Je veux bien partager toutes tes nuits, toutes tes angoisses, tous tes rêves et même tes cauchemars. Tous les silences qui habitent en toi. Juste, parfois, j’aimerais te faire partager tout de mes frissons. Les cris retenus qui font que tout m’échappe.
Incidemment. J'écris et décrie sur la voix d'un autre. Il n'est pas moins douloureux de combattre un fantôme, plus lâche, c'est tout.
Je ne sais pas à quand remonte ton dernier écrit, ni ce que tu as bien pu y mettre. Etrangement ça ne me bouleverse pas. Maintenant que j’ai réalisé, j’apprends à vivre sans vous, et sans ton singulier, même si vous étiez nombreux.
Aucune envie de lui sourire. Cela explique peut-être mon état. Après tout, c'était ma meilleure excuse.Septembre Soupire de Soulagement. Et moi je souffle des mots que je trace sur mon jean.