Merde, je lâche prise et je me rends compte de ce qui m'ennuie réellement, de ce qui gâche mes tentatives trop timides. Ces essais de vies. Cela reste discret et caché derrière les mondes que les Hommes s'inventent chacun de leur côté.
Où suis-je ? Je me perds. Je
divague.
C'était fatal, les poussières posées sur les photos font naître une nostalgie
et des regrets insidieux, je m'enferme dans le silence et dans la solitude. Au
lieu de ça je parle ici pour ne rien dire, pour l'illusion d'agir, puisque je
ne trouve rien d'autre.
Froid et dur.
Je continue, j'encaisse les coups.