Hier soir, en fait, nous avons regardé le Roi Lion. Avec Simon, Agathe
et Timothée, avec qui j'étais en primaire et Laurie (pièce rapportée,
mais mémorable "Le mal qui ronge... Ahaha c'est toi le mâle qui ronge
!" *rires* Laurie : "J'ai jamais compris cette vanne..."). Bref. Une
soirée mémorable, vraiment. L'émotion devant le texte que visiblement
je suis la seule masochiste qui lit assez vite pour s'en occuper, mais
juste, sur le fond bleu azur, y'a eu une flopée de souvenirs qui est
remontée à la surface. La bande annonce de Pocahontas, vachement
longue, mine de rien. Et puis l'année 1995 "Oh ! J'avais trois ans !"
"Nous on en avait quatreuuh.". Sans oublier le film en lui-même. Les
répliques qu'on peut enfin comprendre (j'suis sûre en fait c'est une dénonciation de la tyrannie), le film qu'on fait dix secondes à
l'avance, ce qui fait que les rires viennent avec dix secondes d'avance
également, et puis les soeurs d'Agathe qui nous rejoignent, Mélanie et
son rire bien trop communicatif. Les hyènes, Scar,
Rafikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (on est tous fan), l'admiration "Et c'est LA
qu'on voit que c'est américain n'empêche." "Bah, en même, si ça n'était
pas américain, y'aurait pas eu de budget". Sans oublier Timothée
(désolée Christine, mais NON NON ET NON, depuis la primaire on est
passés à autre chose), ce cher S, qui doit être très soulagé d'avoir
passé son bac français, l'écrit du moins. Parce que bon. Entre le
conditionnel et le futur...
"C'es mots signifient, que tu vivras ta vie...
- Attends, ça existe "vivra"
- oO Bah oui.
- Non mais ça fait bizarre, c'est pas plutôt que tu vives ?
- Euh... Timothée c'est juste ce qu'on appelle un futur de l'indicatif là..."
Et, bien sûr, nous avons tous chanté en chœur... D'ailleurs, nous sommes tombés d'accord, nous de la génération Disney (la meilleure), la mort du Papa de Simba est bien pire que la mort de la Maman de Bambi. D'abord.