Samedi 6 janvier 2007 à 18:56



Je devais lui rendre hommage. A cette petite qui se croyait grande. Qui pensait pouvoir résoudre ses problèmes ou faire avec. Elle était jolie n'est ce pas ? On lui disait. Maintenant elle peut inspirer le dégoût des uns ou des autres, et on vient encore lui dire ensuite que l'honnêteté est toujours récompensée.. Laissez la s'étouffer. Dire la vérité, elle l'a fait, à deux reprises, ses deux plus belles erreurs. Alors je lui rends hommage. Parce que juste quand elle n'y croyait plus, elle a recommencé. A zéro, ou encore en dessous. Elle hésite encore. Idem pour moi.



Lundi 1er janvier 2007 à 16:59


Bien sur vous ne pourriez comprendre
Ce que cette âme était pour moi
Un parterre de fleurs d'oranges
Allongé la tout contre moi
Ce fut par une nuit blanche
Passant par là, passant par là
Je pleurais sans me faire entendre
Pour quelque amour d'autrefois

Si le bonheur vous laisse en berne
Il peut venir du coin d'un bois
Et prendre du destin les rênes
Ecoutez moi, écoutez moi
Moi j'voudrais juste qu'on m'apprivoise
Qu'on m'apprivoise,
Moi j'voudrais juste qu'on m'apprivoise
Qu'on m'apprivoise,
Sans me juger, sans me blesser
Sans me chasser, sans me garder...

Je la vis comme on lit un poème
Elle se coucha non loin de moi
Plus de larmes, plus de rengaines
Elle était là , elle me fit roi
Dès lors chaque jour, chaque heure
A petits pas, à petits pas
Elle vint faire oublier les haines
Et le chagrin, le désarroi


REFRAIN

Je la pris un jour dans mes bras
Ses petits yeux posés sur moi
Firent d'elle la plus belle
Tu m'apprivoises, me voilà
Mais comme le vent se lève
Un jour de-ci, un jour de-là
Des heures d'attentes vaines
Me firent craindre le trépas

REFRAIN


Bien sur vous pourriez comprendre
Si mon bonheur pas à pas
Vous frôlait le corps et le coeur
Cette petite âme si chère à moi

Si le bonheur vous laisse en berne
Il peut venir du coin d'un bois
Et prendre du destin les rênes
Ecoutez-moi, écoutez-moi


<3



Vendredi 8 décembre 2006 à 21:42








Parce que c'est une chanson qui veut dire beaucoup de choses pour moi .
Et que j'aime la chanter . Donc :


Pride can stand a thousand trials
The strong will never fall
But watching stars without you
My soul cries

Heaving heart is full of pain
Oooh, oooh, the aching
'Cause I'm kissing you, oooh
I'm kissing you, oooh

Touch me deep, pure and true
Give to me forever
'Cause I'm kissing you, oooh
I'm kissing you, oooh

Where are you now
Where are you now
'Cause I'm kissing you
I'm kissing you, oooh


Samedi 2 décembre 2006 à 23:51




Aux amours perdus
Que l'on cherche en vain
Aux coeurs trop déçus
Qui pensent ne plus voir rien

Elle se demande si
Elle ne doit pas laisser une chance
De s'installer de son côté
Et lui faire oublier le mot romance
Marre des "il n'est jamais trop tard"
De ces fins qu'on ne voit que dans les histoires

En vrai c'est dur, c'est froid et ça fait mal
On ne se prépare pas à un monde trop pâle
On vend du rêve au rabais
Promos sur les stocks d'imaginaire
Des âmes qui se taisent et se terrent

Elle a ramassé  les morceaux
Des brisés de tristesse
Des lambeaux de tendresse
A s'en faire des manteaux

Chaque jour elle voudrait changer de nature
Exposer sur son visage les blessures
Que fait l'amour quand il est dans l'air
Ces instants où elle attend de pouvoir changer de bannière


Samedi 2 décembre 2006 à 21:12



Les mots trop faciles à retenir

Quand les souffles se fanent en soupir
Et qu'il ne reste qu'une entaille
Pour se rappeler à sa propre âme
On a bâti des édifices
On a battu des records
Mais à quoi bon les sacrifices
Pour qu'au final vienne la mort ?

