Il prend son portable, comme il avait l'habitude de le faire autrefois. Farfouille quelques instants. Elle, retrouve ce sentiment ambivalent ; mêlant confiance et appréhension. Une pointe d'excitation aussi. L'important c'est de ne pas indifférer. Il lui rend son portable, en refermant le clapier. Le message personnalisable sur le deuxième écran :
"Je t'aime. (ou pas)"
C'est là que tout explose. Joie, peine. Overdose affective. Le rouge aux joues, les poings qui se crispent, les muscles du dos qui se détendent, les cils qui battent trop vite, et la chaleur qui monte. Ce sont les signes avant-coureurs d'une mort. Les morts vitales. Tout ça sur un vieux banc. Avec un ciel bleu pâle et un soleil qui recommence à chauffer. Maintenant qu'elle n'aura plus froid. Pour un temps du moins. Puisque. Quoique. Ou pas.
"Je t'aime. (ou pas)"
C'est là que tout explose. Joie, peine. Overdose affective. Le rouge aux joues, les poings qui se crispent, les muscles du dos qui se détendent, les cils qui battent trop vite, et la chaleur qui monte. Ce sont les signes avant-coureurs d'une mort. Les morts vitales. Tout ça sur un vieux banc. Avec un ciel bleu pâle et un soleil qui recommence à chauffer. Maintenant qu'elle n'aura plus froid. Pour un temps du moins. Puisque. Quoique. Ou pas.
| Ma vie a tendance ces derniers temps à ressembler à mes films, à mes mots, à mes chimères. Il me faut du temps pour pouvoir en inventer d'autres.
Si j'avais le choix mourir pour t'entendre vivre, serais-tu là
Si j'avais le choix souffrir sans même te le dire, serais-tu là
[ Me demande pas c'que ça fout là, fallait que je l'écrive. ]