Je m'étais dit que c'était super, que je n'allais pas voir mon année passer. Qu'au final ça ne serait pas une année supplémentaire à attendre ce que je voulais vraiment. Que ça ne serait pas l'année la plus pénible parce que la dernière et sans eux. Je m'étais dit plein de choses. Et ça m'a fait avancer. Ca me foutait un grand sourire, ma tête était remplie d'images. Je m'y voyais. La relativité du temps n'aurait plus eu aucune importance une fois que j'y aurais été. Mais non. Je ne voulais plus être déçue. Là ça n'était pas possible, alors tous les espoirs et les rêves frustrés que j'avais bridé ce sont déchaînés. Ah ah ah. Tout est toujours possible. Je n'allais pas être déçue ? Au final je ne l'ai jamais été autant. Vite. Reprendre de l'air et tenir. Un an, un mois et une semaine.
Comme pour un deuil. La mort ne me fait pas aussi mal que la vie perdue.
Si si, il y a une différence.
Se dire qu'encore, ça, ça n'est rien. Absolument rien comparé au reste.
Comme pour un deuil. La mort ne me fait pas aussi mal que la vie perdue.
Si si, il y a une différence.
Se dire qu'encore, ça, ça n'est rien. Absolument rien comparé au reste.
Oui je suis fatiguée et tt ça. Mais quand même. Des textes inventés aux morceau de vie, de souvenirs. C'est une tres belle salade composée.
(oula fatigue)
Des bisous, quand même.