On commande les hommes au prix
De ce qu'ils ne connaissent pas
De ce qu'ils n'auront jamais dans les bras
Les rêves de vastes conneries

Les mots trop faciles à retenir
Le coeur se mut en souvenirs
L'émotion se transforme en mirage
Résignée devient même la rage
Pourtant il reste dans un coin
Ces mots de pas assez loin


Ce n'est pas ce que je veux garder.
Je veux avoir envie de te faire exister.
Dessiner tes traits tous les jours de ton ignorance
Endormir le mensonge de ton existence
T'arracher, te faire mal
Pour savoir que tu vis en dehors d'anormal


[...]

Vendredi 1er décembre 2006 à 20:48

J'ai pas eu le temps de la travailler parce que mon frère est.. un...  "Trop grossier et radical pour être dit ici."


Lève les voiles
Enchaîne toi ailleurs
Poursuit ton idéal
D'un monde de valeurs

Raccroche à tes yeux
Le brillant de tes envies
Comble les affres de l'oubli
Ne cherche plus un Dieu
Qui te fera vivre mieux

Tu ne demandes à personne
De vivre pour toi
Alors arrête d'attendre que tout fonctionne
Fait naître un nouveau roi


Je dis merde à ma famille !



Jeudi 30 novembre 2006 à 21:27



C'était il y a deux ans.. je crois bien avoir déjà fait pleurer une prof.


Ils sont là face à face,
Ecrasées de chagrin
La nouvelle est tombée
Comme une guillotine,
Un coup de téléphone
Brutal et anonyme
Et dans leur vie soudain
Le bonheur agonise

C'est un soir, un matin
L'automnée ou le printemps,
Ils ne savent plus rien,
Si ce n'est la blessure
Ecrite à l'intérieur
Comme une déchirure
En plein milieu du coeur
En plein coeur de l'azur

Ils murmurent sans fin
Que ce n'est pas possible,
C'est un cauchemar qui va finir,
Ils murmurent sans fin
Que ce n'est pas possible
Un enfant ne doit pas mourir.

Lui, qui connaît par coeur
Les mots pour consoler
N'en trouve plus un seul
A pleurer ou à dire
La douleur le rend muet
Quand il voudrait rugir
Et l'avenir lui semble
Un bateau qui chavire.

Elle voudrait d'un seul coup
Revenir en arrière,
Abriter à nouveau
L'enfant qui s'est brisé,
Lui redonner le jour
Et le désir de naître,
Défier le présent
Et tout recommencer.

Ils murmurent sans fin
Que ce n'est pas possible,
C'est un cauchemar qui va finir,
Ils murmurent sans fin
Que ce n'est pas possible
Un enfant ne doit pas mourir.

C'est toujours pour lui.. texte et musique de Mannick.
Je veux pas décorer.

Et ma mère me fait chier. Disons le clairement.

Mardi 28 novembre 2006 à 23:13



J'ai chopé un virus. Un pur. Dont je ne veux pas me séparer. Je vous laisse admirer les symptomes les plus visibles :






J'ai enregistré la chanson par la ruse.. mon fond d'écran qu'on ne voit pas là, est devenu une illustration de Saint Exupéry, tout comme mon image perso msn, les références pleuvent (pluies d'étoiles... : /) dans mes pseudos et mes signatures... Quant à mon écoute Itunes c'est en boucle depuis hier. Tout ça.. parce que, une petite étoile. Une découverte. Un jeune homme avec beaucoup de talent. Et une voix.. qui me donne envie d'écrire des chansons. Et des belles. Pour lui ? Ce serait beau. Mais je ne serai jamais à la hauteur. Et puis voilà. Je suis sans voix. Pourtant j'aimerai chanter cette chanson... (On clique sur le nom, ou sur l'image, je vous laisse encore le choix.)


