Dimanche 16 septembre 2007 à 20:43

Alors qu'autour de moi tous fêtent les vingt ans de Sébastien moi je pense à ces fameux dix-huit ans où je t'ai rencontré. Je me demande comment les choses auraient pu être plus parfaites. Comment tu aurais pu être plus parfait. En me laissant un numéro ou une adresse, éventuellement. Et encore.
La musique était éteinte et j'avais en tête un air de jazz famillier, c'est bien simple, mes écouteurs étaient cassés. On avait bu, pas peu mais pas trop, on était juste bien, avec une joie teintée d'un peu de mélancolie, comme toutes les vraies joies qui se respectent.
Au fil des heures nous nous rapprochions, jusqu'à finir ensemble, dans un canapé, collés l'un à l'autre. Si, c'était un bon souvenir.
Aujourd'hui je ne sais plus à quel saint me vouer. Je garde au coeur ce court moment. A côté d'autres, et c'est sans surprise que je leur trouve des ressemblances.

C.j.d.c. A.B

Par emyagony le Lundi 17 septembre 2007 à 11:28
ton article est beau... Moi aussi ej patine en ce moment... Un orage m'est tombé dessus hier soir mais j'essai de faire avec... Pas facile mais je n'ai aps envie de le perdre... Surtout pas...
Par Piano-Bar le Lundi 17 septembre 2007 à 19:52
En effet, c'est un très beau texte. Il inspire beaucoup de chose, sentiments divers, beau et triste à la fois... Une soirée à vivre, même si le lendemain au réveil, on peut ressentir un vide étrange.
Très beau texte, j'aime vraiment.
 

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