L'échec a été fidèle au poste ce matin. Ta musique suit un chemin direct. Au hasard de ces notes découvertes l'ambiance se retrouve sans jamais s'égaler ni se ressembler. La concrétisation d'un souhait. D'un mensonge éternel par la même occasion. Pourtant je n'en ai pas peur. Il serait complétement irrationnel d'avoir peur de ce qui vous fait vivre. C'est ainsi que la peur s'absente pour laisser place à une angoisse dont la profondeur n'est égalée que par celle que peut atteindre mon frisson. Être rationnelle ne m'intéresse pas. C'est laisser s'échouer trop de possibilités, de chemins à prendre. Tellement se sont déjà effacés derrière moi, eux, nous, elle, lui. Ouvrir les bras avant de laisser s'enfuir ce qui pouvait rester. C'est ne pas avoir assez pensé qui amène au problème ? L'inverse en crée un autre. De deux maux en choisir le moindre. Que faire quand ils se rejoignent ?
Aux dernières nouvelles, un possible retour à la normale demain.
Les siens. (cf catégorie)
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