Je veux bien les croire sur parole. Ca n'est pas ça qui va me bouffer. du moins, je ne pense pas. Je finirai juste par êter fatiguée, à un moment ou à un autre j'arrêterai de courir pour traîner des pieds.
Sauf que... Est-ce vraiment ça le plus important ? Je n'en suis pas persuadée... Le plus important n'est peut-être pas non plus la fin d'année, les adieux, les souvenirs et les cadeaux. On met tout ça sur pause. On reprendra plus tard, si on a le temps. On c'est un con, oui. Mais je n'aime pas écrire à la première personne du pluriel. Même si c'est pour se tourner vers le futur. Parce que qu'est ce qui m'assure qu'il est meilleur que le présent ? Que le passé ? Ce passé que j'ai d'ailleurs décidé de passer sous silence. Alors pour le moment chut. Faut peut être arrêter les dégâts là. Arrêter de croire. De vouloir. De vouloir croire. De croire vouloir. Bien sûr. Sans être pessimiste pour autant, juste une dose de réalisme. Faire le point, avec quelques élements, seuls ceux qui sont à portée de main. Sans voir avant, sans voir après. Un simple gros plan. Flouter le fond du décor. Appuyer sur le bouton de l'appareil photo. Histoire d'immortaliser. Fixer l'image jusqu'à la voir encore en fermant les yeux. Cette volonté stupide, probablement, de préférer la garder dans l'esprit que sur du papier glacé. Pour continuer, vivre avec. Ca doit être ça.
Au final j'y reviens toujours. A attendre. De pouvoir ouvrir les yeux sans crainte. Les "en attendant" ont tendance à revenir de plus en plus souvent. Alors c'est décider de vivre autrement pour posséder une vie, en attendant, justement.
Sauf que... Est-ce vraiment ça le plus important ? Je n'en suis pas persuadée... Le plus important n'est peut-être pas non plus la fin d'année, les adieux, les souvenirs et les cadeaux. On met tout ça sur pause. On reprendra plus tard, si on a le temps. On c'est un con, oui. Mais je n'aime pas écrire à la première personne du pluriel. Même si c'est pour se tourner vers le futur. Parce que qu'est ce qui m'assure qu'il est meilleur que le présent ? Que le passé ? Ce passé que j'ai d'ailleurs décidé de passer sous silence. Alors pour le moment chut. Faut peut être arrêter les dégâts là. Arrêter de croire. De vouloir. De vouloir croire. De croire vouloir. Bien sûr. Sans être pessimiste pour autant, juste une dose de réalisme. Faire le point, avec quelques élements, seuls ceux qui sont à portée de main. Sans voir avant, sans voir après. Un simple gros plan. Flouter le fond du décor. Appuyer sur le bouton de l'appareil photo. Histoire d'immortaliser. Fixer l'image jusqu'à la voir encore en fermant les yeux. Cette volonté stupide, probablement, de préférer la garder dans l'esprit que sur du papier glacé. Pour continuer, vivre avec. Ca doit être ça.
Au final j'y reviens toujours. A attendre. De pouvoir ouvrir les yeux sans crainte. Les "en attendant" ont tendance à revenir de plus en plus souvent. Alors c'est décider de vivre autrement pour posséder une vie, en attendant, justement.