Dimanche 26 novembre 2006 à 1:41



 Elodie Frégé

Non pas sur la bouche
Même si c'est louche
Puisque ma langue
A le goût de ta vertu
De tout mon air perdu
Non pas sur les lèvres
Même si j'en rêve
Même si je tremble
Et bien que mon coeur soit nu
Mon âme est revêtue
De pudeur et d'impudence
Sans te faire offense
Mieux vaut pas tenter sa chance
Rien ne dure
Au dessus de la ceinture
Non, pas sur la bouche
Même sous la douche
Même si c'est dur
Je te mordrai
C'est promis
Tous les coups sont permis
Non, pas sur les lèvres
Même pas en rêve
A sang pour sûr
Ou tu mangeras ton pain gris
Mon coeur est endurçi
Ne tire pas sur l'ambulance
Garde la potence?
Plus rien n'a plus d'importance
Rien ne dure
Au dessus de la ceinture
Non, pas sur la bouche
Je sais, je touche
Le fond du lac
Le temps des cerises est mort
Le diable est dans le corps
Non, pas sur les lèvres
Non c'est pas mièvre
C'est pas le trac
Mais je préfère me donner crue
Sans revers, ni refus
Rendons nous à l'évidence
Tout est écris d'avance
Mieux vaut pas tenter sa chance
Rien ne dure...
Au dessus de la ceinture
Non pas sur la bouche
Je sais c'est louche
Puisque ma peau
A l'odeur de ton odeur
Au dehors il fait chaud
Non, pas sur les lèvres
Jamais de trève
Et pas d'assaut
Le bonheur est en attente
Entre le sol et le vent
Entre l'oubli et l'oubli
Mais l'oiseau du paradis
Joue plutôt aux jeux interdits
Rien ne dure...
Au dessus de la ceinture



Dimanche 26 novembre 2006 à 1:27




Ca fait parfois du bien de se lâcher. Je ne sais pas si c'est du à ça. Mais ce soir conversation intéressante. Qui m'a enfin permise de me lâcher, de me vider. Et première vraie chanson. Depuis... longtemps. Je manque d'entraînement. Elle est à retravailler. C'est un pas en avant. Un grand. Tout de même.



Les choses passent quand on s'y attend pas
Il suffirait que l'enfant en soi
Décrive pour nous les mots
Ceux qui ne viennent jamais à propos

On se complique à force de se penser
Et que nos destins se font dicter
On se fout en l'air pour apprécier l'éphémère
Tout ce qu'il faut pour ne pas revenir en arrière

Tu deviens l'oscillement
Entre réponses et questionnement
Je me suis connue écoutant
Faut il échanger les rôles à présent

Les paroles durent
Passent les murs
Mais les rêves crèvent
Ne permettent pas les trèves
Renvoient mon monde en gris
Pour que tes éclats soient permis

Nourrissons nous des fantasmes
Avant que ne nous ne voyions plus nos âmes
Un temps pour qu'ils existent encore
Un écrit qui reste alors
Après une passion qui s'égare
Pour se nicher dans un coin de mémoire


Jeudi 16 novembre 2006 à 17:53




"Puisque ma vie n'est rien, alors je la veux toute.
Tout entière, tout à fait et dans toutes ses déroutes,
Puisque ma vie n'est rien, alors j'en redemande,
Je veux qu'on m'en rajoute.. "
         Carla Bruni, La dernière minute


Aujourd'hui, l'ennui profond. Je marchais par automatismes. Je parlais pas réflexe. Je souriais sur commande. Ma seule échappée a été musicale.
 Il me manque quelque chose. Je n'ai pas pu parler ces derniers jours. Serait-ce déjà ce manque là ? Si c'est  cela je suis mal barrée. En tout cas je vais essayer de remédier à cette carrence, nous verrons bien si ça s'arrange du même fait.
Soyez heureux... je l'espère pour toi. Cela me rend heureuse de te savoir en forme. Mais sans moi ?

