"Margaux tu as oublié de vivre cette après-midi là : tu as préféré dormir. Comme si l'on pouvait vraiment vivre de nuit. Et maintenant tu es ennuyée. Tant pis. On y va. Tu vas chanter. Tu as raison : tu la trouveras charmante. Mais tu ne verras pas celle dont je t'ai parlé. Pas dans sept ans. Sept ans, ça ne marche pas pour tout. je vais t'attendre."
Mardi 4 mars 2008 à 16:30
Commentaires
Par Jeudi 6 mars 2008 à 22:19
le Ah! J'imagine ma conscience (sous les traits d'une espèce de zozieau tout noir par exemple) qui me dirait, ce soir ou demain, au moment d'aller au lit : "Que-vent-emporte, encore une journée que tu n'as pas vécue, encore une journée bâclée. A ton âge ! Tu crois que tu as encore le temps de te tourner les pouces comme ça ? Qu'est-ce que tu trouveras comme excuse bientôt, quand tu devras rendre ton tablier et qu'0n te réclamera les intérêts du prêt qu'on t'a consenti ?"
Qu'est-ce que je luis répondrais, à ma conscience ? Tu ne vois pas ? Eh bien, je lui répondrais simplement : "Ta gueule!"
Qu'est-ce que je luis répondrais, à ma conscience ? Tu ne vois pas ? Eh bien, je lui répondrais simplement : "Ta gueule!"
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Sur ce, bonne soirée!
Des bisous !