Et ton silence bleu et froid
Glace mes lèvres avides de ta voix
Et je me tais face à tes désaveux
Même si je sais que tu m'aimes si peu
Dans ce silence faufilant
Les soirs d'octobre où le lit est trop grand
Mes doigts te cherchent et ne trouvent aucun dos
Mes doigts se brûlent en effleurant ta peau
Glace mes lèvres avides de ta voix
Et je me tais face à tes désaveux
Même si je sais que tu m'aimes si peu
Dans ce silence faufilant
Les soirs d'octobre où le lit est trop grand
Mes doigts te cherchent et ne trouvent aucun dos
Mes doigts se brûlent en effleurant ta peau