 Et dire qu'hier soir.  [to be continued..]


Vendredi 10 novembre 2006 à 22:13

Parce que je dois bien ça.. à un ami.. qui se reconnaîtra.


Je vois mon papier blanc
Mes mots d'amour, s'effacer lentement
Et puis, je vois le doute et le gris s'approcher
Je vois des murs devant
Et nos soleils s'éteignent doucement
Je vois nos portes closes et plus aucune clé

Mais

Qu'est-ce qu'on peut faire pour respirer un peu
Donner de l'air mettre du bleu entre nous deux
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps

Je vois nos solitudes nos yeux baissés nous éloigner de nous
Et toutes ces habitudes se glisser n'importe où
Et puis j'oublie ta peau et tes douleurs me deviennent étrangères
Peut-être on se connaît aujourd'hui moins qu'hier

Mais

Qu'est-ce qu'on peut faire pour respirer un peu
Donner de l'air mettre du bleu entre nous deux
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps

Le temps nous a volés

Chorale : Qu'est-ce qu'on peut faire
Peut-être regarder derrière
Retrouver nos chemins, retrouver nos repères
Chorale : Qu'est-ce qu'on peut faire
Peut-être chercher droit devant,
Retrouver les trésors que nous a volé le temps
Oh qu'est-ce qu'on peut faire

Samedi 4 novembre 2006 à 18:07

Je cherchais ta main
Pour trouver d'la tendresse
Jt'ai ouvert mes bras
Pour partager la détresse

Je t'voyais partout
Pour ne pas voir ton mépris
Je cachais ta vie
Pour oublier tes envies

J'ai pas trouvé les réponses
dans mes nuits blanches
j'ai pas vengé mes questions
dans tes souffrances

L'envie de penser à autre chose qu'à ça
Pour mériter d'être un peu plus près de toi

Je voulais te respirer pour capturer ton odeur
Je t'écoutais pour entendre battre ton coeur

Pas déçue, juste confuse
L'envie n'était visiblement pas la bonne excuse

J'ai essayé de voler des moments pour nous
Je me suis retrouvée au fond d'un trou
Fallait pas que je cherche à comprendre
Mais moi je voulais seulement t'apprendre

Il n'y avait pas de mensonges dans nos promesses
On savait que la liberté est la plus grande des richesses

On s'est juste arrêté de croire
Que c'est parce que c'est demain qu'il y aura encore de l'espoir.

**********************************************************************
Ce que j'écris c'est du n'importe quoi.
Je m'en fous. En ce moment ma vie n'est qu'un grand n'importe quoi.
Et je les aime quand même..
Faut vraiment être tarée.

Dimanche 22 octobre 2006 à 17:39

Et quand tu en as marre tu fais quoi ? Si tu arrêtes de sourire on te tend les bras. Si tu arrêtes de poser ton regard sur le monde comme tu le fais d'habitude, on s'inquiète pour ton bien être.
Ah, tu me dis que tu en as juste marre d'être toi. Enfin, le toi qu'on connaît.
... C'est vraiment pas de chance. Il est trop tard. On ne te laissera plus être quelqu'un d'autre. On t'enferme dans l'image que tu ne véhicules pas mais que l'on ressent.  Fallait te décider avant.
Ah parce que tu changes ? Tu as fait évoluer tes opinions.
C'est con ça. Parce que nous on a pas encore changé. Si nous changeons un jour.
On ne peut pas non plus te laisser prendre de l'avance. Tu comprends.
Non ? C'est dommage aussi.
Il paraît, très vraisemblablement que "on c'est un con", pourtant. Si on te donne les noms tu auras plus envie de te tirer ou de t'en foutre royal.

