Vendredi 4 avril 2008 à 23:09

Elle est attirée par cette fenêtre ronde. Beaucoup trop attirée par cette fenêtre. Dehors un temps qui ne ressemble à rien. Il ne fait pas beau. Il ne fait pas gris. Il fait. Il fait des frissons dans son dos. Des paroles, de la buée et écrire de la main gauche. L'important c'est de vivre après tout. Qu'elle le fasse dans un conte de fées où ailleurs, quel est le problème ? Plus dans l'air du temps. Voilà la réponse qui s'apporte. Une raison supplémentaire. Une excuse. Une barrière. Arrêter de songer à cette barrière. Parce qu'elle serait bien foutue de la justifier, elle aussi. Il ne manquerait plus que ça. Ouvrir la fenêtre. Regarder le vide. Pas le paysage au loin, non, le vide. En oublier le reste. Bien sûr que non. Bien sûr que non qu'elle n'y arrivera pas.
Par que-vent-emporte le Mercredi 9 avril 2008 à 14:51
Eh bien, puisque nous sommes dans un conte de fée, je serai un nain barbu et ronchon.
 

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