Cela passe et ne laisse pas d'empreinte dans mon esprit. A quoi bon ? Je ne vais pas être hypocrite, j'ai envie de trahir. Beaucoup à gagner et .. je ne perdrai pas.
La donne change un peu plus avec chaque minute qui passe. Il ne reste qu'à s'adapter. Le choix est un luxe que personne ne peux s'offrir.
Les choses ne sont pas bien différentes. Et t'entendre en reparler c'est enfoncer le couteau dans la plaie. Ce n'était qu'une passade. En disant cette phrase je m'attendais déjà à avoir à écrire que c'était elle la passade. Voilà c'est fait. De plus mes doigts sur le clavier avaient tendance à vouloir écrire "passage". Je n'aurai peut-être pas du les en empêcher. Il y en a eu un aussi après tout.
Cadre noir. Au final cette histoire est assez noire aussi. Surtout que lorsque tu apportes enfin une précision, pour moi elle est tellement évidente que je doute qu'elle me soit adressée. On va s'en sortir ?
Où cela va nous mener ? Parti tellement loin déjà. Chacun de notre côté. Il faudrait songer à rassembler les chemins. Avec toi, être ou avoir c'est du pareil au même, tu es et tu as. Sauf cette partie là. Cette ridicule pièce de puzzle. Ce grain de sable infime. Infime mais si important. Il ne suffit que d'un grain de sable pour faire une perle. Et c'est bien sur celui là qui te manque. Parce qu'on t'a enlevé ta première perle sans que tu sois prêt. Il faut que tu comprennes que si cela appartient au passé pas lui. Ce lui qui n'est que toi. Et que tu es toujours. Sans le savoir. Sans le vouloir. Sans vouloir le savoir. La seule chose perdue venant d'avant c'est le courage itinérant à la fonction. La lâcheté c'est moins compliqué, moins dur.
Alors tu le gâches, tu te gâches. Eventuellement tu nous gâches.
Si cela avec moi ne veut rien dire... pas grave. Je l'aurai dit pour une autre. Je commence à avoir l'habitude des grandes déclarations qui tournent mal. "Le bonheur des uns fait le malheur des autres"
J'ai une bonne oreille.
Croyez le ou non, je sais écrire.