je reviens je vois 6 article qui m'attendent bien sagement.
Et quels articles...
Etrange mais celui ci et celui d'avant ils me touchent encore plus que les autres habituellement.
Ils sont cours mais intenses, tristes mais beaux.
Si tu veux je peux te faxer une bonne tonne de soleil pour dissiper ton brouillard, chez moi fais super beau...
Et quels articles...
Etrange mais celui ci et celui d'avant ils me touchent encore plus que les autres habituellement.
Ils sont cours mais intenses, tristes mais beaux.
Si tu veux je peux te faxer une bonne tonne de soleil pour dissiper ton brouillard, chez moi fais super beau...
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Tu as bien raison on souffre quoi qu'on fasse mais il ne faut pas baisser les bras il faut toujours tenter quelque chose.
Tu sais ce soir je souris et je me sens bien ça me fais tout drôle. =)
Bisous mymy