Tu te rends compte de ce que la vie t'enlève au fil des jours. La tranquillité d'esprit, l'amour, l'amitié sans contre partie.
Tu désires pas non plus, attendre jusqu'à ce que l'univers te donne son assentiment pour pouvoir changer ce avec quoi tu n'es pas d'accord.
Pour avoir la possibilité de faire ce que tu ne peux faire que pour toi il te manque juste
.. du courage.

*********************************************************************
J'ai eu le cerveau lessivé par cette chanson.
C'est du n'importe quoi.
1000 Bises Mymy



Samedi 14 octobre 2006 à 21:59

inspiré avec l'air de  "Where do you go when you're lonely
I'll follow you"


J'avais des tas de choses à vous dire.
Mes idées s'évaporent en souvenirs
Je voulais vous offrir des mots
Qui ferait battre nos coeurs au même tempo

Qu'avez vous donc fait de moi ?
Qu'avez vous donc laissé là ?
Qu'avez vous donc fait de moi ?
Pour que je ne puisse vivre que dans vos bras.

Vos présences me guettent.
Autant que j'examine vos gestes.
Les jours passent comme des années.
Pour mieux nous séparer.

Qu'avez vous donc fait de moi ?
Qu'avez vous donc laissé là ?
Qu'avez vous donc fait de moi ?
Pour que je ne puisse vivre que dans vos bras.



si vous voulez entendre à quoi ressemble un de mes essais .. en tout un GRAND merci à Maky.. désormais vous pourrez m'entendre en cliquant sur des liens : ICI

(excusez la qualité médiocre du son et de ma voix.. c'était par forcément le bon soir )

Jeudi 12 octobre 2006 à 21:59

Toi qui sors de scène,
Sans armes et sans haine,

J'ai peur d'oublier, j'ai peur d'accepter,
J'ai peur des vivants, à présent.




Mercredi 11 octobre 2006 à 22:28



T'as misé sur le mauvais cheval.
Ta vie s'éteint
Ton souffle explose en un râle.
Les mises étaient sur une histoire sans fin.
Celle dont le genre se répète
Mais toi tu t'entêtes
A souffir plus demain.
Cherche encore
L'ombre dont la lumière s'endort.
Et vis maintenant.
Pense à chaque pas pas de géant.

Dimanche 24 septembre 2006 à 12:36


Vendredi 22 septembre 2006 à 11:43




"Marching Bands Of Manhattan"

If I could open my arms
And span the length of the isle of Manhattan,
I'd bring it to where you are
Making a lake of the East River and Hudson
If I could open my mouth
Wide enough for a marching band to march out
They would make your name sing
And bend through alleys and bounce off all the buildings.

I wish we could open our eyes
To see in all directions at the same time
Oh what a beautiful view
If you were never aware of what was around you
And it is true what you said
That I live like a hermit in my own head
But when the sun shines again
I'll pull the curtains and blinds to let the light in.

Sorrow drips into your heart through a pinhole
Just like a faucet that leaks and there is comfort in the sound
But while you debate half empty or half full
It slowly rises, your love is gonna drown [4x]

Your love is gonna drown [4x]
Your love is gonna...







Drole de rêve.C'est fini. Cette partie là du moins.Vivre pour deux.Chanter, Danser, tu m'aimais comme ça.Vis aussi pour moi.Plus rien à dire.Ce n'est pas accepté. C'est compris.Je croyais l'inverse.

Samedi 16 septembre 2006 à 22:54





Tes souvenirs se voilent

Ça fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Au Café des Délices

Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le train
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Tes souvenirs se voilent
Tu la revois la fille
Le baiser qui fait mal
Au port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur les chansons velours
Abibi Abibi

Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricot
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Tes souvenirs se voilent
À l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est peut-être une chance

Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil ces parfums d'autrefois
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil même si tu t'en vas

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices


Dernier travail.

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