Mercredi 13 septembre 2006 à 21:24




Ne cherchez pas l'auteur. Ne me flattez pas. Le fait que je pense à vous le dire démontre déjà d'un trop grand orgueil. C'est moi qui dit cela. Parce que je m'en souviens. Le problème des citations c'est qu'on peut se retrouver dans chacunes d'entre elles en faisant un petit effort. Le pire étant lorsque tu t'en sers pour, par exemple, calmer un jeu dangereu, trop dangereu, et que tu ne crois pas en ce que tu dis.
Pourtant tu la prononces de ton propre chef, parce que c'est ce qu'on s'attend à entendre. C'est de circonstances. Et pourtant en deux mots tu vois des centaines de portes se fermer, tu les entends claquer. Pas derrière toi. Non. Plutôt devant.
C'est surement pire. Avoir juste le temps d'entrapercevoir une fenêtre vers l'avenir et se dire que ce serait bien, et le dixième de seconde suivant se dire que cela aurait été bien.
Être tenté, sans jamais pouvoir succomber. Parce que deux mots te séparent de ce que tu penses vraiment. Foutaises de circonstances.



Mille Bises
Mymy
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