Désolée pour la longueur de ce texte/poème, longueur plus que rébarbative je le conçois aisémment, si toutefois certains ont la force de lire jusqu'au bout cette horrible mélange de vers et de prose, je leur dois quelques explications.
J''étais partie pour juste une chanson et mon stylo à écrit à ma place, ce que je gardais sous 5 couches de glace.
Sinon je dois avouer que j'en suis assez fière et que ça fait du bien.
J''étais partie pour juste une chanson et mon stylo à écrit à ma place, ce que je gardais sous 5 couches de glace.
Sinon je dois avouer que j'en suis assez fière et que ça fait du bien.
Filles qui passent pour toi c'est rien,
C'est le genre de petits trucs anodins,
Auxquels tu n'accordes aucune place,
Mais j'en porte déjà la trace.
C'est peut être un peu con à dire,
Un peu trop con à écrire.
Moi je t'aime comme ça,
Le pire c'est que je plaisante pas.
Si je t'aimais autrement,
Autrement qu'ici et maintenant,
Ca serait surement moi méchant,
Mais aussi moins beau moins agitant;
Je serais probablement plus en fièvre
Dès que je vois bouger tes lèvres.
Avoir peur quand tu me parles,
Encaisser tout tes sarcasmes
Doit être l'idée que je me fais de nous,
C'est bien un truc de fous.
Et pourtant je peux pas penser,
A être heureuse, t'aimer, sans te pleurer.
Je dis : "je te hais tant je t'aime",
Certains disent que ca sonne comme un blasphème.
Mais tu sais bien ou pas que non,
Que c'est pour toi toutes ces chansons.
Tu n'as eu que des déclarations peu conventionnelles jusqu'a présent,
Le genre de choses que je ne dis jamais vraiment:
Les poèmes c'est rassurant,
Ca ne dit rien quand je me mens,
Lorsque je vois,
Ce qui n'est pas,
Et qui jamais ne sera,
Si je te le dis encore une fois,
Avant promet que tu te tairas.
Juste dire.
Les promesses c'est bien,
Ca ne sert à rien.
Faut seulement avoir parfois des mots qui sonnent bien.
Je parie que tu as laissé coulé,
Tu m'as rangé dans le tiroir "affaires classées",
Une lubie, qui m'est passée,
Si seulement c'était vrai.
J'ai du mal à oublier.
Tout l'amour que je pouvais te porter.
Et mon coeur à chacun de ses battements,
Me redonne l'envie de ces tourments.
L'objectif ne sera pas atteint,
Te le dire l'esprit serein.
J'espère qu'un jour ou l'autre,
L'autre ça m'arrangerais, on prend rendez vous sans fautes.
Un jour tu liras tout ça,
Et penseras : "merde c'est moi".
Même si mes mots sont à moitiés voilés,
Ceux qui savent et ceux qui ont devinés,
Si vous avez la grande idée,
De prendre ce lien et de lui envoyer.
N'oubliez pas : qu'il ne dise rien,
Qu'il attende jusqu'au prochain matin.
Après si vous pouviez m'envoyer,
Un petit signe discret,
Histoire d'avoir la nuit pour y penser.
Et quand l'aube aux doigts de roses sera là :
A tout les coups il fera beau ce putain de matin là.
J'aimerais qu'on puisse se parler posémment,
Par le seul moyen que j'avais trouvé le lendemain de l'écoulement,
Et en simultanné on parlera,
Des bannalités cela va de soi.
Tu me feras peut être rire,
Et si tu es en forme pire.
Quand je croiserais ton regard,
Je m'y verrais au fond comme un miroir,
Celui qui dit qu'il est trop tard.
Que je suis partie avec un train de retard.
Et c'est à travers tes yeux,
Que je reverrais mes aveux,
Pas besoin de mots entre nous deux ...
Juste besoin d'un vrai adieu.
C'est le genre de petits trucs anodins,
Auxquels tu n'accordes aucune place,
Mais j'en porte déjà la trace.
C'est peut être un peu con à dire,
Un peu trop con à écrire.
Moi je t'aime comme ça,
Le pire c'est que je plaisante pas.
Si je t'aimais autrement,
Autrement qu'ici et maintenant,
Ca serait surement moi méchant,
Mais aussi moins beau moins agitant;
Je serais probablement plus en fièvre
Dès que je vois bouger tes lèvres.
Avoir peur quand tu me parles,
Encaisser tout tes sarcasmes
Doit être l'idée que je me fais de nous,
C'est bien un truc de fous.
Et pourtant je peux pas penser,
A être heureuse, t'aimer, sans te pleurer.
Je dis : "je te hais tant je t'aime",
Certains disent que ca sonne comme un blasphème.
Mais tu sais bien ou pas que non,
Que c'est pour toi toutes ces chansons.
Tu n'as eu que des déclarations peu conventionnelles jusqu'a présent,
Le genre de choses que je ne dis jamais vraiment:
Les poèmes c'est rassurant,
Ca ne dit rien quand je me mens,
Lorsque je vois,
Ce qui n'est pas,
Et qui jamais ne sera,
Si je te le dis encore une fois,
Avant promet que tu te tairas.
Juste dire.
Les promesses c'est bien,
Ca ne sert à rien.
Faut seulement avoir parfois des mots qui sonnent bien.
Je parie que tu as laissé coulé,
Tu m'as rangé dans le tiroir "affaires classées",
Une lubie, qui m'est passée,
Si seulement c'était vrai.
J'ai du mal à oublier.
Tout l'amour que je pouvais te porter.
Et mon coeur à chacun de ses battements,
Me redonne l'envie de ces tourments.
L'objectif ne sera pas atteint,
Te le dire l'esprit serein.
J'espère qu'un jour ou l'autre,
L'autre ça m'arrangerais, on prend rendez vous sans fautes.
Un jour tu liras tout ça,
Et penseras : "merde c'est moi".
Même si mes mots sont à moitiés voilés,
Ceux qui savent et ceux qui ont devinés,
Si vous avez la grande idée,
De prendre ce lien et de lui envoyer.
N'oubliez pas : qu'il ne dise rien,
Qu'il attende jusqu'au prochain matin.
Après si vous pouviez m'envoyer,
Un petit signe discret,
Histoire d'avoir la nuit pour y penser.
Et quand l'aube aux doigts de roses sera là :
A tout les coups il fera beau ce putain de matin là.
J'aimerais qu'on puisse se parler posémment,
Par le seul moyen que j'avais trouvé le lendemain de l'écoulement,
Et en simultanné on parlera,
Des bannalités cela va de soi.
Tu me feras peut être rire,
Et si tu es en forme pire.
Quand je croiserais ton regard,
Je m'y verrais au fond comme un miroir,
Celui qui dit qu'il est trop tard.
Que je suis partie avec un train de retard.
Et c'est à travers tes yeux,
Que je reverrais mes aveux,
Pas besoin de mots entre nous deux ...
Juste besoin d'un vrai adieu.