J'ai mal pour elle.
J'ai mal pour lui.
J'ai mal pour eux.
Je n'y suis plus pourtant.
Je n'arrive pas à écrire la fin. Parce que cette foutue histoire n'est pas finie. Et elle n'a jamais commencée. J'aurais aimé ou croire. Ou pas. Je ne sais plus. J'y pense et j'ai mal. Je n'y pense pas et j'ai mal aussi. Alors comme le reprend Nothomb : tu parles tu meures, tu ne parles pas tu meures aussi, alors parle et meure. Je connaissais depuis longtemps. Et même Nothomb. Ça devrait pas être permis. Même quand on nage dans le bonheur, merde alors. "Un jour"... Un jour qui vient pas et me pourrit tous les autres. Pourtant j'espère. Arrêter. Oublier. Effacer. Tourner la page. Ou pas.
lagrandemymy
veut vivre plutôt qu'exister...
Mercredi 26 mars 2008 à 13:51
Commentaires
Par le Mercredi 26 mars 2008 à 18:02
J'ai tout lu d'Amélie Nothomb.
Et je crois que j'aurai pu écrire le même genre d'article que toi.
Et je crois que j'aurai pu écrire le même genre d'article que toi.
Par le Mercredi 26 mars 2008 à 18:29
les histoire dont on attend la fin sont les plus douloureuse. Et même si on veut fermer le livre, le mettre de côté, on arrive pas a l'oublier complètement. Il revient toujours, on ne sait comment, bien ouvert sous nos yeux.
j'espère que tu vas réussir a clore cette histoire, et qu'elle aura une fin heureuse. Ou pas douloureuse. Qu'elle aura une fin.
Je t'embrasse (k) (k) =)
j'espère que tu vas réussir a clore cette histoire, et qu'elle aura une fin heureuse. Ou pas douloureuse. Qu'elle aura une fin.
Je t'embrasse (k) (k) =)
Par le Jeudi 27 mars 2008 à 9:24
C'est hélas comme cela de temps en temps. Il faut attendre un peu que cela passe et cela nous fait apprécier d'autant plus les jours heureux;
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(peut-être que parfois il faut arrêter d'avoir mal pour les autres. il n'y a pas toujours quelqu'un pour avoir mal. pour nous. "vivre et savoir vivre". je mélange peut-être un peu tout.)